Quand on ne mange pas de gluten, faire des tartes, c’est un peu la galère. Après quelques essais et beaucoup d’expérience, nous sommes arrivé à une bonne pâte sucrée, qui fonctionne parfaitement pour foncer des petits moules à tartelette.
Voici en illustration, les tartes au citron meringuées que nous avons dégustés ce week end.
Ingrédients : (pour 6 tartelettes de 12 cm)
100 g de farine de riz gluant
60 g de farine de riz complet
40 g de poudre d’amande
sel
40 g de sucre
100 g de beurre
un peu d’eau froide
Mélanger les farines, le sel et le sucre dans un saladier.
Ajouter le beurre bien froid coupé en petits morceaux.
Mélanger pour avoir un sable grossier (à la moulinette ou dans un robot, ou à l main, ça fonctionne aussi).
Ajouter un peu d’eau froide petit à petit jusqu’à obtenir un pâte homogène. Attention, il faut vraiment y aller doucement pour ne pas trop hydrater cette pâte.
J’aime vraiment bien les recette de Brian. Il devient doucement un de mes Youtubers favoris en ce qui concerne la cuisine. Ce plat « indien » est facile à faire et, mis à part le steak haché, il se fait avec des ingrédients que j’ai toujours sous la main. Et en plus, c’est assez rapide pour se faire un soir. Et pas très cher, ce qui ne gâche rien.
Ingrédients :
1 gros oignon blanc, coupé en dés (environ 225 g)
1 pomme de terre de taille moyenne, pelée et coupée en dés (environ 150g)
3 gousses d’ail, pressées (20-25 g)
4 càs d’huile d’olive
500 g de bœuf haché
Sel
5 g (2 càc) de curry en poudre
3 g (1,5 càc) de garam masala
5 g (2 càc) de cumin
25 g (1,5 càs) de concentré de tomates
1 boîte (400 ml) de lait de coco entier
200 g d’eau (environ la moitié d’une boîte)
150 g de petits pois surgelés
150 g de jeunes épinards, hachés
Dans une poêle, faire chauffer 3 càs d’huile d’olive et ajouter les oignons en dés, les pommes de terre en dés et une pincée de sel.
Faire sauter pendant 3-4 minutes jusqu’à ce que les oignons caramélisent et que les pommes de terre commencent à être tendres.
Ajouter l’ail haché, remuer et faire sauter pendant 2 minutes supplémentaires.
Réserver les légumes dans un bol.
Remettre la poêle sur le feu, ajouter une càs d’huile d’olive, le bœuf et une grosse pincée de sel. Faire dorer le bœuf en le défaisant en petits morceaux au fur et à mesure de la cuisson.
Ajouter le curry, le garam masala, le cumin et le concentré de tomates au bœuf. Remuer et faire revenir les épices pendant 20 à 30 secondes.
Remettre les pommes de terre et les oignons cuits dans la casserole de bœuf. Mélanger, puis ajouter le lait de coco et l’eau. Porter à frémissement et laisser cuire jusqu’à ce que la sauce soit réduite et que les pommes de terre soient tendres (environ 10 minutes).
Rectifier l’assaisonnement, puis ajouter les petits pois et les épinards. Remuer et cuire jusqu’à ce que les épinards se flétrissent (2-3 minutes).
Ajuster la consistance en ajoutant du bouillon ou du lait de coco si nécessaire.
Voilà une recette tellement classique et vintage que ça me faisait envie, rien que pour le côté rétro. d’ailleurs, un de mes fils quand il a vu le menu, m’a dit que c’était une recette de vieux donc que ça devait être moi qui l’avait choisi !!
Je n’ai as été déçu. C’est un classique. Il faut juste faire attention à l’équilibre entre le sucre et l’acide. En fonction des oranges que vous allez utiliser, il faudra peut être ajouter un peu de vinaigre ou de sucre pour arriver à une bonne balance de saveurs.
1,5 kg de cuisses de canard
3 oranges
2 càs d’huile neutre
2 carottes
2 oignons
1 branche de céleri
3 cuil. à soupe de Grand Marnier
1 cuil. à soupe de vinaigre de vin blanc
2 cuil. à café de Maïzena
1 bouquet garni
sel et poivre
Pelez et coupez en morceaux l’oignon le céleri et la carotte.
Faites chauffer l’huile dans une cocotte et mettez-y à dorer le canard sur tous les côtés. Réserver.
Ajoutez les morceaux de carotte et d’oignon. Saler et laissez-les dorer pendant 10 minutes.
Versez 50 cl d’eau, ajoutez le bouquet garni, salez, poivrez, couvrez et laissez mijoter 1 h.
A mi-cuisson, ajoutez le Grand Marnier.
Lavez et essuyez les oranges. A l’aide d’un couteau économe, prélevez le zeste d’une seule orange. Assurez vous de bien retirer la partie blanche sous le zeste, qui est la plus amère. Emincez les finement.
Pressez les oranges pour recueillir leur jus et réservez-le.
Faites blanchir les zestes 5 min dans de l’eau bouillante et égouttez-les. Mettez-les de côté.
Lorsque la cuisson du canard est terminée, retirez-le de la cocotte et réservez-le au chaud sous une feuille d’aluminium.
Filtrez le jus de cuisson dans une casserole, ajoutez le vinaigre et le jus des oranges (filtré aussi). Faire réduire 10 min.
Incorporez la Maïzena préalablement délayée dans 1 cuillère à soupe d’eau froide. Mélangez sur feu doux pour que la sauce épaississe légèrement et que sa consistance soit sirupeuse. Ajoutez les zestes et rectifiez la sauce en sel, sucre et acide.
Posez le canard sur un plat de service, arrosez légèrement de sauce et servez avec la sauce.
Les recettes « façon Adrienne » sont extraites d’un magazine « vintage », dont la cuisinière se nommait … Adrienne (surprise, surprise). Mais en général, ces recettes du côté de la famille de ma chérie sont délicieuses et celle-ci est devenue ma favorite pour mon repas d’anniversaire.
Il y a un peu de boulot, mais rien d’insurmontable. C’est très vieille France comme recette, mais j’adore.
Ingrédients : pour 6 personnes
1 poulet fermier de 1,5 kg accompagné de son foie
sel, poivre
2 feuilles de sauge
1 branche de céleri
1 poignée de gros sel
1 pincée de poivre
8 échalotes
1 cuillerée à soupe de moutarde à l’ancienne
100 g de beurre
Accompagnement
500 g de macaronis
8 tomates
50 g de beurre
une poignée de feuilles de basilic
comté râpé à volonté
Peler, épépiner et couper les tomates en dés.
Dans une petite casserole, faire fondre 50 g de beurre et y ajouter les tomates. Saler, poivrer et laisser réduire jusqu’à ce que la sauce épaississe.
Couper le poulet en morceaux. Réserver la carcasse que l’on cassera grossièrement en morceaux.
Eplucher et hacher très fin les échalotes. Hacher également le foie du poulet et le mélanger aux échalotes.
Dans une sauteuse, chauffer doucement un peu d’huile et y faire dorer les morceaux de poulet. Ajouter la carcasse, les ailes, le gésier. Ajouter la branche de céleri. Saler et poivrer.
Au bout d’un quart d’heure de cuisson, enlever les morceaux de poulet de la sauteuse. Les déposer dans un plat allant au four et enfourner à 180°.
Dans la sauteuse, ajouter 40 cl d’eau et la sauge. Couvrir et laisser réduire le jus durant au moins 30 minutes. Vous pouvez aussi ajouter un petit peu de vin blanc si vous en avez sous la main.
Oter alors les morceaux de carcasse et les herbes. Passer le jus à la passoire fine. Le remettre sur le feu et amener à ébullition.
Au bout de vingt minutes de cuisson du poulet au four, le recouvrir du hachis d’échalotes, couvrir le plat d’un papier d’aluminium et continuer la cuisson 20 minutes.
Faire cuire les macaronis dans une grande casserole d’eau salée .
Dans un plat allant au four y mettre les macaronis que l’on aura mélangés hors du feu à la sauce tomate et au basilic, recouvrir de gruyère . Enfourner et laisser gratiner jusqu’à ce que le dessus soit doré.
Dans un bol, mélanger la moutarde et 50 g de beurre en pommade. Rajouter une louche de jus. Mélanger. Incorporer au jus de la casserole (il devrait vous en rester environ 30 cl).
Jamie m’exaspère de plus en plus, mais de temps en temps, il arrive à sortir une bonne recette que j’ai envie d’essayer. C’est le cas avec ce chili végétarien qui honnêtement ne me fait pas regretter l’absence de viande. Même mes viandards se sont régalés !
Ingrédients :
4 càs d’huile d’olive
2 oignons
2 gousses d’ail
2 poivrons
1 piment
1 bouquet de coriandre
1 càc de paprika
1 càc de cannelle
1 càc de cumin
2 ou 3 patates douces
une boite de haricots rouge
deux petites boites de tomates
Sel et poivre
Préchauffer votre four à 200° C.
Eplucher les oignons et l’ail et les émincer.
Rincer la coriandre et le piment. Emincer finement la partie des queues de coriandre et couper le piment en tronçons. Vous pouvez aussi choisir de rajouter du piment de cayenne avec les épices, si vous n’avez pas de piment frais sous la main.
Laver et couper les patates douces en morceaux de 2 à 3 cm de long. Les mettre dans un plat passant au four et les couvrir avec 2 cuillères à soupe d’huile d’olive et une pincée de cumin, cannelle et paprika. Enfourner pendant 20 minutes, jusqu’à ce qu’elles soient colorées et tendres. Réserver.
Faire revenir oignon, ail, coriandre et piment dans une sauteuse avec 2 cuillères à soupe d’huile d’olive à feu moyen. Le but est de caraméliser gentiment ces légumes.
Ajouter ensuite les épices et faire revenir pour que les saveurs des épices ressortent.
Au bout de 15 minutes cette base est prête à accueillir la partie liquide du chili. Ajouter donc la tomate et les haricots (avec le jus). Remuer et corriger l’assaisonnement. Laisser mijoter une vingtaine de minutes, jusqu’à ce que le chili épaississe et que tous les légumes soient cuits.
Ajouter les patates douces dans le chili (ou laissez les sur le côté si vous avez des enfants qui ne les aiment pas , comme moi) et rectifier l’assaisonnement.
Ajouter de la coriandre en feuille émincée et servir immédiatement avec un bon riz blanc.
Les proportions de cette recette permettent de nourrir une belle tablée ou de faire des restes pour la semaine. Vous pourrez adapter les quantité d’épices en fonction de vos goûts, mes goûteurs étant partagés à la maison sur le fait que ce soit suffisamment ou pas épicé.
J’ai profité d’avoir testé la fabrication du paneer maison pour faire cette recette qui est la préférée de ma chérie au restaurant indien. Je vous conseille de le faire vous même également car c’est vraiment très facile et ne requiert pas de matériel particulier (sauf une mousseline, qui doit pouvoir être remplacée par un torchon suffisamment fin). De toute façon, dans mon coin, pas moyen d’en trouver à acheter, donc la fabrication maison s’imposait si nous voulions déguster ce plat.
1 kg d’épinards hachés surgelés
2 poignées de noix de cajou nature
3 càs d’huile neutre
25 g de beurre
1 càc de cumin
1/2 càc de cannelle
1 càc de curcuma
1 càc de garam massala
1 oignon taillé en petits dés
2 càs de concentré de tomate
1 gousse d’ail râpée
300 g de paneer maison
sel, poivre
Faire revenir dans une casserole avec une cuillère à soupe d’huile les épinards avec les noix de cajou pendant quelques minutes.
Faire tiédir et passer au blender ou au mixeur plongeant pour obtenir une purée lisse et assez liquide.
Dans une autre casserole (ou la même si vous avez fait les épinards en avance), mettre 2 cuillères à soupe d’huile et le beurre et y faire revenir les épices pendant 30 secondes.
Ajouter l’oignon et laisser cuire jusqu’à ce qu’il soit doré.
Ajouter alors le concentré de tomates et faire revenir pendant 2 ou 3 minutes, jusqu’à ce qu’il prenne une couleur plus foncé.
Mettre l’ail à sauter pendant 30 secondes et remettre les épinards.
Laisser cuire pendant quelques minutes (pas plus de 5 minutes) et corriger l’assaisonnement avec le sel et le poivre.
Mettre le paneer coupé en cubes à réchauffer, mélanger et laisser mijoter un petit peu.
Depuis des années, ma femme adore prendre du palak paneer au restaurant indien. Et nous suivons quelques chaines Youtube de cuisine indienne, notamment celle de Chetna, qui parlent très régulièrement de ce fromage frais qui entre dans la composition de maints curries.
Seulement voilà, par chez moi, pas moyen de mettre la main sur du paneer pour réaliser ces délicieuses recettes.
J’ai donc pris mon courage à deux mains récemment et j’en ai fabriqué moi même. Et bien, ce n’est vraiment pas difficile !
J’ai juste pris la précaution de commander des mousselines sur Amazon pour l’égouttage du caillé, mais je pense qu’avec un torchon pas trop épais ou tout autre tissu fin et suffisamment grand, ça ferait l’affaire.
Pour 150 gr de paneer environ
Un litre de lait frais entier (pas de demi écrémé, il faut du gras pour faire du fromage)
Le jus d’un demi citron (ou un peu de vinaigre délayé dans de l’eau), filtré pour en retirer tous les bouts de pulpe.
Dans une casserole, mettre le lait à chauffer à feu moyen
Lorsqu’il est sur le point de bouillir, baisser au minimum et ajouter le jus de citron petit à petit en remuant doucement jusqu’à ce que le lait se sépare et que l’on voit clairement le liquide jaune distinctement du caillé.
Cuire 1 minute et laisser tiédir hors du feu pendant 15 minutes.
Pendant ce temps, préparer la station d’égouttage. Dans l’évier, mettre un saladier pour récupérer le petit lait (le liquide jaune) et placer au dessus une passoire que vous allez recouvrir avec votre tissu.
Lorsque le mélange est tiédi, verser le caillé dans la passoire. Vous pouvez le rincer un peu à l’eau froide pour enlever le petit goût de citron qui pourrait subsister.
Serrer le tissu pour égoutter le paneer, attention à ne pas trop le faire quand même, pour qu’il reste moelleux. Mais il fait quand même presser pour que le caillé se tienne. Sur mon premier essai, une partie de mon « pain de paneer » n’était pas suffisamment pressé, et j’ai eu quelques morceaux un peu désagrégés. A ce stade, vous pouvez lui donner la forme que vous voulez, en cercle, en carré, peut importe. Il faut juste penser que vous allez certainement le couper en morceaux pour le mettre dans un plat, donc il faudra que ce soit une forme adaptée.
Mettre le paneer dans son tissu à égoutter entre 2 assiettes, deux planches (ou autre ustensile suffisamment plat) avec un poids par dessus pour qu’il s’égoutte. Cette étape peut durer entre une et trois heures.
Enlever ensuite le tissu du paneer et le mettre au frais dans une boite hermétique.
Plusieurs choses suite à la fabrication de mon premier paneer sont restées en suspens et il va falloir que je reteste.
Apparemment, on ne sale pas le paneer mais ça reste quand même très fade quand on le goûte seul. Il est amené à être mis dans des plats qui auront du goût, mais je pense qu’un peu de sel ne ferait pas de mal. Je n’ai pas encore déterminé quand ajouter le sel. Traditionnellement dans la fabrication de fromage, il me semble que ça se fait toujours en affinage et pas dans le lait au moment de la fabrication. Il faudra que je teste …
L’autre chose qui est super, c’est que le liquide qui reste après l’égouttage est encore rempli de bonnes choses, il ne faut surtout pas le jeter !!
Je l’ai gardé pour faire du pain de mie en remplacement de mon eau « normale » et de la matière grasse et ça a donné un côté moelleux et collant à la mie qui était délicieux. Vous pouvez aussi vous en servir pour remplacer d’autres liquides en cuisine. Je l’avais aussi utilisé pour allonger le poulet Korma que je faisais ce jour là.
Bref, je vous conseille de vous y mettre si vous aimez le paneer. Vous pouvez regarder cette vidéo de Chetna qui explique en détail comment fabriquer son paneer à la maison (en anglais mais activez les sous titres automatique si vous n’êtes pas fluent).
Je n’avais encore jamais tenté le porc pané, mais une fois de plus cette bonne idée vient d’America’s Test Kitchen.
Nous n’avons jamais été déçus par leurs recettes et ce n’est pas avec celle-ci que ça va commencer. Ce n’est pas régime, mais qu’est ce que c’est bon. Et ce n’est pas trop long à préparer non plus.
L’autre avantage c’est que c’est sans gluten, contrairement à une panure classique. Les cornflakes et la maizena sont idéaux pour cet usage. Ca rend le tout hyper croustillant et amène une belle couleur dorée bien uniforme. Je pense que ça va devenir ma recette idéale pour la panure (poulet, poisson, veau, …).
Ingrédients :
4 à 6 (en fonction de leur taille) côtes de porc sans os (dans l’échine si vous aimez le gras ou dans le filet si vous préférez plus maigre, mais plus sec)
4 cups de cornflakes
1/4 + 1/3 de cup de maizena
20 cl de buttermilk
2 càs de moutarde
une gousse d’ail
sel et poivre
De l’huile pour la friture
Préparer la viande
Etaler les côtes de porc sur une plaque (ou une planche). Elles ne doivent pas être trop épaisses, maximum 1 cm. Au besoin, vous pouvez les écraser un peu.
Les scarifier légèrement en quiconce sur les 2 faces afin de donner un peu plus de surface à la panure pour adhérer.
Les saler et les poivrer sur les 2 faces également.
Préparer les 3 éléments de la panure
Mettre 1/4 de cup de maizena dans une assiette creuse
Mélanger dans une assiette creuse le buttermilk (du leben dans mon cas), la moutarde et la gousse d’ail râpée
Dans une moulinette ou un robot réduire en poudre les cornflakes, la maizena restante (1/3 de cup), 1 càc de sel et 1/2 càc de poivre. Mettre ce mélange dans un plat creux.
Paner les côtes de porc
Passer la viande dans la maizena, en prenant bien soin à ce que toute la surface soit couverte, mais juste d’une fine couche. Enlever le surplus avec un pinceau à pâtisserie si besoin.
Les tremper dans la préparation au buttermilk.
Enfin les passer dans la panure et bien la faire adhérer sur toutes les faces.
Laisser reposer entre 10 et 30 minutes (idéalement sur une grille) pour que la panure soit bien « collée » à la viande.
A ce stade, on peut les congeler pour n’avoir plus qu’à les cuire un soir de semaine par exemple.
Cuisson des côtes de porc
Dans une poêle, couvrir le fond avec l’huile et la faire chauffer.
Mon truc pour voir si l’huile est chaude est de tremper le bout d’une baguette chinoise en bambou (ou le manche d’une cuillère en bois) et de voir si de petites bulles se forment. Si c’est le cas, l’huile est assez chaude.
Mettre les côtes à cuire, 3 à 5 minutes. La panure doit prendre une belle couleur dorée. Vous pouvez les laisser un peu plus loin en fonction de votre goût.
Retourner et faire cuire sur l’autre face pour atteindre la même couleur.
Réserver sur un papier absorbant pour éponger le surplus de gras et servir immédiatement.
Voici la vidéo originale, n’hésitez pas à la regarder pour tous les trucs et astuces de Julia.
Et un petit exemple de ce que donne cette panure avec un haut de cuisse désossé dans un bun à hamburger.
Après avoir fait une bonne harira, qui est traditionnellement accompagnée de dattes, nous nous sommes retrouvés avec un gros paquet de délicieuses Medjoul dont nous ne savions que faire, mis à part les manger telles qu’elles.
Nous avons trouvé une délicieuse recette de cake / gâteau qui nous a permis d’en recycler une partie. Vous pouvez sans problème l’adapter pour du sans gluten en faisant un moitié moitié de farine de riz et de maïzena ou de farine de riz gluant.
Le reste est stocké dans le congélateur pour utilisation ultérieure. C’est une bonne façon de les conserver et de n’en sortir que ce qui est nécessaire.
Ingrédients :
200 g de dattes dénoyautées
175 g de farine (moitié farine de riz et moitié maïzena ou farine de riz gluant)
90 g de sucre roux
2 œufs
75 g de beurre fondu
1 càs de miel
1 càc d’extrait de vanille
1 càc de bicarbonate
Préchauffer le four à 180°C.
Mixer les dattes. Vous pouvez les laisser assez grossières ou aller plus loin pour obtenir une pâte plus lisse. Ça va aussi dépendre de la puissance de votre moulinette / mixer.
Ceux qui suivent le blog savent que ma fille est cœliaque et que par conséquent le gluten est son ennemi.
Mais comme depuis presque un an, je me suis mis à faire mon propre pain au levain (et que c’est une tuerie !!), elle a eu vraiment envie de tenter l’expérience sans gluten. Les pains sans gluten du commerce sont dans le meilleur des cas bof et dans la majorité des cas vraiment pas terribles. Donc elle ne mange plus beaucoup de pain depuis des années. Et cette aventure du pain au levain maison lui a redonné envie de tenter d’en faire at home. Et je dois dire que le résultat est vraiment bluffant.
Nous avons pris la recette chez Kim, d’abord depuis une vidéo Youtube et ensuite sur son blog. Nous avons testé plusieurs fois avant que je mette la recette sur le blog, donc je peux vous assurer que ça fonctionne bien.
Faire son pain au levain, ce n’est pas pour tout le monde, ça demande du temps et de la discipline pour suivre les étapes, … Mais le résultat est bien meilleur que tout ce que vous pourrez acheter dans la majorité des boulangeries. Pour moi, ça en vaut largement la peine.
Voici d’abord les proportions pour faire le mélange de farine spécial. Depuis, on l’utilise aussi pour faire de la pâtisserie dès qu’il faut un peu de liant, comme pour la pâte aux petits suisses par exemple.
Le mélange de farines de Kim
625 grammes
1.250 kg
1,875 kg
Fécule de pomme de terre
285 grammes
570 grammes
855 grammes
Farine de riz / Farine de riz gluant
250 grammes
500 grammes
750 grammes
Amidon de tapioca
75 grammes
150 grammes
225 grammes
Gomme de xanthane
15 grammes
30 grammes
45 grammes
La recette du mélange de farine traduit et adapté du site de Kim
Ingrédients :
– 350 g de mélange de farine à pain sans gluten de Kim
– 1½ càc de gomme xanthane (en plus de ce qui est déjà dans le mélange)
– 1 càs de psyllium (du blond dans mon cas, que j’ai trouvé dans mon magasin bio habituel)
– 9 g de sel
– 240 g d’eau
– 2 càs d’huile d’olive
– 1 càs de miel
– 140 g de levain sans gluten
– ½ c. à café de bicarbonate de soude (à ajouter pendant le pétrissage et le façonnage). Totalement optionnel.
1. La veille au soir, avant le jour où vous voulez faire le pain, nourrissez votre levain pour obtenir 140 grammes de levain mature in fine. En général, je mets 30 g de levain original et je nourris avec 60 g de farine et 60 g d’eau. A vous d’adapter en fonction de votre propre levain (sans gluten bien entendu, le nôtre est à base de farine de riz). Mais si vous faîtes déjà du pain au levain, c’est exactement le même processus qu’avec gluten.
2. Le lendemain matin, dans le bol d’un robot (ou dans un saladier si vous le faites à la main), fouettez ensemble les ingrédients secs, puis ajoutez les ingrédients liquides (y compris les 140 grammes de levain mature), en battant à faible vitesse jusqu’à ce qu’ils soient bien combinés. Augmentez ensuite la vitesse et mélangez pendant 5 minutes. Si vous mélangez à la main, faites le pendant 5 à 7 minutes. Le mélange est assez mou, pas de panique, c’est normal.
3. Couvrez la pâte et laissez-la lever dans un endroit chaud, à l’abri des courants d’air, jusqu’à ce qu’elle ait doublé de volume, soit environ 3 ou 4 heures (ça dépend le la force de votre levain. C’est toujours plus long qu’avec de la levure industrielle). Placez ensuite la pâte levée au réfrigérateur pendant la nuit, dans une boite hermétique.
4. Le lendemain, retirez la pâte du réfrigérateur et retournez-la sur une surface bien farinée. Si vous utilisez le bicarbonate de soude, ajoutez le sur le dessus de la pâte et commencez à la pétrir jusqu’à ce qu’elle soit lisse.
5. Formez une boule et retournez-la dans un banneton fariné (ou dans un saladier avec un torchon fariné ou sur un carré de papier sulfurisé). Couvrez et laissez lever le pâton jusqu’à ce qu’il soit gonflé et sensiblement plus grand, pendant 2 ou 3 heures.
6. Vers la fin du temps de levée, placez une cocotte en fonte (ou en terre cuite dans mon cas) dans le four et préchauffez-le à 230° pendant 30 minutes. Le principal étant que la cocotte puisse se fermer et qu’elle puisse passer entièrement au four. Évitez les poignées en plastique ! J’ai vu des gens qui le faisait avec une tôle ou une pierre à pizza recouverts d’un saladier métallique par exemple. Le but est d’emprisonner la vapeur d’eau pour qu’une belle croûte puisse se former.
7. Lorsque la pâte a fini de lever, la retourner délicatement sur une feuille de papier sulfurisé et l’entailler avec une lame ou un couteau dentelé.
8. Placez doucement le pain dans la cocotte (sans vous brûler) et remettez le couvercle en place. Vous pouvez arroser la miche avec un pulvérisateur pour créer encore plus de vapeur dans la cocotte. Faites cuire le pain pendant 40 minutes dans la cocotte. Au bout des 40 minutes, retirez le couvercle et continuez à faire cuire pendant 20 minutes. Le pain est cuit lorsqu’il sonne creux quand on tape en dessous. Si vous préférez prendre la température, il doit être entre 95 et 100 degrés.
9. Retirez le pain du four et laissez-le refroidir sur grille avant de le découper. Quand on découpe le pain encore tiède, c’est délicieux, mais il se conservera moins longtemps.
Nous avons dans la région un atelier qui fait un des meilleurs flans qu’il m’a été donné de tester. Un vrai bonheur. Mais à faire à la maison avec ma fille allergique au gluten, c’est plus compliqué.
Nous avons donc testé cette recette extraite de l’émission Les carnet de Julie et courtoisie de Thierry Marx. Nous n’avons pas gardé la pâte brisée, mais je vous la laisse dans la recette quand même, car un vrai flan parisien, c’est avec de la pâte.
Mais la crème est vraiment délicieuse, crémeuse à souhait.
Ingrédients :
1 pâte brisée
325 g de lait entier
200 g de crème fraîche liquide
130 g d’eau
1 gousse de vanille
20 g de vanille liquide
3 œufs entiers
3 jaunes d’œufs
160 g de sucre semoule
60 g de maizena
Foncer la pâte brisée dans un moule à manqué (entre 20 et 24 cm cm de diamètre) et la placer au froid.
Faire chauffer le lait, la crème fraîche liquide, l’eau et la gousse de vanille (préalablement grattée).
Dans un cul de poule, mélanger le sucre avec la maïzena et les œufs et la vanille liquide. Mélanger petit à petit le lait à ébullition pour tempérer l’appareil.
Couper le feu et mélanger rapidement sans jamais cesser de fouetter. La crème doit prendre du corps et s’épaissir.
Verser la crème sur le fond de tarte, laisser cuire 5 minutes à 220°C puis 30 minutes à 180°C.
Encore une recette d’America’s Test Kitchen, cette fois ci ce sont des ribs. Avant, j’avais un peu peur de cette recette car ça cuit assez longtemps, il faut faire attention à ne pas les brûler, il faut de la sauce barbecue. En fait, rien de bien méchant dans tout ça si on suit leur recette.
On a un spice rub, une cuisson à la cocotte minute et un petit passage sous le grill du four. Sachant qu’avec un peu d’habitude, la partie cuisson peut se faire en moins d’une heure. Easy peasy.
Pour le Spice Rub
1,5 kg de travers de porc
2 càs de paprika
1 càs de sucre brun (type cassonade)
1 càs de sel
2 càc d’ail en poudre
2 càc d’oignon en poudre
1 càc de poivre noir
Pour la sauce barbecue
3/4 cup de ketchup (environ 225 g)
6 càs (10 cl) de jus de pomme
2 càs de mélasse (si vous trouvez, j’ai remplacé par de la sauce barbecue qui traînait dans mon frigo)
2 càs de vinaigre de cidre
2 càs de sauce Worcester
1 càs de moutarde jaune américaine (remplacé par 1 càc de moutarde de Dijon)
1 càc de poivre noir moulu
1 peu de fumée liquide (si vous trouvez, j’ai fait sans)
1 càs de notre spice rub réservé
Mélanger les épices et le sucre pour confectionner un dry rub. En conserver une cuillère à soupe pour la sauce barbecue maison.
Sécher les ribs avec un papier absorbant pour aider le dry rub à coller. Le répartir uniformément et faire un bon petit massage pour que les épices soient appliquée sur la viande des 2 côtés.
Laisser « mariner » pendant au moins deux heures. Idéalement toute la nuit.
La recette originale utilise une mijoteuse. Comme je n’en ai pas, j’ai utilisé ma cocotte minute, ce qui est l’exact opposé 🙂 Mais ça a fonctionné à merveille.
Mettre le minimum d’eau au fond de votre cocotte minute (la viande va en rendre, pas de panique) et placer les ribs sur le côté avec la viande vers l’extérieur et la partie la plus charnue vers le bas. Mettre à cuire en pression pendant 30 minutes.
Une fois la cuisson terminée, mettre les ribs côté viande vers le haut sur une grille posée au dessus d’une plaque à four (recouverte de papier alu pour faciliter la vaisselle plus tard) et les laisser refroidir et sécher pendant une dizaine de minutes.
Pendant ce temps, faire la sauce barbecue qui va les napper. Dans une casserole, mettre tous les ingrédients de la sauce et les mélanger. Mettre sur le feu et la laisser mijoter 10 minutes jusqu’à ce que la sauce épaississe.
Mettre le four à chauffer en mode grill à 220°. Pendant ce temps, appliquer la moitié de la sauce sur les ribs et les mettre le plus près possible du grill pendant quelques minutes jusqu’à ce qu’ils soient parfaitement grillés. Attention, ça peut brûler rapidement avec tout la sucre qu’il y a dans la sauce.
Encore un grand classique de la cuisine de brasserie française, le boeuf carotte. Finalement peu d’ingrédients et c’est toujours un grand succès car les enfants adorent ce type de plat mijoté.
Ingrédients :
25 g de beurre
1 càs d’huile d’arachide
700 g de bœuf bourguignon
2 oignons moyens
1 gousse d’ail
Sel et poivre
20 cl de vin blanc
3 càc de concentré de tomates
1 cube de bouillon de bœuf
75 cl d’eau
1,2 kg de carottes
Faire fondre le beurre et l’huile dans une cocotte et y faire dorer la viande. La réserver.
Faire revenir à feu doux les oignons émincés avec l’ail pressé et le concentré de tomates pendant quelques minutes. Saler et poivrer.
Déglacer avec le vin blanc et bien gratter les sucs de cuisson.
Remettre la viande dans la cocotte avec le cube de bouillon et mouiller avec l’eau. Laisser cuire 1h15.
Rajouter les carottes pelées et coupées en rondelles et prolonger la cuisson 45 minutes.
Rectifier l’assaisonnement et servir tel quel ou accompagné de semoule.
Ces muffins sont délicieux et surtout ils permettent de recycler de vieilles pommes et une banane noircie. J’adore le côté croustillant que donne la petite couverture de sucre sur le dessus. On se croirait chez Starbucks.
Ingrédients :
80 g de beurre
130 g de sucre
2 œufs
100 g de farine de riz
100 g de maïzena
1 sachet de levure
1 pincée de sel
1 càc de cannelle
1 banane écrasée
2 pommes râpées
Préchauffer le four à 180 °.
Travailler le beurre ramolli en crème et incorporer le sucre, en battant jusqu’à ce que le mélange soit léger.
Ajouter les œufs un par un et continuer à battre pour obtenir une pâte mousseuse et très légère (les œufs doivent être à température ambiante).
Dans un saladier, mélanger la farine et la maïzena, la levure, le sel et la cannelle.
Incorporer au mélange beurre/œufs, puis incorporer la banane écrasée et la pomme râpée.
Verser dans des moules individuels garnis de caissettes en papier, saupoudrer de sucre roux et faire cuire 15 à 20 minutes. Vérifier la cuisson avec un cure-dents. Il doit ressortir presque sec.
Dernièrement, nous adorons regarder les vidéos d’America’s test kitchen (enfin quand ce n’est pas confinement aux States). Nous nous moquons de leurs coiffures impeccables, mais leurs recette sont toujours super recherchées et délicieuses. Ce saumon ne fait pas exception et en plus il est ultra simple à réaliser.
Ingrédients :
3 càs de pâte de miso (enjuku en ce qui me concerne)
1 bonne càs de sucre
6 càs de vin de riz
1 càs de sauce soja
5 pavés de saumon (670 g au total) avec la peau
Fouetter ensemble dans un saladier le miso, le vin de riz, le sucre et la sauce soja pour obtenir un mélange homogène et assez épais.
Tremper chaque morceau de saumon dans cette sauce et les mettre (côté peau vers le bas) dans un plat à bord haut. Les recouvrir avec le reste de sauce et mettre à mariner au réfrigérateur entre 6 et 24 heures. N’oubliez pas de couvrir le plat sous peine de se retrouver avec un frigo au saumon.
Mettre une plaque à 20 cm du grill du four et mettre le grill à chauffer. Dans mon cas, j’ai mis à 220°.
Placer le saumon peau vers le bas sur une grille entourée de papier aluminium (pour faciliter le nettoyage). Retirer le plus gros de la pâte au miso afin que ça ne brûle pas..
Faire cuire pendant 10 minutes environ (la température interne du poisson doit être de 52° dans la partie la plus charnue) jusqu’à ce qu’il soit bien bruni. Il faut tourner la plaque à mi cuisson pour avoir quelque chose de bien uniforme.
Depuis le temps que je serinais ma femme pour faire une tarte à l’oignon, cette recette de tatin à l’oignon caramélisé est arrivée à point nommé. En plus, elle est vraiment délicieuse.
Ingrédients : (pour une tarte de 4 à 6 personnes)
50 g de beurre
500 g d’oignons pas trop gros, rouges dans mon cas
Dans une poêle à bords hauts, faire fondre le beurre et y ajouter le vinaigre et le miel.
Déposer les demi-oignons dans la poêle, face coupée vers le bas. Laisser cuire à feu moyen pendant une vingtaine de minutes. Ne pas hésiter à mouiller d’un peu d’eau si les oignons risquent de brûler.
Préchauffer le four à 210°.
Dans un moule à gâteau rond (moule à manquer pour moi), disposez les demi-oignons côté coupé vers le bas afin de les voir lorsque l’on démoulera la tarte.
Émietter le fromage de chèvre sur les oignons.
Recouvrir de la pâte feuilletée en repliant les bords de la pâte à l’intérieur du plat.
Enfourner dans le four et baisser à 180° pour 30 minutes ou jusqu’à ce que la pâte soit cuite.
La texture des Pao de Queijo nous a tellement plu que nous avons décider de modifier la recette pour en faire des muffins pour le petit déjeuner en version sans gluten. C’est encore une des rares choses que nous ne pouvions pas vraiment faire pour ma fille. Avec cette recette, c’est un élément de moins sur la liste. Et en plus, ils sont très bons.
Ingrédients :
190 ml de lait entier
125 ml d’huile végétale
25 g de beurre
170 g de fécule de tapioca
170 g de farine de riz
2 càc de sel
1 de càc de levure chimique
2 gros œufs
2 càs de sucre
1 càs de graines de sésame (optionnel)
Faire fondre dans un casserole le beurre dans le mélange de lait et d’huile. Vous pouvez aussi le faire au micro onde bien entendu. Ça prend un peu plus de 2 minutes dans le mien.
Lorsque le liquide est à ébullition, l’ajouter dans un robot avec le tapioca, le riz, le sel le sucre et la levure. Faire tourner le robot pendant quelques minutes. Cela permet de refroidir la mixture et de ne pas cuire les œufs dans l’étape suivante.
Ajouter ensuite les deux œufs et faire tourner le robot pendant 7 à 8 minutes. Au final, la pâte doit être très lisse.
Mettre l’appareil au frigo pendant 2 heures pour qu’il prenne une consistance plus facile à travailler.
Faire chauffer le four à 230 °.
Façonner 8 boules que vous aplatirez légèrement. Mouillez vous les mains pour le façonnage, ça facilite grandement les choses.
Mettre au four pour 15 minutes environ et baisser la température à 190°.
Ces petits muffins se congèlent très bien et cela évite d’ailleurs qu’ils ne sèchent.
J’aime beaucoup le Comidista pour plusieurs raisons. D’abord il me fait pratiquer mon espagnol, ensuite ses vidéos sont souvent instructives et décalées. J’avoue que j’aime bien son humour potache 🙂
Enfin et surtout, les recettes sont bonnes et dans la plupart des cas pas très compliquées. Ici, c’est moins le cas, car des gnocchis, ce n’est pas le truc le plus simple de la terre. Malgré tout ce n’est pas très complexe et ça fait une bonne introduction à ce type de préparation pochée.
Ingrédients : Pour 14 malfatti
½ oignon
30 g de beurre
300 g d’épinards surgelés
250 g de ricotta
60 g de parmesan râpé
1 oeuf
3 càs de farine de maïs fine
Noix de muscade
Sel
Peler et hacher l’oignon. Faire revenir dans une poêle à feu doux avec le beurre.
Quand l’oignon est translucide, ajouter les épinards. Laisser cuire jusqu’à ce que l’eau se soit évaporée.
Retirer de la poêle et hacher finement au couteau. Laisser refroidir. Une fois refroidi, s’assurer qu’il ne reste pas d’eau de végétation.
Mélanger les épinards avec la ricotta, le parmesan râpé, l’œuf et la farine de maïs. Ajuster l’assaisonnement à votre goût avec sel, poivre et noix de muscade. La pâte produite doit être suffisamment consistante pour former les gnocchis mais pas trop sèche.
Porter de l’eau à ébullition dans une cocotte et la saler copieusement (comme pour des pâtes).
Former des boules de la taille d’une noix à l’aide de 2 cuillères à café. Les rouler dans la farine de maïs fine.
Mettre à cuire les malfatti dans l’eau bouillante. Ils sont cuits lorsqu’ils remontent à la surface. Les retirer à l’aide d’une écumoire et les servir par exemple avec une sauce tomate et saupoudrées de parmesan.
Ici, c’est plutôt la partie « briochée » qui m’intéresse. Cette recette donne une bonne saveur grâce à une fermentation démarrant la veille et le mélange de farine de riz et de farine de riz gluant donne une bonne texture.
Ingrédients (pour 4 brioches de bonne taille) :
180 g de farine de riz
80 g de farine de riz gluant
1/2 càc de sel
30 g de sucre blond
1 paquet de levure type Briochin
17 cl de lait environ (à adapter pour obtenir la bonne consistance)
1 càs de vinaigre de riz
Délayer la levure dans le lait tiédi.
Mettre les ingrédients sec dans un saladier et mélanger.
Ajouter le lait et la levure ainsi que le vinaigre de riz et pétrir jusqu’à obtenir une boule.
Laisser lever à température ambiante 2 à 4 heures. En fait, je l’ai fait la veille et la pâte a levé au frigo pendant la nuit.
Diviser la pâte en 4 ronds aplatis (farinez-vous bien les mains) que vous déposez sur un plaque farinée. Laisser lever encore 30 minutes à 1 heure.
Au moment du façonnage, prélever une boule et l’aplatir à la main jusqu’à avoir un disque d’environ 12 cm (soit la longueur de ma main).
Vous pouvez alors fourrer avec la garniture désirée.