J’avais pas mal de doublons sur mon disque dur à cause de fichiers récupérés un peu partout. Il y avait besoin de remettre de l’ordre et surtout de supprimer les dossiers vides dans un répertoire donné.
Cela se fait très facilement et avec une seule ligne de commande. Attention, cette commande est récursive, c’est à dire qu’elle va supprimer les dossiers vides dans tous les sous répertoires de celui que vous indiquez.
find /chemin/vers/le/repertoire -empty -type d -delete
Si vous souhaitez seulement lister les dossiers à supprimer, il vous suffit d’enlever l’option -delete.
Le Biryani, je ne sais jamais l’écrire mais c’est l’un des plats indiens que je préfère car c’est convivial et savoureux et on peut le servir directement à table dans sa cocotte. Pas de prise de tête avec le service.
Le principe est simple : c’est un plat de riz passé au four avec des couches (en général de viande). La version de cette semaine est végétarienne, avec beaucoup de légumes.
La vidéo de Chetna avait l’air sympathique et nous ne sommes jamais déçu de ses recettes. Donc c’est parti.
Mais avant de commencer, petit conseil pour éviter de se retrouver perdu au moment de cuisiner : préparez tous vos ingrédients avant de lancer les cuissons. Toutes les étapes s’enchaînent, donc il est plus prudent d’avoir tout sous la main au moment de se mettre devant les fourneaux.
Ingrédients :
5 oignons émincés
5 càs d’huile
2 – 3 feuilles de laurier
1 bâton de cannelle
2 anis étoilé
5 clous de girofle
5 gousses de cardamome
1 càc de graines de cumin
2 oignons coupés grossièrement
2 gousses d’ail râpées
1 cm de gingembre râpé
2 tomates coupées grossièrement
2 càs de concentré de tomates
1 càc de sel
1 càc de piment en poudre
1 càc de garam massala
1 càc de cumin en poudre
1 càc de curcuma
400 g de chou fleur
200 g de haricots verts
2 carottes
2 pommes de terre
Un peu de sucre
400 g de riz basmati
1 feuille de laurier
2 gousses de cardamome
1 bâton de cannelle
Faire revenir les oignons émincés dans l’huile (dans une grande poêle ou un faitout que l’on peut couvrir) jusqu’à ce qu’ils soient bien dorés. Pensez à les assaisonner. Les réserver en laissant quelques cuillères à soupe d’huile.
Faire revenir rapidement dans la même poêle les épices entières (laurier, bâton de cannelle, anis étoilé, clous de girofle) puis ajouter les 2 oignons en gros morceaux. Les faire cuire jusqu’à ce qu’ils soient dorés.
Ajouter l’ail et le gingembre et mélanger, puis les tomates coupés en morceaux et le concentré.
Puis mettre les épices en poudre : sel, piment, garam massala, cumin, curcuma et 10 cl d’eau pour obtenir une sauce.
Ensuite c’est le tour des légumes : chou fleur en petites florettes, haricots verts coupés en trois, carottes émincés assez gros (5 mm d’épaisseur), pommes de terre en gros cubes et un peu d’eau et une pincée de sucre. Couvrir et laisser cuire à feu doux pendant 10 minutes.
Pendant ce temps, mettre le four à chauffer à 180° et commencer la cuisson du riz.
Dans une casserole d’eau bouillante et salée, ajouter le riz rincé, une feuille de laurier, un bâton de cannelle et 2 gousses de cardamome. Laisser cuire jusqu’à ce que le riz soit cuit à 70%. Égoutter et réserver.
Pour le montage du biryani, prendre une cocotte passant au four (idéalement une cocotte en fonte. La mienne fait 23 cm de diamètre et elle est bien remplie.
Mettre une couche de riz et recouvrir d’une couche d’oignons puis de légumes et recommencer une autre fois. Si vous repérez des épices entières, c’est le moment de les retirer pour ne pas les retrouver dans votre assiette. Finir par une couche de riz et recouvrir du reste d’oignons.
Les meilleurs … rien que ça. Sérieusement, ils sont vraiment excellents, la meilleure recette que j’ai essayée jusqu’à maintenant.
Ingrédients :
275 g de beurre
225 g de chocolat noir en morceaux
¾ cup de cacao en poudre
1 càs de poudre d’expresso soluble
2 cups de sucre blanc
½ cup de cassonade
2 càc d’extrait de vanille
2 càc de sel
6 oeufs
1 cup de farine
Préchauffer le four à 180° C.
Mettre du papier cuisson dans un moule ou plat de 22 x 30 cm. Laisser le papier déborder de 2 côtés pour faciliter le démoulage.
Mélanger le chocolat coupé avec ¼ de cup de cacao en poudre et l’expresso en poudre dans un récipient résistant à la chaleur (ou un saladier) et réserver.
Mettre le beurre dans une petite casserole et le faire fondre à feu moyen jusqu’à obtention d’un légère ébullition. Verser immédiatement le beurre sur le chocolat et laisser reposer 2 à 3 minutes. Fouetter alors pour obtenir un mélange homogène et un chocolat complètement fondu. Réserver.
Mélanger dans un saladier le sucre blanc, la cassonade, l’extrait de vanille, le sel et les œufs. Battre vigoureusement avec un fouet environ 10 minutes, jusqu’à obtention d’un mélange mousseux.
En continuant de battre, ajouter le mélange beurre chocolat (légèrement refroidi) et mélanger jusqu’à obtention d’un pâte lisse.
Passer à la passoire la farine et le reste du cacao (1/2 cup) et utiliser une spatule pour le mélanger dans la pâte.
Verser la pâte dans le moule. Faire cuire pendant 20 minutes.
Sortir le moule et le claquer 2 fois sur le plan de travail. Je sais c’est bizarre mais il est plus régulier comme ça au final …
Remettre au four 20 minutes ou jusqu’à ce qu’un cure dent ressorte presque impeccable. Dans l’idéal ce brownie se mange pas trop cuit.
Faire tiédir puis passer sur une grille pour terminer le refroidissement.
J’ai partiellement appris l’année dernière The Entertainer de Scott Joplin au piano (enfin un arrangement très très simplifié), mais cette version à la guitare est tout bonnement époustouflante.
Et quand Tommy Emmanuel vous fait la carpette à la fin du morceau (façon Wayne’s World), vous pouvez être fier de vous, c’est que ça envoie du lourd.
Voici une recette qui initialement se fait avec du paneer (une sorte de fromage frais) mais que nous n’avons pas pu trouver, alors nous avons utilisé du poulet.
Ingrédients :
3 càs d’huile
3 càs de beurre
1 oignon rouge en gros morceaux
3 gousses d’ail hachées grossièrement
1 cm de gingembre haché grossièrement
4 tomates hachées grossièrement
30 g de noix de cajou crues
450 g de poulet
2 feuilles de laurier
4 gousses de cardamome
6 clous de girofle
un bâton de cannelle
20 cl d’eau
2 càs de concentré de tomates
1 càc de sel
1 càc de curcuma
1 càc de poudre de piment
1 càc de garam massala
1,5 càs feuille de fenugrec sèche (optionnel)
1 càc de sucre
3 càs de crème liquide
Dans une cocotte ou une sauteuse, faire chauffer une cuillère à soupe d’huile et y ajouter l’oignon en morceaux. Cuire à feu moyen pendant 10 minutes jusqu’à ce qu’ils commencent à colorer.
Ajouter l’ail et le gingembre et laisser cuire pendant 2 minutes. Ajouter les tomates et les noix de cajou préalablement trempées dans de l’eau. Laisser cuire pendant 12 minutes.
Une fois que les tomates sont bien tendres, retirer du feu et laisser refroidir pendant 10 minutes. Passer au blender, à la moulinette ou à la girafe pour obtenir une sauce crémeuse.
Dans la même cocotte qui a servi pour les tomates, faire chauffer une cuillère à soupe d’huile et 3 cuillères à soupe de beurre. Ajouter le laurier, la cardamome, les clous de girofle et le bâton de cannelle. Laisser revenir pendant 30 secondes.
Insérer la sauce à la tomate et 20 cl d’eau, bien mélanger et amener à ébullition. Pour faire ressortir le goût de tomate, ajouter le concentré de tomates. Laisser mijoter à couvert et à feu doux pendant 15 minutes.
Enfin, ajouter les dernières épices : sel, curcuma, piment et garam massala. Si vous avez les feuilles de fenugrec, c’est le moment (moi je n’en avais pas).
Mettre le poulet et le sucre et laisser cuire jusqu’à ce que le poulet soit cuit.
Avant de servir, rajouter la crème. Rectifier l’assaisonnement.
Vous pouvez retirer les épices entières avant d’amener le plat à table.
Une bonne recette d’hiver bien réconfortante (je sais ce n’est pas de saison, mais je suis en train de faire la mise à jour de toutes les recettes que j’ai en retard).
Originaire du nord, je ne pouvais qu’essayer un ragoût à base de bière. Ça change du bourguignon, même si le principe est le même. A tester.
Ingrédients :
500 g de boeuf à Bourguignon
50 cl de bonne bière (de la Goudale dans notre cas)
2 branches de céleri
2 oignons
5 carottes
huile d’olive
2 càs de farine de riz
1 grosse boite de tomates
sel et poivre
2 feuilles de laurier
Si vous compter utiliser le four, préchauffez-le à 180°C.
Laver le céleri et le couper en gros morceaux. Peler et hacher grossièrement les oignons. Peler les carottes et les couper en morceaux.
Faire chauffer une cocotte à feu moyen. Ajouter les légumes, le laurier et l’huile d’olive. Faire revenir pendant 10 minutes.
Ajouter la farine et la viande, coupée en morceaux de 4 ou 5 cm.
Verser la bière et la boite de tomates.
Mélanger et assaisonner avec sel et poivre. Porter à ébullition, couvrir, et faire cuire à feu doux ou dans le four, pendant 3 heures.
Retirer le couvercle pendant la dernière demi heure de cuisson et ajouter un peu d’eau si la sauce parait trop épaisse. Éliminer les feuilles de laurier et rectifier l’assaisonnement.
J’avais déjà fait des articlesil y a un certain temps sur les sites proposant des backing tracks gratuits pour la guitare. Mais Internet étant ce qu’il est, tout cela évolue.
Voici une liste mise à jour en août 2018 des meilleurs sites que j’ai pu dénicher.
La première occurrence dans Google et certainement l’un des sites proposant le plus de choix. Beaucoup de groupes sont présents avec des playbacks de qualité variables. Un système de notation aide à y voir plus clair.
Le téléchargement est soumis à la création d’un compte, mais l’interface web propose 2 options qui rendent les services attendus à l’utilisateur : tempo modifiable (jusqu’à – 50% et + 20%), looping entre 2 points du morceau. Bref, le minimum syndical.
Encore une vitrine de channels Youtube. Ce site offre malgré tout de bonnes informations complémentaires par rapport à la vidéo seule. En plus des traditionnels genre, style, tonalité et popularité, il y a une proposition de gammes et de modes utilisables sur le BT. La touche (érable ou palissandre au choix) de la guitare virtuelle permet de voir les notes de chacune des gammes avec des options sympatoches comme la possibilité d’avoir toutes les notes ou seulement certaines positions ou bien la gamme sur une seule corde. Très cool.
Le site offre des BT pour guitare, basse et batterie. On peut faire ses recherches par tonalité ou par genre ou par catégorie pour la guitare à partir de la page d’accueil. Mais une page dédiée permet de trouver le BT de ses rêves avec plus de critères.
Bref un très site avec de bon BT dans des styles variés. Des heures de fun en perspective.
Enfin, si vous cherchez à jouer ur les originaux de vos chansons préférées, vous pouvez toujours utiliser Riffstation, qui est depuis peu gratuit. C’est un excellent logiciel que je vous conseille puisqu’en plus de supprimer certaines fréquences et donc permettre de se faire un BT, il reconnait les accords de manière plus que correcte. Ce qui est pour moi un de ses gros avantages 🙂
En conclusion, on peut dire que le business des BT c’est déporté largement sur Youtube et que le plus gros des BT que j’ai pu trouver lors de mes recherches mène dans cette direction. Il va falloir que je regarde de ce côté pour trouver les meilleurs channels. J’en ai déjà quelques uns dans mes favoris. Je vous ferai un billet à l’occasion.
C’est difficile de trouver de bonnes recettes de cookies sans gluten. Ceux-ci donnent un peu de mâche grâce à l’ajout de flocons d’avoine (sans gluten), car habituellement les petits gâteaux sont assez farineux. Ils ont eu un grand succès à la maison.
Ingrédients :
100 g de beurre ramolli
100 g de sucre roux
1 oeuf
1 càs de miel
120 g de farine de riz
30 g de farine de pomme de terre
1/2 càc de bicarbonate de soude
1/2 càc de levure chimique
100 g de flocons d’avoine sans gluten
50 g de pralin
50 g de pépites de chocolat noir
Préchauffer le four à 180°.
Battre au fouet le beurre et le sucre.
Ajouter l’œuf, puis le miel.
Dans un autre saladier, mélanger les farines, le bicarbonate, la levure et les flocons d’avoine.
Combiner tous les ingrédients et bien mélanger.
Ajouter le pralin et les pépites de chocolat.
Déposer des petits tas sur une plaque recouverte de papier cuisson et cuire 10 minutes.
Je suis dans ma phase rétro gaming en ce moment. je viens de me commander un Rapsberry Pie pour me faire une recalbox et je regarde quelques vidéos sur le sujet.
Mais la vidéo ci-dessous a attiré mon attention sur la manière dont la musique pour la Super Nintendo était composée et codée dans la machine.
Quand on pense que toute la musique et le bruitage pour un jeu était codés dans 64 kb, ça laisse songeur …
Voici une bonne recette de pâtes à la sauce tomate prête en quelques minutes. Depuis quelques semaines, je deviens fan des anchois à l’huile. Contrairement à ce que nous pensions, on ne sent pas du tout le goût de poisson, mais ça donne une profondeur supplémentaire à la sauce. Vraiment très agréable. Je vous recommande d’essayer.
Ingrédients :
360 g de bucatini ou de spaghetti
500 g de tomates cerise
10 filets d’anchois à l’huile
une quinzaine de feuilles de basilic
quelques feuilles de persil
60 g de beurre
1 càs d’huile d’olive
4 gousses d’ail
sel et poivre
Faire cuire les pâtes selon les recommandations du fabricant.
Pendant ce temps, peler et couper l’ail en fines lamelles et couper les tomates en 2.
Mettre dans une grande poêle le beurre et l’huile. Les faire chauffer à feu moyen. Y faire revenir l’ail pendant 2 minutes.
Ajouter les anchois hachés et les tomates et augmenter un petit peu le feu. Laisser cuire 5 minutes en remuant régulièrement. Si la sauce attache, réduire le feu et ajouter un peu d’eau de cuisson des pâtes.
Garder un peu de cette eau de cuisson (environ 10 cl) et égoutter les pâtes. Ajouter les pâtes dans la sauce et mélanger intimement sur feu vif, en ajoutant de l’eau pour que les pâtes soient bien couvertes.
Ajouter les herbes émincées et rectifier l’assaisonnement si nécessaire.
Une recette très simple de brioche sans gluten à la machine à pain.
On met dans l’ordre tous les ingrédients ci-dessous dans la cuve de la machine et on lance le programme français (sur notre machine).
175 g de lait
220 g de mélange de farines (tapioca, sarrasin, riz, un tiers de chaque)
Voici la recette du dessert de mon anniversaire de cette année. On l’a tellement bien mangé que je n’ai pas eu le temps de prendre de photos.
C’est une tarte façon allemande avec une base de génoise qui fait la croûte de la tarte grâce à un moule un peu spécial (dont je vous mets la photo un peu plus bas). Ici, point de salut si vous n’avez pas ce moule. Mais ça vaut le coup car c’est vraiment délicieux.
Ingrédients :
250 g de chocolat noir
6 œufs
100 g de sucre
170 g de beurre + 20 g pour le moule
100 g de farine
2 càc de levure chimique
1 càc d’extrait de vanille
Préchauffer le four à 190°.
Faire fondre 120 g de beurre.
Séparer les blancs des jaunes de 3 œufs.
Dans un saladier, fouetter le sucre avec les jaunes d’œufs jusqu’à ce que le mélange blanchisse, puis ajouter le beurre fondu, la farine, la levure et l’extrait de vanille.
Battre les 3 blancs en neige bien ferme (en ajoutant une pincée de sel) et les incorporer doucement à la préparation précédente en faisant bien attention à ne pas casser les blancs.
Beurrer le moule (je vous mets une image ci-dessous) généreusement et y verser la pâte. Faire cuire environ 10 minutes, jusqu’à ce que la tarte soit dorée.
Préparer la mousse. Faire fondre le chocolat cassé en morceaux au bain-marie ou au micro ondes. Mélanger pour obtenir une préparation bien homogène.
Séparer les jaunes des blancs des 3 œufs restants.
Hors du feu, ajouter les jaunes au chocolat fondu et bien mélanger. Refaire chauffer 3 minutes (si vous utilisez la méthode du bain-marie ou 2 minutes si vous faites au micro ondes, à adapter en fonction de votre four).
Ajouter 50 g de beurre en morceaux petit à petit tout en remuant.
Battre les blancs en neige ferme avec une pincée de sel. Ajouter un tiers environs de vos blancs dans le mélange au chocolat et incorporer doucement en faisant attention à ne pas casser les blancs. Ajouter ensuite la totalité de vos blancs.
Verser la préparation dans le fond de génoise et mettre au réfrigérateur pendant 4 heures pour que la mousse prenne.
Pour ceux qui n’ont pas une grosse collection de musique ou qui n’ont pas l’usage d’un serveur de type Plex ou Kodi à la maison, l’usage d’un simple lecteur multimédia peut avoir du sens pour streamer du contenu.
Jusqu’à très récemment, VLC (mon player par défaut) ne pouvait lire les contenus qu’en local sur le PC sur lequel il était utilisé. Mais désormais, depuis la version 3, il est possible d’envoyer depuis VLC du contenu dans sa Chromecast (audio ou vidéo). C’est cool, ça dépanne bien si mon serveur n’est pas allumé par exemple ou si je viens de télécharger mon film de vacances sur mon portable et que je n’ai pas encore eu le temps de rentrer ça dans Plex.
Pour utiliser cette fonction, c’est très simple.
On se rend dans le menu « Lecture », puis « Rendu » et on choisit sa Chromecast dans la liste. Pour moi c’est Audio.
Ce n’est pas souvent que l’on fait des pâtes au fruits de mer à la maison, mais un de mes fils est fan de crevettes alors, c’était l’occasion.
Ingrédients :
2 tomates mûres pelées et épépinées
300 g de queues de crevette décortiquées
200 g de poivron rouge en lanières
10 brins de persil hachés
1 oignon haché
6 càs d’huile d’olive vierge extra
2 càs de crème fraîche
Sel et poivre blanc
Concasser grossièrement la chair des tomates.
Décortiquer les crevettes, les rincer et les sécher avec un torchon.
Faite fondre l’oignon dans une sauteuse avec 4 cuillerées d’huile, sans le laisser blondir. Ajouter les poivrons (en réserver une cuillerée), les tomates concassées, une pincée de sel et de poivre et 2 cuillerées d’eau. Couvrir la sauteuse et faire cuire à feu moyen 30 min environ, en mélangeant de temps en temps.
Retirer la préparation du feu et la passer au moulin à légumes.
Dans une poêle, faire chauffer le reste de l’huile avec les lanières de poivron réservées et les faire revenir pendant 5 minutes. Ajouter alors les crevettes, saler poivrer et faire revenir 2 minutes.
Faire cuire les pâtes al dente.
Réchauffer la sauce tomates et y ajouter la crème.
Mélanger la sauce et les pâtes et recouvrir du mélange de crevette et de persil haché.
Je l’ai déjà dit de nombreuses fois, mais j’adore la cuisine indienne. Nous avons un très bon restaurant pas très loin de la maison, mais ça ne m’empêche pas de cuisiner moi-même très souvent.
Traditionnellement, le biryani est cuisiné tout en un et servi à table avec le riz recouvrant la viande. Mais j’avoue que j’ai la flemme de sceller la cocotte alors je le fais comme un curry normal.
Ingrédients :
1 kg de gigot ou d’épaule d’agneau désossé et coupé en cubes de 3 cm
1 morceau de gingembre de 7 cm râpé
2 gousses d’ail hachées
2 càs de garam massala
1/2 càc de piment en poudre
1/2 càc de curcuma en poudre
4 piment verts finement émincés
20 g de feuilles de coriandre hachées
15 g de feuilles de menthe hachées
4 oignons finement émincés
120 ml d’huile
125 g de beurre
25 cl de yaourt nature épais
sel
Mettre dans un saladier l’agneau avec le gingembre, l’ail, le garam masala, la poudre de piment, le curcuma, les piments, la coriandre et la menthe. Mélanger et laisser mariner 2 heures ou mieux, toute la nuit.
Faire dégorger les oignons dans une passoire pendant 10 minutes en les saupoudrant de sel. Les rincer puis les sécher dans du papier absorbant.
Faire chauffer dans une cocotte le beurre et l’huile et ajouter les oignons pour les faire revenir pendant 10 minutes, jusqu’à ce qu’ils soient dorés. Les égoutter alors dans une passoire et réserver l’huile et le beurre.
Retirer l’agneau de la marinade, réserver la marinade et faire revenir la viande dans l’huile et le beurre réservé jusqu’à ce qu’elle soit uniformément dorée.
Remettre les oignons ainsi que la marinade et le yaourt et laisser cuire à feu doux pendant 40 minutes ou jusqu’à ce que l’agneau soit tendre.
Servir avec un riz blanc que vous pouvez agrémenter de ghee et de safran si vous voulez faire comme un vrai biryani.
Un souvenir d’enfance, il s’agit d’un des plats que ma maman me cuisinait le mieux. Je me devais de faire honneur à la tradition et sa mémoire.
Ingrédients :
Préparation du veau
700 g de morceaux de veau à blanquette
1 oignon
2 carottes
2 blancs de poireau
1 petite branche de céléri
2 clous de girofle
Sel et poivre
Eau
Préparation des champignons de Paris
150 g de champignons de Paris
1 citron jaune
20 g de beurre
1 pincée de sel
Préparation de la sauce
30 g de farine
40 g de beurre
Sel et poivre
50 cl du bouillon
20 g de crème fraîche épaisse
1 jaune d’œuf
Couper la viande en cubes et la mettre dans une cocotte. Recouvrir d’eau froide et porter à ébullition. Maintenir l’ébullition 5 minutes, puis égoutter la viande dans une passoire et la rincer à l’eau froide. Nettoyer également la cocotte pour se débarrasser de toutes les impuretés qui sont remontées pendant l’ébullition.
Éplucher l’oignon et le piquer avec les clous de girofle. Couper les carottes en 2 ou 3 morceaux. Fendre le poireau dans la longueur et laver sous l’eau froide pour ôter toute trace de terre.
Remettre la viande dans le faitout. Ajouter l’oignon, les carottes, le poireau, le céleri. Recouvrir une nouvelle fois d’eau froide, saler et poivrer.
Porter à ébullition et écumer si nécessaire. Couvrir et laisser mijoter au moins une heure à feu doux.
Pendant ce temps, nettoyer les champignons de Paris et les couper en 2 ou en 4 en fonction de leur taille.
Les mettre dans une petite casserole avec 20 g de beurre, un verre d’eau et le jus du citron plus une pincée de sel. Faire cuire à petit feu pendant 10 minutes. Égoutter à l’aide d’une écumoire et réserver les champignons et leur jus de cuisson dans 2 récipients différents.
Une fois que le veau est cuit, pêcher les morceaux de viande et les réserver au chaud. Garder 50 cl du bouillon dans lequel il a cuit.
Dans une autre casserole, faire fondre les 40 grammes de beurre et y verser la farine pour faire un roux. Mélanger et cuire 2 minutes sans cesser de remuer au fouet. Ajouter petit à petit 50 cl du bouillon de cuisson ainsi que le jus des champignons en remuant au fouet. Faire cuire quelques minutes, jusqu’à obtention d’une sauce épaisse. Rectifier l’assaisonnement si nécessaire.
Mettre la viande dans une cocotte, y verser la sauce et les champignons. Faire chauffer quelques minutes sur feu doux en mélangeant.
Mélanger dans un bol la crème fraîche épaisse et le jaune d’œuf.
Retirer la cocotte du feu et y verser cette liaison. Mélanger et réchauffer sur feu doux.
Voici une salade d’inspiration mexicaine que nous faisons régulièrement depuis des années, mais que je n’avais jamais pris le temps de consigner dans mon bloc note de recettes. C’est désormais chose faite.
Ingrédients :
350 g de steak de boeuf (un faux filet est idéal)
4 gousses d’ail
le jus d’un citron vert
4 càs d’huile d’olive
1 càs de vinaigre de vin rouge
1/4 de càc de piment doux
1/2 càc de paprika fumé
1/4 de càc de cumin
200 g de salade
400 g de haricots rouges
2 tomates en dés
1 avocat en dés
3 càs de coriandre hachée
1 petite boite de maïs
des chips de maïs
Placer la pièce de boeuf dans un plat avec l’ail et la moitié de l’huile d’olive et de jus de citron vert. Saler et poivrer puis laisser mariner.
Mélanger le vinaigre, la poudre de piment, le paprika et le reste d’huile d’olive et de jus de citron vert. Ajouter une pincé de sucre et réserver.
Cuire la pièce de boeuf à la poêle jusqu’à la cuisson souhaitée. La découper en fines lanières. Réserver en gardant au chaud ou en laissant refroidir (au choix).
Faire tremper les dés d’avocat dans le jus de citron. Mélanger les feuilles de romaine et les ciboules et les disposer sur un plat de service. Arroser avec la moitié de l’assaisonnement, puis disposer le maïs, les haricots, la chair d’avocat et les tomates. Saupoudrer de poudre de piment et de coriandre.
Disposer les lanières de viande et les miettes de chips, puis verser le restant de l’assaisonnement. Servir immédiatement.
Voici une recette très fine et où la viande reste extrêmement tendre. A tester.
Ingrédients :
170 ml de crème de coco
125 ml de bouillon de volaille
1.5 càs de jus de citron vert
2 càc de gingembre frais rapé
4 escalopes de poulet
farine pour saupoudrer
4 càs d’huile
2 càs de coriandre fraîche hachée
Sel
Battre avec un fouet la crème de coco, le bouillon, le jus de citron vert et le gingembre dans un saladier. Saler.
Couper le poulet en lamelles de 1 cm, le saler et l’enduire de farine (à faire au dernier moment)
Faire chauffer le wok et y mettre l’huile quand il est chaud. Quand elle fume y faire cuire le poulet 4 à 5 minutes jusqu’à ce qu’il soit bien doré. Faire plusieurs fournées, sinon vous ne vous en sortirez pas. Réserver.
Verser la préparation à base de crème de coco dans le wok et porter à ébullition pendant 5 minutes, jusqu’à ce qu’elle ai réduit de moitié et épaissi.
Remettre le poulet dans le wok, ajouter la coriandre et laisser mijoter 1 minute pour que tout soit uniformément chaud.
Servir immédiatement, décoré avec quelques feuilles de coriandre et un bon riz blanc.
Attention, si vous préparez vos ingrédients en avance, ne farinez pas le poulet. Attendez le dernier moment pour le faire, sinon vous allez vous retrouver avec un bloc compact de poulet extrêmement difficile à faire cuire.