J’aime bien les recettes de Chetna. elles sont en général simple et très savoureuses. Ce curry de poulet n’échappe pas à la règle, même s’il est très différents de ceux que nous avons l’habitude de faire à la maison, comme le butter chicken ou d’autres curry de viande, voire de paneer.
Ingrédients :
4 càs d’huile
4 oignons rouges, coupés en fines tranches
1 bâton de cannelle
5 cm de gingembre frais, râpé
4 gousses d’ail, râpées
2 càs de concentré de tomates
1 càc de sel
8 hauts de cuisses de poulet sans peau, en gros morceaux
1 tête de brocoli
Pour le mélange d’épices
2 càs de graines de coriandre
1 càc de graines de cumin
1 càs de poivre noir entier (ou un peu moins si vous n’aimez pas trop piquant)
2 càc de graines de fenouil
Les graines de 4 gousses de cardamome
4 clous de girofle
1 piment rouge séché (optionnel)
Mettez tous les ingrédients du mélange d’épices dans une grande poêle et faites les griller à sec à feu moyen jusqu’à ce qu’ils dégagent un parfum. Transférez tout (sauf le piment rouge) dans un mortier et pilez les jusqu’à obtenir une poudre. Réservez.
Dans une cocotte, faites chauffer 3 à 4 cuillères à soupe d’huile. Ajoutez les piments rouges, le bâton de cannelle et les oignons rouges. Faites cuire pendant 7 à 8 minutes à feu moyen jusqu’à ce que les oignons soient dorés.
Ajoutez le gingembre et l’ail. Faites cuire pendant 2 minutes.
Ajoutez le concentré de tomates et 5 cl d’eau si ça commence à attacher au fond de la cocotte. Remuez et faites cuire pendant 1 minute.
Ajoutez le sel et le mélange d’épices préparé plus tôt. Remuez, puis ajoutez le poulet et 10 cl d’eau. Mélangez bien. Couvrez et laissez cuire pendant 10 minutes.
Ajoutez les brocolis par-dessus. Couvrez et laissez cuire pendant encore 20 minutes.
Remuez et servez avec un bon riz basmati et un dal.
Il y a déjà 2 recettes très différentes de butter chicken sur le blog, l’une par un irlandais et l’autre plus traditionnelle par Chetna. Celle ci se rapproche plus de celle que l’on trouverait dans un restaurant, mais passée au crible de l’Amérique.
En tous les cas, le résultat est vraiment délicieux et c’est notre préférée des trois.
Ingrédients :
Poulet et marinade :
1 kilo de cuisses de poulet désossées et sans peau
3 1/2 càc de sel
3 gousses d’ail émincées
2 càs de gingembre émincé
1 1/2 càs de jus de citron
1 cuillère à café de fenugrec (ou de garam masala si vous ne le trouvez pas)
3/4 cuillères à café de poudre de chili kashmiri (à adapter en fonction de votre amour du piment, sachant que normalement le butter chicken n’est pas très épicé)
200 g de yaourt grec
Mélanger le poulet avec les ingrédients ci-dessus, en frottant la marinade sur toute la surface pour couvrir le poulet. Couvrir et réfrigérer pendant au moins 30 minutes pour faire mariner.
Préchauffer le four à 230°C. Recouvrir une plaque à pâtisserie de papier d’aluminium et y déposer le poulet. Enfourner et faire cuire pendant environ 15 minutes.
Placer la plaque sous le grill du four (à 220° C dans mon cas) et faire griller jusqu’à ce que les bords commencent à être croustillants. Retourner chaque morceau de poulet sur l’autre face et remettre sous le grill jusqu’à ce que la deuxième face commence à prendre de la couleur également.
Laisser reposer avant de couper en morceaux d’environ 3 cm.
Sauce :
4 càs d’huile d’olive
1 oignon moyen coupé en petits dés
une grosse pincée de sel
2 càs de gingembre émincé
3 gousses d’ail émincées
2,5 càs de garam masala
2,5 càs de curcuma
2,5 càs de cumin
2,5 càs de coriandre
1 càc de poudre de chili du Cachemire (au goût de chacun)
1 3/4 càs de sel
160 g de concentré de tomate (1 petite boîte)
40 cl d’eau
2 càc de sucre
200 g de crème épaisse
3 càs de beurre non salé
Préchauffer une casserole à feu moyen. Ajouter l’huile, l’oignon et le sel. Remuer et laisser suer pendant 6 minutes.
Ajouter le gingembre et l’ail. Remuer et laisser cuire pendant environ une minute.
Ajouter les épices et laisser cuire pendant une à deux minutes jusqu’à ce qu’elles soient parfumées.
Ajouter la pâte de tomates, remuer et laisser revenir pendant environ une minute.
Incorporer l’eau jusqu’à ce que la pâte se dissolve et que le mélange se mette à frémir.
Couvrir, réduire le feu et laisser mijoter pendant 20 minutes.
Une fois la sauce cuite, ajouter le sucre et la crème et le beurre et mélanger.
Réduire en une sauce lisse avec un mixeur plongeant, si vous le désirez. Ce n’est pas obligatoire, mais c’est plus joli et agréable en bouche.
Incorporer le poulet en morceaux à la sauce et mélanger jusqu’à ce que tous les morceaux en soient recouverts.
Le sandwich est une merveilleuse invention. J’adore ça. Mais celui-ci va au-delà du simple jambon beurre et demande un peu d’investissement si on n’habite pas à New York.
En me basant sur la recette de Joshua Weissman, nous allons pouvoir faire un Bacon Egg and Cheese sandwich. Ce qui est intéressant, c’est principalement le pain, qui est vraiment consistant mais moelleux à la fois. En rajoutant le crémeux de l’oeuf et du fromage plus le croustillant du bacon, on a là un combo gagnant !
Pour les Kaiser Rolls au pavot:
Pour 6 pains
450 g de farine
9 g de sel marin fin
8 g de sucre
170 g d’eau chaude à 30°
8 g de levure instantanée
1 gros œuf
28 g de beurre ramolli
15 g de lait
graines de pavot pour la garniture
Garniture traditionnelle :
8 œufs
450 g de bacon fumé cuit
25 g de beurre non salé
8 tranches de fromage américain (j’ai utilisé du cheddar)
ketchup au goût
sel et poivre au goût
4 petits pains kaiser, fendus et grillés
Préparation des Kaiser Rolls :
Dans le bol d’un robot, ajouter la farine, le sel et le sucre. Mélanger.
Séparément, fouetter la levure dans l’eau jusqu’à ce qu’elle soit dissoute, puis incorporer l’œuf jusqu’à obtenir un mélange homogène.
Démarrez votre batteur à vitesse moyenne. Versez le mélange de levure dans le mélange de farine, mélanger jusqu’à obtenir une pâte grossière. Ajouter le beurre, et pétrir jusqu’à ce qu’il soit complètement incorporé et que votre pâte commence à se détacher des parois du bol, environ 2 minutes.
Continuer à pétrir pendant 2 à 3 minutes ou jusqu’à ce que vous obteniez une pâte lisse.
La placer dans un bol graissé, couvrir et laisser lever à température ambiante pendant 1 heure ou jusqu’à ce qu’elle ait doublé de volume.
Une fois que la pâte a doublé, dégazer et diviser en 6 morceaux égaux (d’environ 130 g chacun). Rouler chaque morceau en une boule serrée et la placer sur une plaque à pâtisserie recouverte de papier sulfurisé, en l’espaçant régulièrement. Pour obtenir l’effet Kaiser, vous pouvez inciser le dessus de la boule avec un couteau avec 5 entailles incurvées. Il faut qu’elle soient profondes mais pas jusqu’au bout du pâton. Les miennes n’étaient pas assez profondes. Aplatir un peu le pain. Répéter pour chaque boule.
Préchauffer le four à 190°.
Vaporiser légèrement vos boules avec un peu d’eau (j’ai un vaporisateur qui est dédié à cette tâche dans la cuisine, utile quand on fait du pain régulièrement pour avoir une belle croute), retournez vos petits pains et couvrir pour les faire lever pendant 25 minutes.
Une fois la levée terminée, retourner vos pains et badigeonner légèrement chacun de lait entier. Saupoudrer de graines de pavot.
Faire 15 à 18 minutes ou jusqu’à ce qu’ils soient dorés. Laisser refroidir complètement sur une grille.
Préparation de la garniture traditionnelle :
Faire cuire le bacon. Le plus simple est encore de le passer au four à 200°, sur une plaque recouverte de papier cuisson pendant 10 à 15 mn. Egoutter sur du papier essuie tout. Réserver au chaud.
Dans un grand bol, mélanger les œufs, salez à votre goût (une bonne pincée par oeuf en général) et fouetter jusqu’à ce que le mélange soit homogène.
Faire chauffer à feu moyen une poêle antiadhésive, ajouter le beurre. Une fois fondu et qu’il bouillonne, verser l’équivalent de 2 œufs entiers de vos œufs battus. Ramener les côtés vers le centre, en laissant l’œuf non cuit remplir l’espace maintenant ouvert dans la poêle. Répétez l’opération sur tout le pourtour. (regarder la vidéo, à partir de 4mn44s, c’est un coup à prendre)
Une fois que les œufs sont presque cuits, ajouter 2 tranches de fromage américain au centre, assaisonner avec du poivre, puis replier le côté inférieur des œufs vers le centre, puis le côté supérieur vers le centre, puis les côtés droit et gauche, formant ainsi un carré fermé.
Assemblage – En commençant par le petit pain inférieur, ajouter votre carré d’œufs et le bacon cuit. Étaler le ketchup selon votre goût sur le pain supérieur, assaisonner de poivre frais moulu. Fermer votre sandwich, et emballer dans du papier sulfurisé, du papier d’aluminium ou un papier à sandwich. Couper en deux et déguster chaud.
Les proportions de cette recette permettent de nourrir une belle tablée ou de faire des restes pour la semaine. Vous pourrez adapter les quantité d’épices en fonction de vos goûts, mes goûteurs étant partagés à la maison sur le fait que ce soit suffisamment ou pas épicé.
J’ai profité d’avoir testé la fabrication du paneer maison pour faire cette recette qui est la préférée de ma chérie au restaurant indien. Je vous conseille de le faire vous même également car c’est vraiment très facile et ne requiert pas de matériel particulier (sauf une mousseline, qui doit pouvoir être remplacée par un torchon suffisamment fin). De toute façon, dans mon coin, pas moyen d’en trouver à acheter, donc la fabrication maison s’imposait si nous voulions déguster ce plat.
1 kg d’épinards hachés surgelés
2 poignées de noix de cajou nature
3 càs d’huile neutre
25 g de beurre
1 càc de cumin
1/2 càc de cannelle
1 càc de curcuma
1 càc de garam massala
1 oignon taillé en petits dés
2 càs de concentré de tomate
1 gousse d’ail râpée
300 g de paneer maison
sel, poivre
Faire revenir dans une casserole avec une cuillère à soupe d’huile les épinards avec les noix de cajou pendant quelques minutes.
Faire tiédir et passer au blender ou au mixeur plongeant pour obtenir une purée lisse et assez liquide.
Dans une autre casserole (ou la même si vous avez fait les épinards en avance), mettre 2 cuillères à soupe d’huile et le beurre et y faire revenir les épices pendant 30 secondes.
Ajouter l’oignon et laisser cuire jusqu’à ce qu’il soit doré.
Ajouter alors le concentré de tomates et faire revenir pendant 2 ou 3 minutes, jusqu’à ce qu’il prenne une couleur plus foncé.
Mettre l’ail à sauter pendant 30 secondes et remettre les épinards.
Laisser cuire pendant quelques minutes (pas plus de 5 minutes) et corriger l’assaisonnement avec le sel et le poivre.
Mettre le paneer coupé en cubes à réchauffer, mélanger et laisser mijoter un petit peu.
Depuis des années, ma femme adore prendre du palak paneer au restaurant indien. Et nous suivons quelques chaines Youtube de cuisine indienne, notamment celle de Chetna, qui parlent très régulièrement de ce fromage frais qui entre dans la composition de maints curries.
Seulement voilà, par chez moi, pas moyen de mettre la main sur du paneer pour réaliser ces délicieuses recettes.
J’ai donc pris mon courage à deux mains récemment et j’en ai fabriqué moi même. Et bien, ce n’est vraiment pas difficile !
Le paneer fait maison
J’ai juste pris la précaution de commander des mousselines sur Amazon pour l’égouttage du caillé, mais je pense qu’avec un torchon pas trop épais ou tout autre tissu fin et suffisamment grand, ça ferait l’affaire.
Pour 150 gr de paneer environ
Un litre de lait frais entier (pas de demi écrémé, il faut du gras pour faire du fromage)
Le jus d’un demi citron (ou un peu de vinaigre délayé dans de l’eau), filtré pour en retirer tous les bouts de pulpe.
Dans une casserole, mettre le lait à chauffer à feu moyen
Lorsqu’il est sur le point de bouillir, baisser au minimum et ajouter le jus de citron petit à petit en remuant doucement jusqu’à ce que le lait se sépare et que l’on voit clairement le liquide jaune distinctement du caillé.
Cuire 1 minute et laisser tiédir hors du feu pendant 15 minutes.
Pendant ce temps, préparer la station d’égouttage. Dans l’évier, mettre un saladier pour récupérer le petit lait (le liquide jaune) et placer au dessus une passoire que vous allez recouvrir avec votre tissu.
Lorsque le mélange est tiédi, verser le caillé dans la passoire. Vous pouvez le rincer un peu à l’eau froide pour enlever le petit goût de citron qui pourrait subsister.
Serrer le tissu pour égoutter le paneer, attention à ne pas trop le faire quand même, pour qu’il reste moelleux. Mais il fait quand même presser pour que le caillé se tienne. Sur mon premier essai, une partie de mon « pain de paneer » n’était pas suffisamment pressé, et j’ai eu quelques morceaux un peu désagrégés. A ce stade, vous pouvez lui donner la forme que vous voulez, en cercle, en carré, peut importe. Il faut juste penser que vous allez certainement le couper en morceaux pour le mettre dans un plat, donc il faudra que ce soit une forme adaptée.
Mettre le paneer dans son tissu à égoutter entre 2 assiettes, deux planches (ou autre ustensile suffisamment plat) avec un poids par dessus pour qu’il s’égoutte. Cette étape peut durer entre une et trois heures.
Enlever ensuite le tissu du paneer et le mettre au frais dans une boite hermétique.
Plusieurs choses suite à la fabrication de mon premier paneer sont restées en suspens et il va falloir que je reteste.
Apparemment, on ne sale pas le paneer mais ça reste quand même très fade quand on le goûte seul. Il est amené à être mis dans des plats qui auront du goût, mais je pense qu’un peu de sel ne ferait pas de mal. Je n’ai pas encore déterminé quand ajouter le sel. Traditionnellement dans la fabrication de fromage, il me semble que ça se fait toujours en affinage et pas dans le lait au moment de la fabrication. Il faudra que je teste …
L’autre chose qui est super, c’est que le liquide qui reste après l’égouttage est encore rempli de bonnes choses, il ne faut surtout pas le jeter !!
Je l’ai gardé pour faire du pain de mie en remplacement de mon eau « normale » et de la matière grasse et ça a donné un côté moelleux et collant à la mie qui était délicieux. Vous pouvez aussi vous en servir pour remplacer d’autres liquides en cuisine. Je l’avais aussi utilisé pour allonger le poulet Korma que je faisais ce jour là.
Bref, je vous conseille de vous y mettre si vous aimez le paneer. Vous pouvez regarder cette vidéo de Chetna qui explique en détail comment fabriquer son paneer à la maison (en anglais mais activez les sous titres automatique si vous n’êtes pas fluent).
Je n’avais encore jamais tenté le porc pané, mais une fois de plus cette bonne idée vient d’America’s Test Kitchen.
Nous n’avons jamais été déçus par leurs recettes et ce n’est pas avec celle-ci que ça va commencer. Ce n’est pas régime, mais qu’est ce que c’est bon. Et ce n’est pas trop long à préparer non plus.
L’autre avantage c’est que c’est sans gluten, contrairement à une panure classique. Les cornflakes et la maizena sont idéaux pour cet usage. Ca rend le tout hyper croustillant et amène une belle couleur dorée bien uniforme. Je pense que ça va devenir ma recette idéale pour la panure (poulet, poisson, veau, …).
Ingrédients :
4 à 6 (en fonction de leur taille) côtes de porc sans os (dans l’échine si vous aimez le gras ou dans le filet si vous préférez plus maigre, mais plus sec)
4 cups de cornflakes
1/4 + 1/3 de cup de maizena
20 cl de buttermilk
2 càs de moutarde
une gousse d’ail
sel et poivre
De l’huile pour la friture
Préparer la viande
Etaler les côtes de porc sur une plaque (ou une planche). Elles ne doivent pas être trop épaisses, maximum 1 cm. Au besoin, vous pouvez les écraser un peu.
Les scarifier légèrement en quiconce sur les 2 faces afin de donner un peu plus de surface à la panure pour adhérer.
Les saler et les poivrer sur les 2 faces également.
Préparer les 3 éléments de la panure
Mettre 1/4 de cup de maizena dans une assiette creuse
Mélanger dans une assiette creuse le buttermilk (du leben dans mon cas), la moutarde et la gousse d’ail râpée
Dans une moulinette ou un robot réduire en poudre les cornflakes, la maizena restante (1/3 de cup), 1 càc de sel et 1/2 càc de poivre. Mettre ce mélange dans un plat creux.
Paner les côtes de porc
Passer la viande dans la maizena, en prenant bien soin à ce que toute la surface soit couverte, mais juste d’une fine couche. Enlever le surplus avec un pinceau à pâtisserie si besoin.
Les tremper dans la préparation au buttermilk.
Enfin les passer dans la panure et bien la faire adhérer sur toutes les faces.
Laisser reposer entre 10 et 30 minutes (idéalement sur une grille) pour que la panure soit bien « collée » à la viande.
A ce stade, on peut les congeler pour n’avoir plus qu’à les cuire un soir de semaine par exemple.
Cuisson des côtes de porc
Les côtes de porc une fois panées
Dans une poêle, couvrir le fond avec l’huile et la faire chauffer.
Mon truc pour voir si l’huile est chaude est de tremper le bout d’une baguette chinoise en bambou (ou le manche d’une cuillère en bois) et de voir si de petites bulles se forment. Si c’est le cas, l’huile est assez chaude.
Mettre les côtes à cuire, 3 à 5 minutes. La panure doit prendre une belle couleur dorée. Vous pouvez les laisser un peu plus loin en fonction de votre goût.
Retourner et faire cuire sur l’autre face pour atteindre la même couleur.
Réserver sur un papier absorbant pour éponger le surplus de gras et servir immédiatement.
La cuisson à la poêle, bien dorées et croustillantes
Voici la vidéo originale, n’hésitez pas à la regarder pour tous les trucs et astuces de Julia.
Miam, avec une bonne fondue de courgettes
Et un petit exemple de ce que donne cette panure avec un haut de cuisse désossé dans un bun à hamburger.
Une petite recette en forme d’impro méditerranéenne, inspirée par quelques recettes vues chez Jamie Oliver et Donal Skehan. Ça faisait un moment que je voulais essayer cette pâte d’harissa et en fait c’est moins piquant que ce qu’on trouve dans les tubes du commerce.
Ajustez le nombre de cuillères d’harissa à votre goût et votre tolérance au piment. Pareil pour le cumin et le paprika fumé, c’est vraiment une recette que l’on peut moduler comme on veut.
Ingrédients :
500 g de poulet (idéalement, des hauts de cuisse, mais ça fonctionne aussi avec du blanc)
2 càc de Harissa
1/2 càc de cumin
1/2 càc de paprika fumé
Une bonne pincée de sel
1 càs d’huile d’olive
150 g de yaourt grec
Dans un plat passant au four, mélanger tous les ingrédients sauf le poulet. Mélanger intimement.
Ajouter le poulet et bien le recouvrir de marinade. Laisser reposer pendant au moins une heure ou mieux toute la nuit (au frais dans ce cas).
Mettre le four à chauffer à 180°.
Mettre le poulet au four et laisser cuire une trentaine de minutes, le temps que la marinade réduise et que le poulet soit cuit.
Servir avec de la semoule et une bonne salade verte ou une poêlée de légumes pour quelque chose de plus diététique.
Une recette extraite du livre de Michel Roux sur les œufs. J’ai fait quelques tests pour en arriver à un jaune coulant et un blanc pris. Il est probable que vous devrez aussi tâtonner un peu en fonction de votre four.
Les proportions sont pour un oeuf, à ajuster en fonction du nombre de vos convives.
un peu de beurre (pour les ramequins)
1 oeuf
2 càs de crème liquide
sel et poivre
1 càs de comté ou un autre fromage râpé
1 càc de ciboulette hachée
Préchauffer le four à 170°.
Beurrer le fond des ramequins ou des cocottes ainsi que les bords intérieurs. Salez et poivrez légèrement.
Mettre le fromage râpé.
Casser un oeuf (sorti en avance et à température ambiante) dans chaque ramequin.
Verser la crème liquide sur le blanc d’œuf en prenant soin de ne pas en verser sur le jaune d’œuf.
Parsemer de ciboulette hachée.
Mettre les ramequins dans une plaque ou un plat et verser autour de l’eau bouillante jusqu’à mi hauteur.
Mettre à cuire 9 minutes (à 10 minutes, le jaune est pris, c’est trop cuit à mon goût).
A déguster avec une bonne tranche de pain croustillant !
Quand on pense recette indienne, la pomme de terre et les poivrons ne sont pas les premiers ingrédients qui viennent en tête. Et bien cette recette pourra vous faire changer d’avis car elle est délicieuse.
Ne vous laissez pas effrayer par la liste des ingrédients, ce sont surtout des épices. Il faut juste un peu de préparation et on s’en sort très facilement.
Ingrédients :
100 ml + 40 ml d’huile
1 gros oignon, haché
4 gousses d’ail, hachées
1 morceau de gingembre de 7 cm, haché
2 feuilles de laurier
600 g de côtes de porc, coupées en dés de 2 cm
1 càc de poudre de piment
2 càc de curcuma
1 càs de cumin + 1/2 càs de cumin
1 càs de coriandre en poudre + 1/2 càs de coriandre en poudre
1/2 càc de garam masala + 1 càc de garam masala
1,5 càs de jus de citron
4 piments séchés
1 càc de graines de nigelle
1 càc de graines de moutarde jaune
2 tomates, finement concassées
4 piments verts
2 càc de paprika
2 poivrons rouges, coupés en dés de 2,5 cm
2 poivrons verts, coupés en dés de 2,5 cm
1 càs de sel
1 càc de poivre noir moulu
500 g de pommes de terre, coupées en dés de 3 cm
10 feuilles de curry
Faire chauffer 100 ml d’huile à feu moyen dans une cocotte. Ajouter les feuilles de laurier et la moitié de l’oignon, de l’ail et du gingembre. Faire revenir 2 minutes, jusqu’à ce que l’oignon soit tendre.
Augmenter le feu, ajouter les morceaux de porc et faire revenir 2 minutes jusqu’à ce la viande soit bien dorée. Réduire le feu et laisser cuire encore 10 minutes.
Retirer la cocotte du feu et réserver la viande dans un plat creux ou un saladier.
Ajouter à la viande réservée, la poudre de piment, le curcuma, 1 cuillère à soupe de cumin, 1 cuillère à soupe de coriandre, 1/2 cuillère à café de garam masala, le jus de citron et bien remuer.
Faire chauffer le reste d’huile dans la cocotte à feu moyen et faire revenir 2 à 3 minutes le reste d’oignon, d’ail et de gingembre, jusqu’à ce que l’oignon soit tendre.
Ajouter les piments séchés, les graines de nigelle, les graines de moutarde jaune et le reste de la coriandre et du cumin. Faire cuire 2 minutes, jusqu’à ce que les graines commencent à éclater.
Puis ajouter les tomates concassées et faire cuire encore 1 minute, réduire le feu et laisser mijoter 5 minutes à feu doux jusqu’à ce que le jus des tomates ait réduit.
Incorporer alors les piments verts et le paprika, ajouter les morceaux de porc et faire cuire 2 minutes à feu moyen sans cesser de remuer, jusqu’à ce que la viande ait absorbé toute la sauce. Ajouter les poivrons rouges et verts, réduire le feu et couvrir.
Faire cuire 10 minutes, saler et poivrer, puis ajouter les dés de pommes de terre.
Mouiller avec 10 cl d’eau, couvrir et laisser cuire 1 heure à feu doux en remuant de temps en temps.
Ajouter les feuilles de curry et faire cuire encore 15 minutes ou jusqu’à ce que le porc et les pommes de terre soient tendres.
Ajouter le reste du garam masala et corriger l’assaisonnement.
A servir bien entendu sur un bon riz basmati et des naans.
Comme d’habitude, America’s Test Kitchen nous a livré une très bonne recette. Cette fois, c’est un classique de la cuisine Louisianaise, le poulet sauce piquant (LOL).
Vous pouvez utiliser ce mélange pour d’autres recettes (une palette de porc pour faire du pulled pork ou des tacos, voire des popcorns si vous êtes un foufou ou encore mes noix de l’apéro).
Ou vous pouvez prendre une demi cuillère à café comme base à la place de la cuillère à café, ça vous fera juste la bonne quantité pour la recette.
Ingrédients :
Pour le mélange d’épices cajun :
5 càc de paprika
1 càc de poudre d’ail
1 càc de thym
1 càc de piment de cayenne
1 càc de sel au céléri
1 càc de sel
1 càc de poivre
Mélanger intimement toutes les épices. Vous pouvez conserver ce mélange dans un container fermé.
Pour le reste de la recette
1 kilo de hauts de cuisse de poulet, désossés et coupé en 4
1 càs du mélange d’épices cajun + 1/2 càc de mélange d’épices cajun
60 g de farine
7 cl d’huile pour la friture
1 poivron vert coupé en dés de 1 cm
1 gros oignon en dés de 1 cm
1 branche de céleri en dés de 1 cm
2 gousses d’ail hachées
1 càs d’huile
1 grosse boite de tomates en morceaux
75 cl de bouillon de poulet
2 tranches de bacon fumé
2 càs de sauce Worcestershire (imprononçable même pour les anglophones !!!)
une feuille de laurier
1 càs de sauce pimentée type tabasco
Mélanger dans un saladier le poulet et les épices pour que la viande soit uniformément recouverte.
Ajouter la farine et recouvrir uniformément également.
Dans une cocotte en fonte (ou passant au four), faire chauffer l’huile à feu moyen et y faire revenir le poulet 3 à 5 minutes par côté jusqu’à ce qu’il soit doré (en plusieurs fois si votre cocotte n’est pas assez grande). Ne jetez pas le fond de farine et d’épices du poulet, il va servir plus tard. Réserver la viande sur une assiette.
Dans la même cocotte sur feu moyen, faire revenir la sainte Trinité (l’oignon, le poivron vert et le céleri), l’ail, l’huile (1 càs) et le reste des épices cajun (1/2 càc) pendant 30 secondes.
Ajouter ensuite le restant de farine ayant servi à enrober le poulet et faire revenir pendant 5 minutes en faisant attention à ne rien brûler.
Pour finaliser la sauce, y ajouter la tomate, le bouillon, la sauce Worcestershire, le bacon et le laurier et décrocher soigneusement les derniers morceaux pouvant rester accrochés au fond de la cocotte.
Mettre le poulet avec la sauce et le jus qui a pu se former, porter à ébullition et couvrir.
Mettre au four à 180° pendant 45 minutes.
Sortir du four et retirer le bacon et le laurier et ajuster l’assaisonnement avec du tabasco à votre goût (une sauce pimentée type Sriracha dans mon cas …) ainsi que du sel et du poivre si nécessaire.
Servir sur un lit de riz blanc avec des oignons verts en garniture (optionnel)
Un jour de flemme, nous avons recyclé un paquet (congelé) de farce de nos bricks au bœuf épicé dans un quiche. Voici la recette de cette improvisation gagnante.
1 pâte feuilletée du commerce (ou maison si vous avez le courage)
Dans une poêle, faire fondre les oignons coupés en gros morceaux dans de l’huile d’olive.
Ajouter le steak coupé en gros cubes.
Après quelques minutes, ajouter la carotte râpée et la courgette coupées en tranches fines. Assaisonner et laisser cuire pendant 10 ou 15 minutes jusqu’à ce que la viande et les légumes soient cuits complètement.
Saupoudrer avec le cumin, la coriandre et le curcuma et la cannelle. Mélanger intimement.
Laisser refroidir et passer au hachoir ou à la moulinette pour obtenir la farce.
Dans un saladier, mélanger les œufs, la crème et le fromage puis ajouter la farce.
Faire préchauffer le four à 180°.
Foncer le moule (à manqué ou à tarte en fonction de l’épaisseur désirée) avec la pâte. Verser l’appareil dans le moule et enfourner.
Laisser cuire 30 à 40 minutes ou jusqu’à ce que la pâte soit cuite sur les bords et que la tarte soit bien dorée.
Encore un délicieux cake extrait du désormais classique livre de Sophie Dudemaine. Celui-ci est plus festif avec le foie gras et le magret. Idéal pour recycler un morceau de foie gras si jamais il vous arrive de ne pas tout manger.
Ingrédients :
3 œufs
150 g de farine
1 sachet de levure
5 cl d’huile de tournesol
12,5 cl de lait entier
100 g de gruyère râpé
100 g de foie gras de canard ou d’oie
150 g de magret de canard fumé
50 g d’amandes effilées et grillées
1 pincée de sel
2 pincées de poivre
Préchauffez votre four à 180°C (thermostat 6).
Dans un saladier, travaillez bien au fouet les oeufs, la farine et la levure. Incorporez petit à petit l’huile, le lait chauffé, le sel et le poivre. Ajoutez le gruyère râpé. Mélangez.
Découpez le foie gras en dés, le magret en lamelles, incorporez le tout à la base avec la moitié des amandes.
Versez le mélange dans un moule non graissé et parsemez dessus le reste des amandes.
Encore une recette d’America’s Test Kitchen, cette fois ci ce sont des ribs. Avant, j’avais un peu peur de cette recette car ça cuit assez longtemps, il faut faire attention à ne pas les brûler, il faut de la sauce barbecue. En fait, rien de bien méchant dans tout ça si on suit leur recette.
On a un spice rub, une cuisson à la cocotte minute et un petit passage sous le grill du four. Sachant qu’avec un peu d’habitude, la partie cuisson peut se faire en moins d’une heure. Easy peasy.
Pour le Spice Rub
1,5 kg de travers de porc
2 càs de paprika
1 càs de sucre brun (type cassonade)
1 càs de sel
2 càc d’ail en poudre
2 càc d’oignon en poudre
1 càc de poivre noir
Pour la sauce barbecue
3/4 cup de ketchup (environ 225 g)
6 càs (10 cl) de jus de pomme
2 càs de mélasse (si vous trouvez, j’ai remplacé par de la sauce barbecue qui traînait dans mon frigo)
2 càs de vinaigre de cidre
2 càs de sauce Worcester
1 càs de moutarde jaune américaine (remplacé par 1 càc de moutarde de Dijon)
1 càc de poivre noir moulu
1 peu de fumée liquide (si vous trouvez, j’ai fait sans)
1 càs de notre spice rub réservé
Mélanger les épices et le sucre pour confectionner un dry rub. En conserver une cuillère à soupe pour la sauce barbecue maison.
Sécher les ribs avec un papier absorbant pour aider le dry rub à coller. Le répartir uniformément et faire un bon petit massage pour que les épices soient appliquée sur la viande des 2 côtés.
Laisser « mariner » pendant au moins deux heures. Idéalement toute la nuit.
La recette originale utilise une mijoteuse. Comme je n’en ai pas, j’ai utilisé ma cocotte minute, ce qui est l’exact opposé 🙂 Mais ça a fonctionné à merveille.
Mettre le minimum d’eau au fond de votre cocotte minute (la viande va en rendre, pas de panique) et placer les ribs sur le côté avec la viande vers l’extérieur et la partie la plus charnue vers le bas. Mettre à cuire en pression pendant 30 minutes.
Un escargot de ribs dans la cocotte minute
Une fois la cuisson terminée, mettre les ribs côté viande vers le haut sur une grille posée au dessus d’une plaque à four (recouverte de papier alu pour faciliter la vaisselle plus tard) et les laisser refroidir et sécher pendant une dizaine de minutes.
Les ribs après la cuisson et avant application de la sauce barbecue
Pendant ce temps, faire la sauce barbecue qui va les napper. Dans une casserole, mettre tous les ingrédients de la sauce et les mélanger. Mettre sur le feu et la laisser mijoter 10 minutes jusqu’à ce que la sauce épaississe.
Mettre le four à chauffer en mode grill à 220°. Pendant ce temps, appliquer la moitié de la sauce sur les ribs et les mettre le plus près possible du grill pendant quelques minutes jusqu’à ce qu’ils soient parfaitement grillés. Attention, ça peut brûler rapidement avec tout la sucre qu’il y a dans la sauce.
Encore un grand classique de la cuisine de brasserie française, le boeuf carotte. Finalement peu d’ingrédients et c’est toujours un grand succès car les enfants adorent ce type de plat mijoté.
Ingrédients :
25 g de beurre
1 càs d’huile d’arachide
700 g de bœuf bourguignon
2 oignons moyens
1 gousse d’ail
Sel et poivre
20 cl de vin blanc
3 càc de concentré de tomates
1 cube de bouillon de bœuf
75 cl d’eau
1,2 kg de carottes
Faire fondre le beurre et l’huile dans une cocotte et y faire dorer la viande. La réserver.
Faire revenir à feu doux les oignons émincés avec l’ail pressé et le concentré de tomates pendant quelques minutes. Saler et poivrer.
Déglacer avec le vin blanc et bien gratter les sucs de cuisson.
Remettre la viande dans la cocotte avec le cube de bouillon et mouiller avec l’eau. Laisser cuire 1h15.
Rajouter les carottes pelées et coupées en rondelles et prolonger la cuisson 45 minutes.
Rectifier l’assaisonnement et servir tel quel ou accompagné de semoule.
Dernièrement, nous adorons regarder les vidéos d’America’s test kitchen (enfin quand ce n’est pas confinement aux States). Nous nous moquons de leurs coiffures impeccables, mais leurs recette sont toujours super recherchées et délicieuses. Ce saumon ne fait pas exception et en plus il est ultra simple à réaliser.
Ingrédients :
3 càs de pâte de miso (enjuku en ce qui me concerne)
1 bonne càs de sucre
6 càs de vin de riz
1 càs de sauce soja
5 pavés de saumon (670 g au total) avec la peau
Fouetter ensemble dans un saladier le miso, le vin de riz, le sucre et la sauce soja pour obtenir un mélange homogène et assez épais.
Tremper chaque morceau de saumon dans cette sauce et les mettre (côté peau vers le bas) dans un plat à bord haut. Les recouvrir avec le reste de sauce et mettre à mariner au réfrigérateur entre 6 et 24 heures. N’oubliez pas de couvrir le plat sous peine de se retrouver avec un frigo au saumon.
Mettre une plaque à 20 cm du grill du four et mettre le grill à chauffer. Dans mon cas, j’ai mis à 220°.
Placer le saumon peau vers le bas sur une grille entourée de papier aluminium (pour faciliter le nettoyage). Retirer le plus gros de la pâte au miso afin que ça ne brûle pas..
Faire cuire pendant 10 minutes environ (la température interne du poisson doit être de 52° dans la partie la plus charnue) jusqu’à ce qu’il soit bien bruni. Il faut tourner la plaque à mi cuisson pour avoir quelque chose de bien uniforme.
Depuis le temps que je serinais ma femme pour faire une tarte à l’oignon, cette recette de tatin à l’oignon caramélisé est arrivée à point nommé. En plus, elle est vraiment délicieuse.
Délicieuse avec une salade verte
Ingrédients : (pour une tarte de 4 à 6 personnes)
50 g de beurre
500 g d’oignons pas trop gros, rouges dans mon cas
Dans une poêle à bords hauts, faire fondre le beurre et y ajouter le vinaigre et le miel.
Déposer les demi-oignons dans la poêle, face coupée vers le bas. Laisser cuire à feu moyen pendant une vingtaine de minutes. Ne pas hésiter à mouiller d’un peu d’eau si les oignons risquent de brûler.
Préchauffer le four à 210°.
Dans un moule à gâteau rond (moule à manquer pour moi), disposez les demi-oignons côté coupé vers le bas afin de les voir lorsque l’on démoulera la tarte.
Émietter le fromage de chèvre sur les oignons.
Recouvrir de la pâte feuilletée en repliant les bords de la pâte à l’intérieur du plat.
Enfourner dans le four et baisser à 180° pour 30 minutes ou jusqu’à ce que la pâte soit cuite.
J’aime beaucoup le Comidista pour plusieurs raisons. D’abord il me fait pratiquer mon espagnol, ensuite ses vidéos sont souvent instructives et décalées. J’avoue que j’aime bien son humour potache 🙂
Enfin et surtout, les recettes sont bonnes et dans la plupart des cas pas très compliquées. Ici, c’est moins le cas, car des gnocchis, ce n’est pas le truc le plus simple de la terre. Malgré tout ce n’est pas très complexe et ça fait une bonne introduction à ce type de préparation pochée.
Ingrédients : Pour 14 malfatti
½ oignon
30 g de beurre
300 g d’épinards surgelés
250 g de ricotta
60 g de parmesan râpé
1 oeuf
3 càs de farine de maïs fine
Noix de muscade
Sel
Peler et hacher l’oignon. Faire revenir dans une poêle à feu doux avec le beurre.
Quand l’oignon est translucide, ajouter les épinards. Laisser cuire jusqu’à ce que l’eau se soit évaporée.
Retirer de la poêle et hacher finement au couteau. Laisser refroidir. Une fois refroidi, s’assurer qu’il ne reste pas d’eau de végétation.
Mélanger les épinards avec la ricotta, le parmesan râpé, l’œuf et la farine de maïs. Ajuster l’assaisonnement à votre goût avec sel, poivre et noix de muscade. La pâte produite doit être suffisamment consistante pour former les gnocchis mais pas trop sèche.
Porter de l’eau à ébullition dans une cocotte et la saler copieusement (comme pour des pâtes).
Former des boules de la taille d’une noix à l’aide de 2 cuillères à café. Les rouler dans la farine de maïs fine.
Mettre à cuire les malfatti dans l’eau bouillante. Ils sont cuits lorsqu’ils remontent à la surface. Les retirer à l’aide d’une écumoire et les servir par exemple avec une sauce tomate et saupoudrées de parmesan.
Deuxième partie de la série brésilienne, ce plat de poisson et crevettes me fait penser à un laksa version brésilienne. C’est tout aussi délicieux et très facile à réussir. Pas d’ingrédient vraiment exotique et on met à contribution la moulinette pour la découpe donc pas de grosse difficulté.
Ingrédients :
500 g de poisson blanc assez épais
500 g de crevettes
3 gousses d’ail
sel et poivre
1 oignon
2 poignées de coriandre hachée
1 grosse boite de tomates en boite
1 poivron rouge
1 poivron vert
2 càs d’huile d’olive
400 ml de lait de coco
Le jus d’un demi citron vert
Couper le poisson en morceaux de 4 ou 5 cm et peler et déveiner les crevettes.
Les mettre à mariner dans un saladier avec l’ail passé au presse-ail, une cuillère à café et demi de sel et du poivre (à votre goût).
Mettre dans une moulinette ou un blender un oignon, la coriandre et la boite de tomate. Pulser jusqu’à obtenir une consistance de salsa avec des morceaux.
Dans une cocotte, mettre l’huile d’olive à chauffer à feu vif. Y faire revenir les poivrons coupés en morceaux d’environ 1 cm de côté pendant 10 minutes. Saler.
Ajouter la sauce à la tomate et faire épaissir à feu moyen pendant 8 minutes.
Augmenter le feu et mélanger le lait de coco. Porter à ébullition.
Mettre le poisson et les crevettes ainsi que le jus de citron. Mélanger et rectifier l’assaisonnement.
Retirer du feu et laisser reposer 15 minutes.
Au moment de servir, mettre la deuxième poignée de coriandre et rectifier encore le sel si besoin.
Délicieux servi avec un riz blanc et un pao de queijo.
Voici le plat que je prends toujours au moins deux ou trois fois lors de mes déplacements au Maroc. Cette soupe est à la fois, réconfortante et nourrissante.
Elle est traditionnellement servie avec un œuf dur, des dattes et un gâteau appelé chebakia (frit et trempé dans le sirop ou le miel). La soupe étant acide, le côté sucré de ces deux derniers accompagnements s’accorde parfaitement avec elle.
Ingrédients :
1 gros oignon
1 gousse d’ail
200 g de veau (tendron ou sauté)
1 petit bouquet de persil
1 petit bouquet de coriandre
2 càs d’huile d’olive
50 cl de passata de tomate
1 grosse carotte
1 càc de gingembre en poudre
1 càc de curcuma
1/2 càc de cannelle
sel, poivre
2 litres d’eau
Un bouillon de volaille en cube (ou 2 litres de bouillon maison)
3 poignées de lentilles
3 poignées pâtes
1/2 bocal de pois chiche
2 càc de maizena
Un peu d’eau
Hacher ensemble, l’oignon, l’ail, la coriandre et le persil.
Nettoyer la viande et la couper en dés d’un centimètre.
Faire chauffer une cocotte à feu vif. Y verser l’huile d’olive et faire revenir le veau jusqu’à ce qu’il soit doré.
Ajouter le mélange d’herbes, d’oignon et d’ail et faire suer pendant quelques minutes.
Ajouter la carotte découpée en petits cubes, les épices et la tomate. Bien mélanger.
Mouiller avec l’eau et diluer le bouillon.
Rectifier l’assaisonnement de sel et poivre et laisser cuire pendant 30 minutes.
Ajouter les lentilles et laisser mijoter jusqu’à ce qu’elles soient tendres.
Avant de servir, faire cuire à part les pâtes.
Diluer la maïzena dans un peu d’eau et ajouter à la soupe pour l’épaissir en laisser bouillonner à petit feu pendant quelques minutes.
Ajouter les pois chiches et les pâtes pour que l’ensemble soit chaud.