Encore une recette que je tiens de ma gentille belle mère, le rôti de veau à l’Orloff. C’est très bon, c’est très riche, c’est très cher et c’est assez long à faire. Mais le jeu en veau la chandelle ;-).
Ingrédients :
- 800 g de quasi de veau (ou de noix)
- 60 g de beurre
- sel et poivre
Sauce soubise :
- 30 g de beurre
- 40 g de farine
- 25 cl de lait
- 125 g de champignons
- 4 beaux oignons
- 100 g de gruyère râpé
- 3 c à s de chapelure
- Faire cuire le rôti de veau : le saler et poivrer et le recouvrir avec le beurre. Mettre à four moyen à 180° pendant 1h30, jusqu’à ce qu’il soit bien doré. Attention à ne pas le dessécher.
- Éplucher les oignons, parer les champignons.
- Faire chauffer deux casseroles d’eau. Jeter les champignons et les oignons dans l’eau bouillante et laisser cuire les champignons 5 minutes et les oignons 20 minutes. Faire égoutter.
- Hacher grossièrement les champignons et les oignons.
- Préparer la sauce soubise : comme pour une béchamel, faire fondre le beurre dans une casserole et y ajouter ensuite la farine. saler et poivrer. Laisser cuire quelques minutes à feu doux. Ajouter le lait et les oignons hachés. Laisser épaissir.
- Quand la sauce a obtenu la consistance désirée, ajouter la moitié du gruyère et les champignons hachés. La sauce doit être assez épaisse.
- Couper le rôti en tranches et intercaler dans le plat de cuisson de la sauce entre chaque tranche. Mettre le reste du gruyère râpé sur le rôti et parsemer de chapelure. Remettre au four pour que le rôti soit doré et le gruyère fondu.
- Servir avec des pommes de terre noisettes.
J’ai lu que l’on pouvait remplacer le veau par du porc, ce qui rend le plat moins cher, mais pas moins gras. En revanche, avec du poulet ou mieux de la dinde, je pense que ça pourrait être tout aussi intéressant.
Ayayay, ça ma l’air vraiment délicieux ! C’est dans des instants comme ça que je ne regrette pas d’être un bon carnivore 😀
Hello !
De retour à lire sur ton blog, je vois que tu as continué dans les bonnes choses 😀 Bon là c’est clairement pour se faire mal au ventre et préparer un hiver spartiate, mais c’est toujours un plaisir.
En plus c’est du veau, ce qui fait que ça doit être un peu meilleur que le porc Orloff !
Je n’en n’ai jamais manger encore mais parfois varié les viande dans une même recette permet de varié aussi les gouts et de ne pas se lassé d’un très bon plats.