Archives mensuelles : juin 2009

On trouve de tout chez Adsense

On trouve vraiment à boire et à manger dans les pubs adsense. Enfin, vue l’annonce de droite sur la copie ci-dessous, je me demande si l’expression est bien choisie …

testeur de préservatif

Si vous êtes intéressés, rendez vous sur le site, c’est demain le dernier jour.

capote électronique

J’aime beaucoup la petite accroche en bas à droite :

« On fournit les capotes à toi de trouver les partenaires. »

Classe quoi.

Devenez Testeur de Préservatifs officiel Ecapote.com !

PS : ce n’est pas un billet sponsorisé, même si ça ne me déplairait pas de le faire (à bon entendeur).

Le clafoutis aux cerises

C’est la saison des cerises (enfin ça commence à finir si je puis dire), donc il est temps de faire des clafoutis. Bien sûr, vous pouvez adapter la recette avec d’autres fruits (abricots, prunes, pruneaux, …), ce sera délicieux également.

Ingrédients :

  • 250 g de cerises
  • 125 g de sucre en poudre
  • 60 g de farine
  • 3 œufs
  • 100 g de crème fraiche épaisse ou  de crème liquide
  • 20 cl de lait (entier c’est meilleur)
  • 1 gousse de vanille ou de l’extrait
  • beurre sucre et farine pour préparer le plat
  1. Dans un saladier, verser la farine et le sucre. Mélanger.
  2. Ajouter les œufs, puis le lait et la crème. Vous devez obtenir une pâte homogène, un genre de pâte à crêpes.
  3. Ajouter la vanille, mélanger et laisser reposer pendant 2 heures.
  4. Faire préchauffer le four à 200 °.
  5. Beurrer le moule (le nôtre fait 30*20 cm).
  6. Mélanger la farine et le sucre à parts égales. Mettre dans le plat et faire adhérer sur toutes les parois.
  7. Répartir les cerises dans le moule.
  8. Verser la pâte sur les cerises.
  9. Enfourner pour 25 minutes. Baisser alors le four à 180° et laisser cuire jusqu’à ce que les bords soient gonflés et le centre cuit (ça ne devrait plus trop bouger si vous secouez gentiment le plat).

Test des trois versions de Eeebuntu 3.0

eeebuntu 3.0Décidément en ce moment je teste quelques distributions. Après Elive E17, c’est au tour de Eeebuntu 3.0. Encore une base de debian et même d’Ubuntu cette fois, puisque cette distro est basée sur la version 9.04 d’Ubuntu, Jaunty Jackalope. C’est cette dernière que j’utilise sur mon PC principal et mon portable. Comme je l’aime bien, j’ai voulu attendre le portage vers Eeebuntu pour changer et avoir mon eeepc 701 sous jaunteeebuntu également.

Jusque là, c’est la version 2.0 base qui est installée sur mon Eeepc et j’en suis très content. Mais bon, on est geek ou on ne l’est pas, je voulais la dernière version, donc en avant les tests.

TÉLÉCHARGEMENT ET LIVE USB

Vous pouvez télécharger les images iso des trois version d’Eeebuntu 3.0 sur le site officiel. Au choix, via des serveurs web ou par torrent. C’est la solution que j’ai retenue et c’est allé très vite, donc n’hésitez pas à passer par bittorrent, ça soulagera la bande passante du site. Et n’oubliez pas de laisser votre client ouvert pour partager !!!

Il y a donc trois versions à télécharger :

  • La standard edition, qui contient tout ce qu’il faut, avec interface GNOME et compiz activé par défaut.
  • La NBR qui a comme interface le Netbook Remix.
  • La base, qui ne contient que l’essentiel, à utiliser si vous avez des problèmes d’espace disque, donc idéal pour mon 701. En plus vous pouvez la personnaliser plus facilement puisqu’elle contient très peu d’éléments.

J’avais un peu de temps et j’étais curieux donc j’ai testé les trois, plus ou moins longtemps.

Encore une fois, c’est Unetbootin qui m’a servi à mettre sur clé USB les iso.

Petit point préliminaire, lors de mes trois tests, les spécificités de mon netbook ont été toujours détectées, que ce soit les touches de fonctions, le wifi, que la résolution. De ce point de vue, c’est un sans faute.

VERSION NBR

Ce test là n’a pas duré longtemps, l’interface NBR est presque inutilisable sur mon 701. C’est bizarre, car il n’y a que l’interface qui lague à mort. Quand je lance les applications, il n’y a pas de problème, elles tournent très bien.

Donc, lassé de voir mon pointeur ne pas bouger synchro avec ce que mes doigts lui demandaient, le test a tourné court.

C’était mon premier test de NBR, c’est dommage car l’idée est sympathique. Cependant, au même titre que l’interface Easy de Xandros, qui m’avait rapidement frustré, ce genre de surcouche n’est d’aucune utilité pour moi qui préfère utiliser des raccourcis perso et gnome-do.

Si j’ai l’occasion, je retesterai avec une autre distro.

VERSION STANDARD

Alors là, j’ai pu admirer le design classe du menu de boot. Je trouvais la version 2.0 déjà pas mal, là c’est encore mieux. Il faut aimer les thèmes sombres, mais c’est vraiment sympa.

Une fois démarré, on a à peu de chose près, la même organisation que sur la version 2.0, sauf qu’il y a un dock en bas, à la place d’un panneau (en même temps, je ne suis pas sûr qu’il n’était pas là dans la version standard 2.0 car je ne l’ai jamais testée. Je me base sur ce que je connais donc la version base 2.0). C’est pratique un dock, mais je n’ai pas trop l’habitude d’en utiliser un (encore une fois j’adore mon clavier et gnome-do). Celui là est plutôt spartiate par rapport à ce que j’ai pu voir à droite à gauche et même par rapport au Docky de gnome-do. Le sélecteur de fenêtre qui est intégré n’est pas des plus pratiques, non plus. Donc bof bof le dock.

Côté application, c’est la profusion, avec Firefox, Thunderbird, Skype, Pidgin, Amsn, Ooo, Banshee, Vlc, et ce ne sont que celles présentes sur le dock. Il y en a bien sûr des tas d’autres.

C’est au moment de tester Firefox que je me suis rendu compte d’un truc bizarre. Je n’ai aucune icône là où se trouve d’habitude l’horloge, le gestionnaire de batterie, le network-manager, … Et en passant le pointeur au dessus de cette zone, je me  suis rendu compte qu’en fait tout était bien lancé, mais aucune icône n’apparait. Il a donc fallu que je tâtonne un moment avant de pouvoir faire apparaitre mon réseau wifi. Ça c’est vraiment pas terrible. Je ne sais pas si c’est dû à compiz (qui est installé et lancé par défaut), mais c’est très gênant.

Bref, une fois connecté (sans aucun problème) à mon réseau sécurisé, j’ai pu surfer de manière tout à fait classique. J’ai ajouté des extensions à Firefox. Par contre, contrairement à Elive, aucun codec n’est installé et flash non plus. Comme Ubuntu en somme. Pas grave, mais pour une utilisation immédiate, ce n’est pas l’idéal. Et comme c’est quand même destiné à des netbooks, je trouverais ça normal de les trouver installés par défaut. Passons.

Compiz est donc installé. C’est assez agréable à utiliser sur le petit écran du 701. Ce que je préfère, c’est l’Exposé like et le ring switcher. C’est quand même plus joli pour passer en revue ses applications et fenêtres ouvertes. Je n’ai pas regardé si l’utilitaire de configuration était installé. C’est là aussi très pratique pour customiser son installation.

Les notifications, qui ont fait couler pas mal d’encre lors de leur mise en place (et que je trouve très pratiques et bien intégrées), sont parfaitement adaptées au format de mon écran.

Une chose que je n’ai pas retrouvée par rapport à la version antérieure, c’est la possibilité d’escamoter à la demande le panel du haut. Et sur un 701, c’est quelque chose que je fais quotidiennement. Bon encore une fois, ça se trouve dans les propriétés, mais par défaut c’est plus pratique. C’est peut être aussi dû au bug d’affichage.

Donc dans l’ensemble, cette nouvelle version est très agréable à utiliser, hormis quelques bugs un peu gênants. Si ça se trouve, c’est dû au fait que ça tourne et live et sur une installation en dur, je ne les aurais pas. A voir.

VERSION BASE

Et bien à peu près pareil que la version standard mais sans les bugs, sans le dock, sans compiz et sans les tonnes d’application. Juste le nécessaire quoi.

Tout a fonctionné comme sur des roulettes, je ne vais pas pas recommencer mon laïus sur le wifi et le surf, les applications, …

LAQUELLE CHOISIR ?

Au final, et pour mon usage personnel, c’est la version base que je vais installer encore une fois. Je n’ai pas envie de me prendre la tête avec les bugs et que je veux n’installer que les softs que je préfère et pas passer du temps à désinstaller une flopée de logiciels qui me sont inutiles.

En revanche, si j’avais un netbook plus vitaminé et surtout plus d’espace disque, je pense que ce serait la version standard qui trouverait sa place sur le PC.

Tout est une question de goût, à vous d’essayer, c’est tellement facile de se faire une clé USB bootable et de tester une distribution pour se faire une idée. C’est ça qui est bien aussi avec linux.

[Firefox du mercredi] FEBE : Firefox Backup Extension

En bon psychotique de la sauvegarde, FEBE est la première extension que je mets sur toute nouvelle installation de Firefox, sous Linux comme sous Windows. Car plus que de sauvegarder de manière automatique et régulière mon profil, elle me permet de retrouver toutes mes extensions, préférences, mots de passe … en un clin d’oeil et à l’identique sur tous mes PC.

ON LA TROUVE OU ?

Comme d’habitude sur le site des extension Firefox, ICI.

CA FAIT QUOI EXACTEMENT ?

FEBE va permettre de programmer des sauvegardes de tout ce qui constitue un Firefox en pleine possession de ses moyens : extensions, moteurs de recherche, préférences, mot de passes, cookies, … jusqu’au profil complet pour ne pas se prendre la tête.

Cette sauvegarde peut être faite quand vous le décidez, ou programmée avec une certaine latitude dans le choix, comme nous le verrons plus bas.

Et à quoi sert de sauvegarder si on ne peut pas réimporter ses sauvegardes ? Ça tombe bien FEBE le fait aussi.

ET CA MARCHE COMMENT ?

Voyons les options à notre disposition.

  • Onglet Options

FEBE options

D’abord, on détermine le type de sauvegarde à effectuer. Profil complet, ça sauvegarde tout le profil, l’équivalent d’une copie du dossier profil se trouvant sur le disque dur du PC. Sélective au contraire, permet de sélectionner les éléments à sauvegarder et qui sont à choisir en dessous. Sur la copie d’écran, on voit par défaut la sauvegarde des extensions et des thèmes, mais en cliquant sur éléments additionnels, vous aurez plus de choix, en fait tout ce qui fait partie du profil (favoris, cookies, mots de passe, sessions d’identification, historique, …).

Sur le côté, on a aussi un choix d’options, avec un bouton d’information qui vous éclairera si le titre n’est pas assez explicite. Celui que je trouve le plus important, c’est le dernier : inclure une copie de FEBE dans la sauvegarde, car ça permet directement de pouvoir réinstaller tout sans rien avoir à télécharger (utile si la connexion réseau n’est pas présente).

Enfin vous pouvez choisir de sauvegarder à la fois le profil et certains éléments, ou alors alternativement l’un ou l’autre.

  • Onglet Dossier
  • FEBE dossier

    Comme son nom l’indique, vous choisirez ici, le dossier de destination des sauvegardes à venir. Attention toutefois, si vous sauvegardez vos préférences de FEBE, lors de la réinstallation, ce sera ce chemin qui sera remis en place. La sauvegarde génèrera une erreur si le dossier n’existe pas (par exemple en passant de windows à linux, hum hum, et vice versa).

    Deux autre options permettent de choisir la forme du nommage du dossier de sauvegarde (qui lui est créé automatiquement) si vous choisissez d’inclure le jour et l’heure. On peut aussi ne conserver que les X dernières sauvegardes pour gagner un peu d’espace disque.

    La dernière option, effacer le dossier de destination doit certainement servir à repartir de zéro à chaque fois en supprimant le contenu du dossier. C’est pure supputation de ma part je n’ai jamais utilisé.

  • Onglet Planification
  • FEBE planification

    Là encore, c’est assez clair, vous allez choisir le moment auquel vous désirez que la sauvegarde se fasse, si vous voulez un backup automatique.

    Sinon, le choix vous est donné entre le démarrage et la fermeture du navigateur.

    Enfin, vous pouvez vous mettre des rappels. « 0 » voulant dire, pas de rappel.

  • Onglet Déboguer
  • FEBE déboguer

    Passons rapidement, il sert à remettre à zéro les préférences (faites un backup avant !!!) et vérifier le dossier d’extension.

  • Onglet Boxnet
  • FEBE boxnet

    Ici, vous pourrez profiter de votre compte Boxnet pour uploader vos sauvegardes sur votre espace de stockage en ligne. (jamais testé)

  • Onglet Info
  • FEBE info

    Le classique onglet à propos, avec les liens utiles.

    Une fois que tout est paramétré, vous pouvez déclencher une sauvegarde manuellement, même si votre choix s’est porté vers la planification à dates fixes. Pour cela, cliquer sur Outils > FEBE > Effectuer la sauvegarde. Le navigateur sera totalement inerte pendant ce temps, qui varie selon vos spécifications et le « chargement » de votre Firefox (nombre d’extensions, historique, …).

    OUI MAIS ET LA RESTAURATION ?

    Facile !!
    Outils > FEBE > Rétablir et choisissez ce que vous voulez restaurer.
    C’est l’un des seuls reproches que je peux faire à cette extension, c’est de ne pas pouvoir choisir plusieurs type de choses à restaurer en une seule fois. Il faut se les faire les uns après les autres … sauf si vous choisissez profil complet.

    AU FINAL …

    Indispensable et c’est tout. Si vous formatez souvent, que vous testez dans des machines virtuelles ou en live CD, ou tout simplement pour de la sauvegarde pure et dure, c’est l’extension à posséder.

    Petit truc, n’hésitez pas à la désactiver si vous choisissez de faire vous même vos sauvegardes, car elle ralentit pas mal le chargement de Firefox au démarrage.

    Test d’Elive 1.9 beta Debian + E17 + Compiz

    enlightment logoJ’ai toujours accroché sur le concept de E17, le gestionnaire de fenêtres enlightment pour les intimes. C’est beau et c’est léger. Alors suite à un billet de mon collègue de Webdevonlinux.com, j’ai téléchargé l‘image ISO de la dernière version beta de Elive 1.9. C’est une base Debian avec E17 intégré. Sur le papier tout ce que j’aime.
    Je passe sur le téléchargement et la gravure, tout ça est très classique.
    J’ai choisi de faire mon test en live Usb, comme ça je peux l’utiliser sur deux de mes trois PC, mon eeepc 701 et ma tour, mon vieux portable ne supportant pas le boot sur port usb (dommage). J’ai installé ça avec Unetbootin, sur mon Ubuntu (d’ailleurs, son créateur met à disposition un PPA, comme ça installation via apt-get et dernière version toujours à jour, super. Pour ajouter la clé, suivez le guide ici, à la main ou , via un script). On passe aux choses sérieuses.

    Eeepc 701

    Le démarrage n’est pas particulièrement rapide, c’est du live en même temps, mais ça ne prend pas des heures non plus. Dans la bonne moyenne je dirais.
    Le menu pour choisir son mode de boot est bien fourni, le seul problème, c’est qu’il n’y a que le mode par défaut qui fonctionne, dommage, il y avait une entrée spéciale pour l’eeepc 701 … Donc je clique sur standard.
    Dans l’ordre, il m’a ensuite demandé de choisir le type de clavier utilisé (fr), le driver pour la souris (car c’est un portable), et c’est tout. On arrive sur un message qui nous donne les identifiants de la session live (eliveuser pour l’id et elive pour le MDP). Seul bémol jusque là, c’est la musique forte et inattendue lors de cette dernière étape. Ça surprend et je n’aime pas qu’on m’impose ce genre de chose.
    Donc, je me logue et j’atterris sur un très beau bureau, à mon goût. La résolution de mon 701 est parfaitement respectée, tout est à l’échelle. Il y a un joli dock avec des applications courantes (Firefox / Iceweasel, terminal, logiciel de chat, Paramètres, …).
    La réactivité est plutôt bonne, pas beaucoup plus lente que ma session installée en dur avec Eeebuntu Base.
    En haut à droite, on trouve un quadrillage qui représente les bureaux virtuels, et il y en a une bon paquet (12). A ma honte, c’est une fonction que je n’utilise que très peu.
    J’ai principalement surfé lors de ma courte session de test, mais ce qui m’a plus d’emblée, c’est que ma carte wifi a été reconnue sans que j’ai à faire quoi que ce soit (contrairement à Puppy par exemple). Le branchement à mon réseau non sécurisé FON s’est fait sans problème, mais je ne suis pas arrivé à me connecter à mon réseau sécurisé WPA. Bon on est prévenu dès le lancement du gestionnaire réseau qu’il est encore en phase de test, alors je ne peux pas trop me plaindre. Apparemment, il gère aussi les connexions 3G, à tester, mais je n’ai pas le matériel, ni le forfait.
    Le navigateur c’est donc Firefox, et c’est une version 3.0.6. Flash est installé par défaut. Je n’ai pas noté de difficulté pour surfer. C’est FF quoi.
    La mise en veille se fait également très bien (mieux que sur Eeebuntu). Dès qu’on referme l’écran, le PC se met en veille. Un appui sur le bouton de démarrage et il se remet en route aussi sec (2 à 3 secondes je dirais). Les bons points, pas de mot de passe à saisir et le wifi est actif au redémarrage. Bref, il est opérationnel de suite. Cool.
    Toutes les touches de fonctions que j’utilise sont reconnues (luminosité, volume, page suivante précédente, début et fin et le wifi). Par contre, on n’a pas les OSD (On Screen Display), les messages affichés à l’écran prévenant qu’on tripote ces fameuses touches. Ça c’est gênant, même si ce n’est pas vital.

    Le gestionnaire de fichiers (un point important à mon avis) est thunar. Simple et efficace, je le connais moins que Nautilus, mais il fait le boulot.
    J’ai aussi testé la lecture de vidéo, et bonne surprise, les codecs sont installés (divx et mp3 en tous les cas). Le player est un mplayer skinné, et c’est là que je vais attaquer le principal reproche après cette courte utilisation : c’est too much !! Si l’interface de Mplayer n’est pas des plus glamour (même si elle n’est pas aussi immonde que celle de Vlc), cette skin est assez horrible. Et c’est un reproche que je peux faire à toute la distribution dans son paramétrage par défaut. Tous les effets sont trop… Il y a du feu à chaque fois qu’on lance un menu ou un sous menu, les fenêtres se plient en forme d’avion quand on les minimise. Une fois, c’est marrant, au quotidien, c’est pénible à utiliser, surtout sur un 701.
    Vous l’aurez certainement compris, compiz est installé par défaut, avec les effets activés. C’est bien, toujours ça de moins à faire, mais à mon avis, il y a du boulot pour rendre ça plus agréable à vivre.
    Dans l’ensemble, je trouve la distro agréable, je vais la tester plus avant sur mon eeepc.

    PC maison

    Petit rappel sur la config :
    Dual core 5200
    2 G de RAM
    Nvidia 9600 GT

    Le démarrage est plus rapide sur ma bécane fixe qui est aussi plus puissante
    Le lancement se déroule de la même manière que pour l’eeepc à 2 exceptions près. Il y a des choix pour l’accès aux partitions NTFS (oui j’ai des partitions NTFS et un windows en dual boot, pas biennnnnnnnnn) et pour l’installation du driver de ma carte graphique Nvidia.
    Et une chose que j’avais ratée, c’est la belle image de fond pendant tout le temps du lancement du live usb. Ça change de l’ambiance console noir et blanc.
    Sinon, une fois lancée, ça tourne très bien, pas vraiment de différence avec une instal en dur. C’est beau, il y a de la transparence sur toutes les fenêtres, c’est sympa.
    Le réseau Ethernet est reconnu sans rien faire, encore un bon point (même si c’est le minimum syndical). Pas de problème non plus pour le son. Xmms fait le job impeccablement, en tous les cas pour l’usage que j’en ai, c’est à dire choisir un répertoire et l’ajouter à la liste de lecture.
    D’ailleurs en passant, les touches de volume de mon clavier Microsoft sont reconnues. Par contre, les autres non, mais ce n’est pas très gênant, je ne m’en sers pas de toute façon (des touches hein, pas du clavier).
    Autre élément indispensable, l’éditeur de texte. Ici c’est Scite qui est utilisé. Rapide, ça a l’air customisable, suffisant pour mon usage. D’ailleurs je tape le billet dedans.
    Pour la configuration, il y a un Elive panel. Mais je ne trouve pas ça très ergonomique, des fenêtres s’ouvrent dans tous les coins. Bof. Et lui aussi fait de la musique sans qu’on lui demande. D’ailleurs, on peut accéder graphiquement aux mêmes menus de plusieurs façon, c’est peut être mieux d’une autre manière, mais je n’ai pas envie de tester et customiser une version live, ça n’a pas d’intérêt.
    Enfin, concernant la bureautique, ce sont Abiword et Gnumeric qui sont installés, ils font leur travail de façon satisfaisante tant qu’on reste dans du classique.Cerise sur le gâteau, comme c’est une base debian, à vous les apt-get et si vous êtes allergiques à la commande, il y a même synaptic (pas la dernière version malheureusement).
    En conclusion, sur mon PC fixe, ça tourne comme un charme même avec pas mal d’applications ouvertes en même temps.

    Désolé, je n’ai pas pu illustrer le billet car je ne suis pas arrivé à faire facilement de copies d’écran (j’ai pas trop cherché non plus …).
    Et pour terminer une petite vidéo de ce que ça donne en live.

    Tzatziki, ou comment manger des concombres en se régalant

    C’est frais, c’est grec  et ça en jette à l’apéro, avec des pains pita et un petit ouzo.

    caviar d aubergine

    Ingrédients :

    • un beau concombre
    • 125 g de mascarpone
    • 1 yaourt à la grecque
    • 2 gousses d’ail
    • 2 c à s d’huile d’olives
    • 2 c à s de jus de citron
    • 4 ou 5 pousses de menthe hachées
    • sel et poivre
    1. Éplucher et râper le concombre en ayant pris soin d’ôter les graines. Le saler et le laisser dégorger une heure. Ne pas hésiter à bien le presser pour extraire un maximum d’eau.
    2. Mélanger dans un saladier le yaourt et le mascarpone. Le mélange doit être bien homogène.
    3. Éplucher et écraser les gousses d’ail. Les ajouter au mélanger au yaourt.
    4. Ajouter le reste des ingrédients. Bien mélanger.
    5. Rectifier l’assaisonnement car les quantités sont à gérer plus à l’œil qu’à prendre au pied de la lettre. Il ne faut pas hésiter à goûter.
    6. Laisser reposer au moins trois heures, toute la nuit c’est l’idéal.

    Servi avec des pains pita, toutes chaudes, c’est un régal. Vous pouvez bien sûr également le servir en accompagnement d’un repas grec, houmous, caviar d’aubergine, ….

    Mac4Lin 1.0 est sorti, votre linux va ressembler à un Mac

    J’avais déjà parlé de Mac4Lin dans un précédent billet. C’est un script qui permet de faire ressembler votre Ubuntu à Mac OS X (je ne sais pas si ça marche sur d’autres Linux, mais pourquoi ça ne marcherait pas ?).

    Peng vient d’annoncer sur son blog la disponibilité de la version finale 1.0. Pour plus de copies d’écran, rendez vous sur le billet de l’annonce officielle du développeur, infra_red_dude.

    Il y a plein de nouveautés par rapport à la dernière version, je vous laisse les consulter.

    Il y a aussi malheureusement encore quelques bugs, dont notamment l’impossibilité de supprimer les fichiers automatiquement les fichiers installés. Mais ce ne sont que des thèmes, des fonds d’écran, etc, donc ce n’est pas bien difficile de les supprimer.

    Vous pouvez télécharger les fichiers sur la page du projet sur Sourceforge.

    Concaténer des fichier splittés en ligne de commande sous Linux

    terminalParfois sur les newsgroups, on tombe sur des fichiers qui ont été splittés et pas seulement compressés. Sous Windows, je connaissais HJsplit pour se charger facilement du travail de concaténation de ces fichiers, mais sous Linux, aucune idée.

    J’ai bien entendu cherché d’abord un utilitaire avec une interface graphique et je suis tombé sur un vieux logiciel plus maintenu pour linux, Xtremsplit. Le comble c’est qu’ils conseillent d’utiliser la version windows avec wine. Donc je passe mon chemin.

    Et puis, au détour d’une entrée dans le planet francophone d’Ubuntu, je suis tombé là-dessus.

    COMMENT REMETTRE ENSEMBLE TOUS CES MORCEAUX ?

    En fait c’est très simple, une seule ligne de commande dans un terminal va faire le job.
    Nos fichiers se présentent sous la forme suivante :

    nom_du_fichier.avi.001
    nom_du_fichier.avi.002
    nom_du_fichier.avi.003
    nom_du_fichier.avi.004

    J’ai pris l’exemple de fichiers .avi, car, ne nous voilons pas la face, c’est ce qu’on rencontre souvent.

    Donc voici comment faire :

    1. On ouvre un terminal
    2. On se place dans le dossier contenant nos fichiers, si ce n’est pas déjà fait, par exemple le dossier DL de notre home
    3. cd /home/agatzebluz/DL

    4. On tape la commande suivante :
    5. cat nom_du_fichier.avi.* > nom_du_fichier_concaténé.avi

      L’étoile est un joker permettant de prendre en compte tous les fichiers qui commencent par « nom_du_fichier.avi. », donc tous nos fichiers splittés. Quant à « nom_du_fichier_concaténé.avi » c’est le nom que vous choisissez pour votre fichier de sortie.

    6. Et on attend qu’il fasse le travail. Ce n’est pas plus compliqué que ça.

    Elle est pas belle la vie avec la ligne de commande ? 🙂

    [Firefox du mercredi] Recherche sur Ebay avec Typozay FR

    Aujourd’hui un petit moteur de recherche pour vous les amateurs d’Ebay. Le moteur Typozay FR va vous lancer des recherches dans le moteur d’Ebay FR sur le terme choisi mais en orthographiant mal le(s) mot(s) (d’où le nom typo !!).
    Ça peut servir si la personne qui a mis l’objet en ligne s’est trompée dans la description. Du coup, il est possible qu’il y ait peu de personnes sur le coup et donc des enchères qui flambent moins.

    Voilà ce que ça donne par exemple, avec la recherche guitare :

    typozay

    Vous pouvez l’ajouter en faisant une recherche sur typozay dans l’annuaire mycroft (il est disponible en plusieurs versions, faites votre choix).

    Un script pour réparer en une seule fois toutes les erreurs de clé des dépôts PPA

    LaunchpadEn complément de mon dernier billet sur la procédure pour rajouter les clé d’authentification des PPA, voici pour les plus aventureux et anglophones (bien que ce soit assez simple à comprendre), sur ce billet, un script qui ajoute automatiquement toutes les clé manquantes des PPA de votre sources.list. Je l’ai testé et il marche très bien.

    Pour faire simple, il suffit de télécharger l’archive comprenant le script, de le décompresser et de le lancer avec sudo (normalement, il devrait déjà être exécutable). Vraiment pas compliqué.

    Bien sûr vous pouvez le réutiliser si après coup vous rajoutez d’autre sources PPA. Il suffit de le relancer.

    Le saumon sauce à l’oseille

    Le plus grand souvenir gastronomique de ma courte vie restera sans aucun doute mon déjeuner chez Troisgros, le célèbre restaurant situé à Roanne. La spécialité de feu Mr Troisgros (qui en fait étaient des frères) était le saumon à l’oseille et c’est ma version de ce classique que je vous propose aujourd’hui. Rien de bien compliqué, si ce n’est d’avoir de la bonne oseille. C’est rapide à faire et pas trop cher puisque le saumon est un poisson peu onéreux, par contre c’est bien calorique.

    Ingrédients :

    • 4 pavés de saumon sans la peau
    • 1 botte d’oseille
    • 1 échalote
    • 25 gr de beurre
    • 5 cl de vin blanc
    • une brique de crème fraiche liquide
    • un peu d’huile
    1. Nettoyer l’oseille  à grande eau, en la faisant tremper plusieurs fois pour la débarrasser de la terre.
    2. Éplucher et hacher l’échalote. Hacher l’oseille.
    3. Faire fondre le beurre et y faire fondre l’échalote. Quand elle est transparente, y ajouter l’oseille et laisser cuire jusqu’à ce qu’elle soit également bien fondue (ce qui devrait prendre 5 minutes).
    4. Ajouter le vin blanc et laisser réduire.
    5. Ajouter la crème, saler et poivrer. Laisser mijoter à feu doux le temps de faire cuire le poisson.
    6. Mettre un peu d’huile dans une poêle et faire chauffer. Y faire cuire le saumon des deux côtés, saler et poivrer. Une alternative et de faire cuire le saumon au four, comme ça vous ne repeignez pas votre cuisine. Dans ce cas, l’assaisonner et le mettre dans un plat au four à 190° pendant 15 à 20 mn.
    7. Quand il est cuit, le servir accompagné de la sauce, et par exemple d’un riz blanc.

    saumon à l'oseille 03

    Installation de la dernière version de Tuxguitar sur Ubuntu

    tuxguitarSi comme moi avant, vous utilisez la version des dépôts Ubuntu de Tuxguitar pour lire vos tablatures au format Guitarpro, il est possible que vous rencontriez quelques désagréments. Sur ma machine par exemple, ce sont des problèmes d’impression.  Or, il existe une version de Tuxguitar plus souvent mise à jour et qui corrige certain de ces bugs de manière plus rapide, c’est la version rzr ou snapshot. Et même si vous n’avez pas de problème, c’est toujours sympa d’avoir la version la plus à jour.
    Pour l’installer, il faut ajouter de nouvelles lignes à votre fichier de sources et installer la version rzr de Tuxguitar, maintenue par Philippe Coval.

    Tout d’abord, ajoutez le PPA de Philippe dans votre sources.list. Pour cela, tapez dans un terminal :

    sudo gedit /etc/apt/sources.list

    Ajoutez ensuite les lignes ci-dessous à la fin du fichier qui s’ouvre (je suis sous Jaunty, mais il y a des versions de ces adresses de Dapper Drake à Karmic Koala, à vous d’adapter en fonction de votre version, vous pourrez trouver sur le site du PPA).

    deb http://ppa.launchpad.net/rzr/ppa/ubuntu jaunty main
    deb-src http://ppa.launchpad.net/rzr/ppa/ubuntu jaunty main

    Enregistrez et fermez le fichier. Puis, mettez à jour la liste des paquets. Toujours dans un terminal :

    sudo apt-get update

    Vous allez certainement rencontrer un message d’erreur qui vous dit que ce PPA n’est pas de confiance car vous n’avez pas de clé d’authentification associée. Pas de panique, car ça n’empêche pas d’installer des logiciels depuis ce PPA et en plus vous pouvez facilement mettre fin à ce message en suivant mon tuto sur le sujet.

    Ouvrir le gestionnaire de paquets synaptic, faire une recherche sur tuxguitar. Désinstaller les paquets précédemment installés s’il y en avait. Puis choisir d’installer la version tuxguitar-snapshot  Vous pouvez aussi passer par un terminal et choisissez d’installer le paquet tuxguitar-snapshot.

    tuxguitar-synaptic

    Quand vous lancerez désormais Tuxguitar, c’est normalement la version à jour que vous devriez voir.

    Je vous conseille la lecture de la documentation et l’abonnement au thread du forum Ubuntu qui peut être utile quand on a des soucis de paramétrage.

    [Firefox du mercredi] FaviconizeTab

    Je vous ai déjà parlé de TabMixPlus, et de la possibilité de paramétrer la largeur des onglets. Et bien FaviconizeTab fait encore mieux puisqu’elle réduit la taille de l’onglet à celle d’un favicon. C’est une merveille pour gagner de la place dans la barre d’onglet ou cacher les titres des pages sur lesquels vous surfez ;p

    COMMENT CA MARCHE

    Voyons l’unique page d’option du plugin.

    Faviconize Tab firefox extension

    • Quick faviconize permet d’un clic de rapetisser l’onglet de votre choix. Il faut simplement choisir la façon de faire. Personnellement c’est Ctrl + clic gauche, mais vous pouvez utiliser la touche, Alt, Shift ou le double clic. Il est bien entendu possible également de choisir de réduire l’onglet en cliquant droit dessus et en choisissant FaviconizeTab.
    • Auto Faviconize, c’est une manière simple d’appliquer automatiquement la réduction aux onglets récurrents. Il suffit d’ajouter une url (avec des jokers, comme l’étoile par exemple) et à chaque fois que l’onglet avec cette url se chargera, l’onglet sera minimisé d’office. J’ai choisi de l’appliquer sur tous les services Google et mon blog par exemple.
    • misc : cette case permet d’afficher le bouton de fermeture de l’onglet faviconisé, au prix d’une taille mois réduite. Chez moi, ça ne fonctionne pas et de toute manière je ne l’utilise pas.

    ET ALORS

    Encore une extension dont je ne pourrais plus que difficilement me passer, surtout sur mon eeepc 701. Mais au delà du gain de place, ça aide à s’y retrouver d’un coup d’œil entre les onglets des sites « non habituels » et les autres, ou à dissimuler ses lectures.

    Bref, un bon rapport encombrement utilité.

    La soupe de courgettes aux croutons

    Je dois dire que nous ne faisons plus beaucoup de soupes depuis un certain temps mais celle-ci est un succès assuré à chaque fois. En plus, une soupe de courgette c’est assez original, ce n’est pas un légume que l’on mange forcément de cette manière. Et quand en plus, on l’accompagne de petits croutons maison … hmmm c’est top.

    Soupe de courgette


    Ingrédients :

    Pour la soupe :

    • 40 g de beurre
    • 1 oignon
    • 500 g de courgettes (soit 3 courgettes de taille moyenne)
    • 1,2 l de bouillon de volaille (maison ou préparé avec deux cubes type Maggi)
    • 2 petits œufs
    • 2 c à s de parmesan râpé
    • 1 c à s de persil
    • sel et poivre

    Pour les croûtons :

    • 1 demie baguette
    • de l’huile d’olives
    • sel
    1. Faire fondre le beurre dans une cocotte. Y faire revenir les oignons émincés.
    2. Quand ils sont colorés, ajouter les courgettes découpées en tranches fines et faire colorer également (attention à ce que ça ne brûle pas tout de même).

      soupe de courgettes 01

    3. Ajouter le bouillon, porter à ébullition et réduire à feu doux. Laisse cuire à couvert pendant une vingtaine de minutes (jusqu’à ce que les courgettes soient cuites).
    4. Passer la soupe au mixer. Gouter et rectifier l’assaisonnement si nécessaire (attention au sel, car le bouillon du commerce est salé et il y a encore du parmesan à ajouter ensuite qui l’est également).

      soupe de courgettes 05

    5. Hacher le persil et le mélanger dans le plat de service de la soupe avec les œufs battus, le parmesan et le poivre.

      soupe de courgettes 03

      soupe de courgettes 04

    6. Verser la soupe sur ce mélange et remuer rapidement (au fouet de préférence) afin que tout se mélange bien sans faire de grumeau.
    7. Servir immédiatement avec les croûtons (que vous pouvez préparer un peu en avance)

    Pour préparer des croutons, c’est très simple.

    1. Couper la baguette en dés réguliers que vous mettrez dans un saladier.
    2. Arroser d’un peu d’huile pour que chaque dés en soit un peu recouvert (il n’en faut pas tant que ça, et c’est plus digeste si on n’a pas la main trop lourde). Saler à votre gout.
    3. Étaler sur une plaque ou dans un moule et passer à four chaud jusqu’à ce qu’ils soient dorés de tous les côtés.
    4. Retournez les de temps en temps. Restez bien à côté du four, sinon vous risquez de n’avoir que des bouts de charbon ( c’est du vécu).

    D’expérience, ces croutons sont nettement moins gras et moins salés que ceux du commerce, et ils sont aussi bien meilleurs.

    [Firefox du mercredi] IE Tab

    Voilà une extension qu’elle est bien quand on travaille sous Windows et que certains sites ne prennent pas en compte les gens bien qui surfent avec Firefox. En effet, IE Tab va vous permettre d’utiliser le moteur d’Internet Explorer pour afficher les pages qui ne fonctionnent pas sous Firefox, mais dans l’interface de Firefox. Pas la peine de démarrer IE, un simple clic droit suffit, voire pas de clic du tout, nous allons voir ça en détail.

    CA SE PRESENTE COMMENT ?

    Très simplement, un nouvel onglet avec le site litigieux sera ouvert mais ce sera le moteur d’IE qui sera utilisé. Ci-dessous, vous pouvez voir dans mon Firefox que j’ai ouvert plusieurs onglets : mon blog, Amazon et Google, avec le moteur de rendu de FF et le site Windows update avec le moteur d’IE via IE Tab, reconnaissable au favicon reprenant le sigle d’IE.

    IE Tab au travail dans Firefox

    COMMENT CA MARCHE ?

    Passons en revue les options de l’extension.

    • Sites à ouvrir dans IE

    IE Tab sites à ouvrir

    Pendant longtemps, la seule option qui m’intéressait. Ici vous allez pouvoir donner la liste des sites qui vont automatiquement s’ouvrir avec le moteur web d’IE.

    Par défaut le programme met le site windows update par exemple, mais vous pouvez rajouter autant de site que vous voulez, pratique si vous allez souvent sur le même site qui ne fonctionne pas ou mal avec FF. Bien sûr vous pouvez ajouter des jokers (l’étoile notamment), ce qui est plus rapide que de rentrer une URL, qui est susceptible de changer. C’est ce que j’ai fait, comme vous pouvez le voir pour les premiers sites de la liste, parfois avec www, parfois sans, ou même juste le nom de domaine, moins prise de tête.

    • Options générales

    IE Tab Options générales

    Vous pouvez décider de faire apparaitre dans la barre d’état une icône qui vous renseigne sur le moteur utilisé (la barre d’état, c’est la petite barre qui est tout en bas de Firefox).
    Vous pouvez aussi choisir d’avoir accès directement aux options via le menu Outils de Firefox, et d’avoir une icône en face de cette entrée. Pas mal, ça évite d’aller dans les modules complémentaires, ça évite un clic.

    Vous pouvez aussi régler les actions lors du changement du moteur web. J’ai laissé par défaut, à vous de voir.

    • Menus contextuels

    IE Tab Menus Contextuels

    Facile, ici on choisit les éléments qu’on veut voir apparaitre dans le menu contextuel quand on clique droit sur les onglets, sur les liens des pages ouvertes, et dans les marques pages.

    Le petit plus à mon sens, c’est encore une fois la présence des icônes (avec l’âge, je suis de plus en plus feinéant et je ne lis plus les menus contextuels, je deviens plus visuel …).

    • Programme externe

    IE Tab Programme externe

    Cette option permet de choisir le programme à utiliser pour ouvrir les liens. Depuis le début, je parle d’IE, mais je pense que rien n’empêche de choisir un autre navigateur (bon je ne vois pas trop l’intérêt dans ce cas).  Je pense que celà doit être utile si vous avez plusieurs versions d’IE qui sont installées sur votre PC, notamment pour faire des tests de rendu quand on développe un site.

    Sous le chemin, un champ vous permet de rentrer des paramètres à appliquer au programme, aucune idée de ce à quoi ça peut servir …

    Enfin vous avez une case cliquable, permettant d’associer le raccourci Ctrl + clic gauche au fait d’ouvrir la page dans le programme externe choisi. Attention si vous avez déjà un raccourci clavier identique, ça risque de ne pas fonctionner (chez moi c’est Faviconize Tab qui entre en conflit).

    Last but not least, le bouton Préférences qui se trouve en bas et à gauche permet de revenir aux réglages par défaut ou d’exporter / importer vos préférences en vue d’une sauvegarde et d’une réinstallation.

    AU FINAL ?

    Totalement inutile sous Linux (et de toutes façons, pas portée sous  l’OS au manchot), en revanche si vous êtes sous Windows, elle pourra rendre service si vous vous heurtez à des sites racistes via à vis des pandas roux (ce qui est de plus en plus rare, il faut avouer). A avoir dans sa musette au cas où.

    Importer la clé d’authentification d’un PPA dans GNOME ou XFCE

    Il vous est certainement arrivé de rencontrer une erreur en rafraichissant vos sources de paquet qui vous disait que la clé d’authentification d’un PPA était manquante. C’est assez énervant, mais il est simple d’y remédier. J’ai rencontré notamment le problème en installant la version snapshot de Tuxguitar dont le dépôt est hébergé sur un PPA. Nous allons le prendre comme exemple pour la suite.

    Ce billet est une traduction de l’explication donnée sur les pages des PPA, je ne réinvente pas l’eau chaude.

    1. Aller sur Launchpad et se rendre sur la page du PPA qui pose problème, ici le PPA de Philippe Coval. Vous pouvez le trouver en faisant une recherche dans un moteur de recherche avec la clé qui pose problème quand vous mettez vos sources à jour.public key PPA Philippe Coval
    2. Cliquer sur le n° de la clé OpenPGP, ici 1024R/81C6B219. Elle se trouve après « The repositoy is signed with ». La page suivant apparait.public key PPA
    3. Cliquer une nouvelle fois sur la fin de la zone se trouvant sous  « bits/keyID », dans notre cas 81C6B219. Une dernière page s’ouvre affichant le corps de la clé OpenPGP.
    4. public key PPA

    5. Faire un copier coller de la zone se trouvant entre « BEGIN PGP PUBLIC KEY BLOCK » et « END PGP PUBLIC KEY BLOCK » dans votre éditeur de texte favori. Enregistrer le fichier.
      Ça doit ressembler à ça :
      —–BEGIN PGP PUBLIC KEY BLOCK—–
      Version: SKS 1.0.10

      mI0ESXSdxgEEANcBkkyLFNjHlcoM8GeV9ogr/9kAqa17JRmHOfTE8k26C8FhlsNQJ9nhi2AG
      P3pcMG7m/DX6ijMdgDAjDT0pxcAOM3hRSjv4a/5Ox6rMKgeFedDBld1HVbsAYLHYiVHM/x2T
      Nb/ZXx6hOHaQheKcodNUfoPTW3UKtaaOneg8ixUVABEBAAG0IExhdW5jaHBhZCBQUEEgZm9y
      IFBoaWxpcHBlIENvdmFsiLYEEwECACAFAkl0ncYCGwMGCwkIBwMCBBUCCAMEFgIDAQIeAQIX
      gAAKCRDgLoffgcayGS/zA/9z5sMEmxNbNyHgGqxIG3p1FUD8RN7W6HGZkA6XRUhQbUYIy2vy
      jeFmU13+4vC9UDlZbVHbq5eKUlXWrfgscw3Oh5nHxeU3MHNi5T07XetcMYCudL+GsuvtDLN3
      EemSk1h9QJevCu6F6tim1+av2ZOzyZIakg+UDyrcHbamaas4MA==
      =v4wC
      —–END PGP PUBLIC KEY BLOCK—–

    6. Ouvrir Système > Administration > Sources de logiciels et cliquer sur l’onglet Authentification.
    7. Cliquer sur « Importer la clé » et choisir le fichier enregistré à l’étape 4.

    Si vous faites un update de votre liste de paquets (sudo apt-get update), vous ne devriez plus avoir d’erreur pour ce PPA. Il faut bien sûr renouveler l’opération pour chaque PPA ajouté dans votre fichier sources.list.

    Je pense qu’il y a d’autres façons de faire, mais celle-là a pour moi le mérite de la simplicité et je comprends ce que je fais.

    EDIT : suite au commentaire de LordPhoenix, voici la version en ligne de commande :

    La version ligne de commande, beaucoup plus rapide à faire :
    sudo apt-key adv –recv-keys –keyserver keyserver.ubuntu.com id_clef

    en remplaçant id_clef par ce qui se trouve après le / dans le n° de clef openpgp (ie le 1024R/xxxxxxxx)

    Merci LordPhoenix pour la précision.

    Les crevettes de Barbie

    Sous ce titre un peu bizarre se cache une recette de Bob Blumer, le Surreal Gourmet, avec un jeu de mot en version originale, totalement intraduisible. En VO, les shrimps on the barbie, ça veut dire tout simplement crevettes au barbecue, mais pour le bien de la recette, ce charmant jeune homme décide de faire la présentation du plat avec une belle poupée Barbie sur le bord de l’assiette. Humour !! En tout cas, c’est délicieux et très sympa pour l’apéro. Le tout, c’est de trouver les épices … J’ai du commander les miennes directement aux US.

    Ingrédients :

    • 15 crevettes crues assez grosses
    • 1 c a s d’origan
    • 1 c a s de thym
    • 1 c a s de lemon pepper
    • 1/4 de c a c de poudre de chipotle
    • 1 c a c de sel
    • 1/2 c a s de poivre
    • 1 c a s d’huile d’olives
    • 1 bouquet de coriandre
    • 1 ou 2 citrons verts
    • 1 bol de fromage blanc
    • une Barbie
    1. Peler et déveiner les crevettes en gardant le bout de la queue (pour pouvoir la manger et tremper plus facilement avec les doigts).
    2. Mélanger une cuillère à soupe d’origan, de thym et de lemon pepper avec une demie cuillère à soupe de poivre et une cuillère à café de sel. Enfin, ajouter un quart de cuillère à café de poudre de chipotle (attention ça brûle, si vous n’aimez pas trop épicé, diminuer les doses de poivre et de chipotle).
    3. Ajouter les crevettes et mélanger pour que la préparation adhère (avec des gants !!).
    4. Faire chauffer de l’huile d’olives dans une poêle, quand elle est très chaude y jeter les crevette et les faire cuire 1 min de chaque côté, pas plus. S’assurer qu’elles soient bien toutes à plat pour une cuisson uniforme.  Vous pouvez les faire cuire également au barbecue si vous en avez un.
    5. Mixer un bouquet de coriandre avec le jus d’un ou deux citrons verts. Ajouter cette préparation à un bol de fromage blanc.
    6. Présenter les crevettes avec la sauce à la coriandre et au citron.
    7. Déguster en les trempant dans la sauce.
    8. N’oubliez pas de présenter avec une Barbie.

    Bon appétit et gare aux brûlures de palais.