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Les 10 articles les plus lus en 2013

Je suis pile à l’heure (à la minute même) pour me faire une petite rétrospective. C’est toujours marrant (peut être seulement pour moi, le taulier de séant), de savoir ce que les gens viennent chercher sur ce blog. Les thématiques étant larges, il y en a pour tout le monde, mais qu’est ce qui fait le plus venir les lecteurs sur ce site ?

Voici donc le top 10 des billets les plus lus en 2013 :

Comment créer des modèles de message dans Gmail : de loin le plus lu, faut croire que ce n’est vraiment pas ergonomique (et je le confirme)

Présentation de 3 lecteurs audio installables sous Ubuntu : un article que j’avais commis dans un numéro de Linux Identity. Il est vrai qu’il y a un paquet de lecteurs disponible et mon humble contribution n’en effleure que 3.

Une machine à pâtes à vendre pas cher chez Lidl : même périmé, c’est un billet qui draine des lecteurs …

Supprimer la demande de mot de passe du trousseau dans Ubuntu 9.04 Jaunty : idem

Changer la pile d’une cartouche de Gameboy : celui là est vraiment étonnant. Ça veut donc dire qu’il y a toujours des gens qui jouent avec de vieilles Gameboy. Après tout pourquoi serais-je le seul 😉

[WordPress] Comment corriger l’erreur planification manquée : très utile quand on a un blog WordPress !! A même servi à Jon de GuitarNoize (qui est pourtant développeur Web)

Guitar Pro 5 : avoir les diagrammes d’accord en même temps que la partition : l’interface est tellement riche que ça ne m’étonne pas que ça serve encore.

Gérer deux écrans avec Ubuntu et Nvidia Settings : il n’y a pourtant pas tant e monde avec un dual screen à la maison.

Enregistrer un flux audio en sortie de carte son sous Linux : ahh les émissions non podcastées.

Floating guitars, des supports de guitares invisibles et classieux : un de mes coup de coeur matos de 2013. La classe. Un poil cher quand même

La surprise, c’est qu’il n’y a pas de recette de cuisine dans ce top 10, alors que c’est de loin la catégorie la plus représentée. En revanche, les astuces sous Linux sont bien présentes. Et un billet guitare fait une timide apparition en 10ème position.

Et à titre de comparaison, voici les billets écrits en 2013 les plus lus :
Les lecteurs audio dans Ubuntu : ma prose dans Linux Identity intéresse, tant mieux

[WordPress] Comment corriger l’erreur planification manquée : voir ci dessus

Floating guitars, des supports de guitares invisibles et classieux : voir ci dessus

Candy Crush Saga : remettre son compteur de vie à 5 : ce billet est un bon investissement pour les mois et les années à venir je pense. Faut dire que c’est un bon jeu.

Planches Fender, luthier et cuisinier, même combat : belle surprise. Cuisiniers guitaristes, faites vous connaitre.

[Vidéo] Super démonstration de magie électronique propulsée par l’open source : une belle vidéo, je suis content qu’elle pointe son nez dans ce top 10.

Le premier Apéro Riff était un succès : encore une belle expérience de 2013. Je regrette de n’avoir pas pu me rendre au deuxième.

Le pain pita à la poêle : oh, une recette de cuisine. Pas celle que j’aurai pensé arriver là.

Comment obtenir un flux RSS pour les timelines Twitter avec l’aide de Google Scripts : une astuce hyper pratique dont je me sers tous les jours pour suivre mes twittos favoris (j’ai horreur des clients Twitter). Twitter, je te maudis de ne plus proposer de flux RSS.

Tabernacle, vla un beau Caribou chez Duesenberg : une bien jolie guitare d’un excellent facteur d’instrument allemand qui n’a pas encore la renommée qu’il mérite.

Bon, en 2013, on voit quand même la nette apparition des billets à propos de la guitare et a me fait plaisir. Normal, c’est l’année de la reprise en douceur. Je compte encore forcer le trait en 2014. Mais je garde mon côté hétéroclite, trop la flemme de me disperser sur plusieurs blogs.

[WordPress] Changer en masse l’auteur des billets

Suite à mes mésaventures de hackage par des sauvages du sud est asiatique, j’ai eu pas mal de problèmes avec mes billets, en autres avec le nom de l’auteur qui avait sauté.

En me plongeant dans les arcanes de mon blog, j’ai voulu réparer ça pour que tous les posts soient bien associés à mon utilisateur. J’ai d’abord cherché un plugin pour le faire alors qu’il n’y en a absolument pas besoin, car WordPress fait ça nativement de manière très simple.

Tout se passe dans la partie « Articles » de l’administration.  wordpress modifier auteur article 01

Sélectionnez d’abord les articles sur lesquels vous voulez appliquer le changement d’auteur. Au besoin, adaptez le nombre d’articles qui s’affichent en suivant ce tuto de votre serviteur (à propos des commentaires en indésirable mais ça fonctionne de la même manière pour les billets).

Ensuite choisir dans le menu déroulant en haut et à gauche, « Modifier » et cliquez sur le bouton « Appliquer ».

wordpress modifier auteur article 02

 

Dans la nouvelle page qui se charge, vous avez un menu déroulant « Auteur » qui vous permettra de changer … l’auteur des articles sélectionné. Bien sûr, l’auteur en question doit figurer dans la liste de ceux existants et autorisés par votre installation de WordPress.

wordpress modifier auteur article 03

 

Bon nettoyage.

Customiser GRUB-PC dans Ubuntu 10.04

J’ai la chance de pouvoir écrire assez régulièrement pour le magazine Linux Identity (j’en avais parlé dans un précédent billet d’ailleurs). Ce qui est sympathique, c’est que l’on peut reproduire le contenu des articles que l’on écrit au bout d’un certain temps. Voici donc ma prose sur la customisation de Grub-PC sur Ubuntu 10.04 (mais je pense que ça doit pouvoir s’adapter aux versions ultérieures d’Ubuntu, à toute distribution à base de Debian et peut être même aux autres.)

De GRUB à GRUB-PC

Afin de démarrer, votre ordinateur a besoin de savoir quels sont les systèmes d’exploitation présents, afin de pouvoir choisir celui qui doit être lancé et mettre en marche la procédure de boot.
Dans les versions d’Ubuntu antérieures à la 9.10, GRUB Legacy (GRUB étant l’acronyme de GRand Unified Bootloader) était le programme installé par défaut qui était en charge de cette tâche. Il peut amorcer des systèmes compatibles avec la norme POSIX (GNU/Linux, *BSD, Apple Mac OS, etc.) et possède également la capacité d’enchainer vers un autre amorceur pour les systèmes non compatibles avec la norme POSIX (comme Windows).

Cependant, le projet a choisi de faire évoluer GRUB vers une nouvelle version et un nouveau programme a été écrit, qui a donné naissance à GRUB 2, renommé ensuite GRUB-PC.

Présentation de GRUB-PC
Tout comme GRUB Legacy, GRUB-PC va vous permettre de choisir les entrées qui seront disponibles lors du démarrage de votre ordinateur. Il est également compatible avec les OS de la norme POSIX et ceux qui ne le sont pas. Aucun souci donc pour faire cohabiter par exemple, un ou plusieurs systèmes d’exploitation GNU Linux, une version de Microsoft Windows et une de Mac OS dans le menu.

Grub au démarrage

Cette nouvelle version ayant été réécrite totalement, elle est devenue beaucoup plus puissante. La contrepartie de cette puissance étant une complexité de paramétrage accrue et le nombre d’options disponibles.

Les avantages et inconvénients de GRUB-PC vs GRUB

La majorité des paramétrages de GRUB Legacy tenait dans un seul fichier, « /boot/grub/menu.lst ».

Un simple éditeur de texte en mode super utilisateur suffisait pour paramétrer l’ordre des OS au démarrage, leur nombre, le timeout, …

Aujourd’hui ce n’est plus forcément vrai. En effet, GRUB-PC est plus complexe que son ancêtre. Il est composé de plusieurs fichiers et de scripts répartis dans plusieurs répertoires et la simple édition de ces fichiers n’apportera pas forcément la modification escomptée.

L’avantage de cette complexité étant notamment que le programme possède désormais une interface graphique, est nettement plus modulable et s’adapte à un plus grand nombre d’architectures matérielles.

Afin de s’y retrouver par la suite, voyons quels sont les fichiers utilisés par GRUB-PC

Liste des fichiers utilisés pour la configuration

Voici une brève présentation des fichiers que nous allons rencontrer dans les paragraphes suivants.

  • /boot/grub/grub.cfg : C’est le fichier lu au démarrage de l’ordinateur, remplaçant donc menu.lst sur grub-legacy. En revanche, comme il est généré automatiquement par update-grub, il ne doit donc pas être modifié manuellement, sous peine de voir ses modifications écrasées lors de la prochaine mise à jour.
  • /etc/default/grub : il gère les valeurs par défaut de grub (notamment le délai de lancement, la résolution d’affichage, splash/quiet)
  • les fichiers du dossier /etc/grub.d/

Ce sont avec ces six scripts que nous allons le plus agir, car ils vont nous permettre de modifier les choix et l’ordre des systèmes d’exploitation dans le menu.

  • 00_header : contient le script gérant les options définies dans /etc/default/grub.
  • 05_debian_theme : gère les couleurs du menu et le fond d’écran éventuel.
  • 10_linux : contient le script spécifique au chargement d’un type de noyau. Ce script génère les entrées pour le système par défaut du grub.cfg.
  • 20_memtest86+ : lance le test de mémoire « memtest ».
  • 30_os-prober : contient le script de recherche des autres systèmes installés.
  • 40_custom : configuration perso. C’est là qu’on pourra paramétrer manuellement le lancement des systèmes d’exploitation.

La notion la plus importante à connaitre à propos de ces fichiers est qu’ils seront traités dans l’ordre numérique (00, puis 05, 10, 20 …). Cela aura son importance plus tard.

Modifier l’ordre des différents OS dans le menu

Si vous avez sur votre disque dur Windows et Ubuntu qui cohabitent, il peut arriver que vous souhaitiez modifier l’ordre d’apparition dans le menu des différents systèmes d’exploitation. En effet par défaut, ce sont les entrées Ubuntu qui apparaissent en premier, puis un séparateur et enfin les autres systèmes d’exploitation. Il est plus pratique, si comme moi vous n’utilisez finalement que deux entrées, d’avoir tout sous la main en descendant ou en montant juste d’une entrée avec les touches fléchées du clavier.

La solution la plus simple pour y arriver est de faire remonter les entrées Windows en premier dans la liste. Il suffit de renommer le fichier « 30_OS-prober » en lui donnant un nom qui commence par un nombre compris entre 06 et 09. Ce qui revient à faire traiter ce script entre « 05_debian » et « 10_linux », puisque nous avons vu précédemment que les fichiers sont traités dans l’ordre qui correspond à leur nom.

On se place donc dans le dossier contenant les scripts en tapant dans un terminal :

cd /etc/grub.d

Puis on renomme le fichier « 30_OS-prober » en « 07_OS-prober » pour le faire remonter dans l’ordre numérique des scripts, en tapant la commande suivante :

sudo mv 30_os-prober 07_os-prober

Si le fait de renommer le fichier original vous donne des sueurs froides, vous pouvez également l’enregistrer sous un autre nom, ce qui vous évitera de perdre votre fichier original, on ne sait jamais. En revanche, vous aurez deux fois les entrées Windows (au début du menu et à la fin). Pour ce faire, il suffit de saisir la commande cp (pour copy) au lieu de mv :

sudo cp 30_os-prober 07_os-prober

Liste des scripts grub modifiés

Rien ne vous empêche de supprimer « 30_OS-prober » par la suite quand vous aurez validé que la manipulation fonctionne.

Enfin, on met à jour le GRUB. C’est une manipulation à faire à chaque fois que vous modifiez quoi que ce soit dans les fichiers, car comme je l’ai indiqué plus haut, vos modifications ne seront pas prises en compte si vous ne le faites pas.

Donc toujours dans un terminal, on tape :

sudo update-grub

Et voilà vous devriez maintenant avoir les entrées Windows au dessus de celles d’Ubuntu.

ligne de commande sudo update-grub suite et fin

Supprimer des entrées de noyau dans le menu de démarrage

On continue dans le nettoyage du menu de démarrage avec la suppression des entrées des noyaux superflus. Si vous avez installé votre Ubuntu depuis un certains temps, vous avez certainement plusieurs noyaux qui ont été installé au fil des mises à jour. Le problème, c’est que chacun de ces noyaux apparait dans le menu, l’alourdissant d’autant. Nous n’allons donc garder que le dernier. Cette opération sera bien sûr à renouveler lorsqu’un nouveau noyau sera installé, mais seulement une fois que vous aurez constaté qu’il n’apporte pas de bug à votre installation.

La solution la plus simple, et qui a le mérite de se faire graphiquement, est de cacher les noyaux superflus en les déplaçant manuellement vers un dossier que l’on créera à cette occasion.

On ouvre tout d’abord le dossier « /boot » avec les privilèges de super utilisateur dans nautilus. A vous d’adapter si vous êtes sous Kubuntu ou Xubuntu avec votre gestionnaire de fichier favori.

gksudo nautilus /boot

On crée ensuite un dossier. Dans un espace vide, on clique droit de la souris et on choisit « Créer un dossier », que l’on nommera « NoyauxCachés ». On peut aussi utiliser le raccourci clavier Ctrl + Shift + N.

On sélectionne ensuite à la souris (ou en maintenant la touche Ctrl du clavier enfoncé entre chaque clic) tous les fichiers désignant un ancien noyau et on les fait glisser dans le dossier « NoyauxCachés ». Dans l’exemple ci-dessous ce sont tous les fichiers dont le nom contient la version du noyau 2.6.32-21.

Noyaux à supprimer

Attention cependant à ne pas cacher le noyau sur lequel votre système s’est lancé, car cela pourra poser des problèmes lors du prochain redémarrage. Soyez donc bien sûr des noyaux que vous déplacez.

Pour finir, on met à jour GRUB :

sudo update-grub

Maintenant, vous devriez voir que le ou les noyaux que vous avez déplacés n’apparaissent plus lors de la création du fichier grub.cfg

ligne commande sudo update-grub

Supprimer les entrées Memtest86 au boot

De la même manière que nous avons caché les noyaux superflus, les entrées Memtest peuvent être cachées également. Pour cela, il suffit de déplacer le script « 20_memtest86+ » dans un dossier que l’on va créer.

Pour changer, on va créer le dossier « memtest » dans le dossier dans /etc/grub.d/ en ligne de commande :

sudo mkdir /etc/grub.d/memtest

Puis, on déplace graphiquement le script « 20_memtest86+ » dans le dossier créé dans nautilus (toujours avec les droits de super utilisateur) :

gksudo nautilus /etc/grub.d
Fichiers dans grub.d

Et on n’oublie surtout pas de mettre à jour GRUB :

sudo update-grub
Ligne de commande sudo update-grub suite

Modifier le système d’exploitation sur lequel démarrer par défaut

Par défaut, c’est la première entrée du menu de démarrage qui est sélectionnée et qui provoquera le démarrage du système. Or, on peut avoir envie parfois de ne pas démarrer par défaut sur cette première ligne (par exemple pour démarrer sur Windows si on partage son PC avec d’autres

personnes). Pour modifier ce paramétrage, il faut tout d’abord comprendre la règle de comptage des entrées par GRUB, car c’est le numéro de la ligne qui va déterminer le système qui sera lancé.

Si on se base sur mon menu de démarrage avant que nous ayons appliqué toutes nos modifications, ça ressemble à cela :

Ubuntu, avec Linux 2.6.32-23-generic
Ubuntu, avec Linux 2.6.32-23-generic(mode de récupération)
Ubuntu, avec Linux 2.6.32-21-generic
Ubuntu, avec Linux 2.6.32-21-generic(mode de récupération)
Memory Test, (memtest86+)
Memory Test, (memtest86+, serial console 115200)
Microsoft Windows XP  Professionnel (on /dev/sda3)

Voici le même menu avec les numéros correspondants sur la gauche :

0	Ubuntu, avec Linux 2.6.32-23-generic
1	Ubuntu, avec Linux 2.6.32-23-generic(mode de récupération)
2	Ubuntu, avec Linux 2.6.32-21-generic
3	Ubuntu, avec Linux 2.6.32-21-generic(mode de récupération)
4	Memory Test, (memtest86+)
5	Memory Test, (memtest86+, serial console 115200)
6	Microsoft Windows XP  Professionnel (on /dev/sda3)

L’entrée de Windows XP correspondra donc au N° 6 car on commence à compter à partir de zéro.

Le plus simple pour choisir la ligne et donc le système d’exploitation sur lequel l’ordinateur sera positionné par défaut dans le menu est de saisir la ligne de commande ci-dessous, où « x » est bien sûr le nombre que l’on a trouvé à l’étape précédente,

sudo grub-set-default x

Cependant, sur certaines configurations, cette commande ne fonctionne pas. Il faut alors aller modifier manuellement le fichier /etc/default/grub, en modifiant la variable GRUB_DEFAULT= avec le nombre que l’on a trouvé précédemment.

On peut aussi choisir de fonctionner autrement et décider de mettre par défaut le système qui a été choisi lors du dernier démarrage. Dans ce cas la variable GRUB_DEFAULT= sera suivi de « saved » (sans guillemet), Pour que cela fonctionne, il faudra rajouter une ligne en dessous de celle que l’on vient de modifier avec l’entrée GRUB_SAVEDEFAULT=true.

Changement du fond d’écran du menu

La couleur noire du menu de démarrage est assez tristounette, il faut bien le dire. Nous allons donc ajouter une image en « fond d’écran » pour l’égayer.

On modifie tout d’abord le fichier /etc/default/grub. On l’ouvre dans un éditeur de texte et on décommente la ligne suivante (en enlevant le # qui se trouve devant) :

# GRUB_GFXMODE=640×480

On va fixer une résolution de 800×600 qui devrait convenir à la plupart des PC, en modifiant la ligne comme suit :

GRUB_GFXMODE=800x600x32,800×600

Le plus important dans la taille à donner est de conserver le ratio de votre écran (4:3, 16:10, …).

On renomme l’image en « 00_image_de_fond.jpg » puis on la copie dans le dossier /boot/grub/ avec les droits de super utilisateur.

Maintenant, nous allons modifier le script « 05_debian_theme » qui, comme on l’a vu précédemment, gère toute les customisations graphiques du menu. On l’ouvre avec son éditeur de texte :

sudo gedit /etc/grub.d/05_debian_theme

On modifie les lignes 10, 11 et 12 comme suit et on sauvegarde :

WALLPAPER= »00_image_de_fond.jpg »

COLOR_NORMAL= »white/black »

<COLOR_HIGHLIGHT= »blue/magenta »

En résumé, on a fait les choses suivantes :

  • donné le nom du fichier qui sera notre fond d’écran (WALLPAPER)
  • défini une couleur pour le texte (COLOR_NORMAL) : blanc sur fond transparent (le noir en deuxième correspond à transparent)
  • défini une couleur pour le texte sélectionné (COLOR_HIGHLIGHT) : bleu sur fond en magenta.

Et on n’oublie pas de mettre à jour :

sudo update-grub

Une fois toutes ces modifications effectuées, vous devriez avoir un magnifique menu de démarrage mis en forme comme vous le souhaitez et avec une belle image de fond. Ce ne sont pas des modifications compliquées et elles ne prennent pas des heures à mettre en place. Mais le résultat permet d’obtenir une meilleure ergonomie et un look largement amélioré.

GRUB2

Mise en place de Flattr sur le blog

En terme de monétisation et de mise en valeur du contenu, j’ai à partir des débuts du blog essayé quelques trucs. Depuis je suis revenu à plus de simplicité, il n’y a qu’adsense et une régie de liens textes qui génèrent des revenus. Pour ce qui est de la promotion du contenu, mise à part le Planet-Libre pour mes billets Linux et mon compte Twitter, il n’y rien, c’est le grand désert. Comme dirait mon bon ami Netgui, si le contenu est bon, pas de raison pour qu’il n’y ait pas de trafic à la longue. Même si je ne suis pas à 100% d’accord avec cette affirmation (les coups de pouces d’outils externes peuvent aider un peu quand même et surtout accélérer le processus), je reste sur cet état de fait, par manque de temps majoritairement.
Mais depuis quelques mois, je me tenais informé sur un nouveau site et concept qui me paraissait intéressant et que je voulais implémenter sur le site. Il s’agit de Flattr. Grosso modo, c’est un site qui va permettre de remplir les rôles à la fois de site de promotion et micro paiement.

Là ou ça devient intéressant, c’est que l’on va pouvoir choisir la somme mensuelle que l’on va donner aux articles pour lesquels on va voter. Et ça c’est vraiment un concept rafraichissant. Ça change du grand flou total d’adsense pour lequel on se demande bien pourquoi un clic peut aller de 1 à 10 en terme de rémunération.
On va également pouvoir mesurer le ratio entre ce que l’on donne (qui est fixe donc et déterminé à l’avance) et ce que l’on reçoit (qui va dépendre des autres membres de Flattr. Il est d’ailleurs à noter que Flattr a cette particularité de permettre de se créer un compte sans forcément être éditeur de contenu. On peut choisir donc de se créer un compte « simplement » pour soutenir les sites que l’on apprécie. C’est d’ailleurs conseillé car s’il n’y a que des blogueurs qui adhèrent au système, le système va vite tourner en rond.
Donc concrètement, ça va se matérialiser sous la forme d’un bouton au début de chaque article (et certainement ailleurs dans le thème du blog par la suite). Si vous cliquez sur le bouton et que vous vous êtes créé un compte, vous me « flatterez » et je partagerai la somme que vous avez décidé de mettre sur votre compte avec tous les autres sites que vous flatterez dans le mois.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à laisser des commentaires pour qu’on en discute.

C’est très flatteur

J’ai été contacté il y a plusieurs semaines par Linux Identity afin d’écrire un article pour le numéro qui est paru en kiosque au mois d’aout à propos d’Ubuntu 10.10. Je ne connaissais ce magazine que de nom. Après l’avoir feuilleté, je peux vous dire que l’exemplaire que j’ai reçu est bien fini, c’est clair et les articles sont intéressants.

Par conter, ça fait vraiment bizarre de voir son nom sur un vrai mag papier. Et ça fait bien plaisir aussi, c’est vrai. 🙂

Au fait, l’article que j’ai écrit parle de la customisation de GRUB2 ou GRUB-PC, pour avoir un menu de démarrage bien sympathique et à sa convenance. J’aurai le droit de reproduire le contenu sur le blog une fois que le magazine sera paru, donc, vous n’y couperez pas, vous pourrez le lire dans quelques semaines. Et je pense que je vais renouveler l’expérience, c’est finalement très sympa et c’est une autre facette du « métier » de l’écriture par rapport à ce que je produit sur ce blog.

Interruption du programme …

Certains d’entre-vous l’ont remarqué, le blog a été injoignable pendant 2 jours. La faute à ma bande passante qui a explosé.

Je vais donc commencer sérieusement à penser à migrer toutes mes photos vers mon Flickr, donc un travail de titan va devoir se mettre en place, car c’est un boulot de con !!! Si certains ont des plans ou des idées pour me faciliter la tâche, surtout qu’ils n’hésitent pas à éclairer ma lanterne dans les commentaires.

Sinon, en parlant de boulot de c.., j’ai commencé également à tirer profit de la fonction intégrée à WordPress de Thumbnails ou miniatures en français dans le texte. Vous pouvez voir qu’à la fin de chaque billet, vous avez désormais les billets suggérés avec une belle miniature, quand il y a une photo dans le billet en question et quand je lui ai dit de s’en servir. Bref, c’est également en chantier, mais tous les billets de la section cuisine sont déjà mis à jour et ça en fait plus de 80 mine de rien. Pas tout à fait 25% de tout ce que j’ai écrit dans ces murs en 2 ans et quelques.