Parfois, je me retrouve à mettre un alias dans mon fichier .bashrc, pour écourter une commande dont je ne veux / peux pas me souvenir de la syntaxe ou simplement parce que c’est plus simple.
Certains de mes alias dans le .bashrc
Dans ce cas, je suis toujours obligé de me rappeler de la commande qui permet de recharger le bashrc pour me servir de cet alias immédiatement. Normalement c’est faisable en se déconnectant, mais si on veut faire plus rapide, c’est très simple.
Il suffit de saisir la commande suivante :
source ~/.bashrc
ou alors la version courte
. ~/.bashrc
Je devrais me faire un alias pour cette commande aussi peut être … 🙂
Après avoir eux des soucis au démarrage suite à un aller retour sous Windows, je me suis rendu compte que mes disques durs de stockage de données en NTFS n’étaient plus accessibles en écriture, mais seulement en lecture seule. Et c’est très énervant !
D’habitude, au boot j’ai une invite à faire une commande fsck sur les disques, mais dans ce cas précis, non.
J’ai donc recherché dans la doc Ubuntu et j’ai trouvé la commande ntfsfix qui m’a permis de réparer mes disques.
Voici la commande à taper :
sudo ntfsfix -d /dev/sdXX
Bien sûr le XX est à adapter en fonction de votre disque.
La Library of Congress a sponsorisé un projet sympa de remix / DJing, basé sur leur immense bibliothèque de sons : Citizen DJ.
L’accès et l’utilisation de ces sons est libre de droits et l’interface mise à disposition (même si elle est un peu brute de fonderie) permet de s’amuser pendant un moment, même si on n’a aucune connaissance particulière dans le sujet (comme moi).
L’interface est moche, mais efficace
C’est plutôt orienté vers le Hip Hop,mais je pense qu’il y a moyen d’en faire autre chose.
J’ai fait l’acquisition il y a quelques mois maintenant d’un PodGo de chez Line6 (que j’ai attendu pendant des mois, merci le Covid !!).
Je suis ravi de cette bestiole (qui remplace mon vieux Pod HD 500X) et j’aime télécharger des presets d’utilisateurs car je suis une feignasse. Le problème c’est que les presets du Helix ne sont pas compatibles avec le PodGo, bien qu’il ne soit sur le papier qu’une version light d’un Helix.
J’ai donc cherché un convertisseur (que je n’ai pas trouvé pour l’instant). En attendant, on peut si on le désire recréer (dans la limite des possibilités du PG vs celles du Helix) des presets à la main. Par contre, pour ça il faut savoir quels sont les amplis, pédales utilisés et les réglages.
Heureusement, nos amis de chez Line6 ont utilisé des techno plutôt ouvertes car les fichiers de preset ne sont en fait que des fichiers json (un genre de xml en fait, ça me rappelle le boulot).
Et pour afficher ces fichiers, un simple éditeur de texte (type notepad++) suffit. Par contre, c’est moche. Heureusement, il y a un easy fix si vous avez Firefox installé.
Il vous suffit de renommer le fichier Line6 (le .hlx) en .json et de l’ouvrir dans Firefox (ou en le drag and droppant) et voilà !!!
Bien !!!
C’est quand même plus clair qu’un fichier texte affiché au kilomètre.
Pas bien !!!
Après, il faut quand même se palucher le preset à refaire mais au moins on a les informations en clair.
mpv est mon lecteur multimédia de prédilection sur mon installation d’Ubuntu. Par contre son interface est vraiment très limitée avec peu d’options accessibles « sous la souris » (ce qui est aussi un de ses avantages à mes yeux).
Voici donc en vrac quelques raccourcis et lignes de commandes pour son utilisation au quotidien.
En ligne de commande :
Lancer plusieurs fichiers musicaux d’un répertoire
mpv *
La même chose en mode aléatoire
mpv –shuffle *
Et voici les quelques raccourcis claviers que j’utilise le plus souvent.
p ou espace : Met en pause (un autre appui reprend la lecture)
/ et * : Réduit/augmente le volume.
← et → : Reculer / Avancer de 5 secondes
↓ et ↑ : Reculer / Avancer d’une minute
f: Bascule en mode plein-écran / revient en mode fenêtré
[ et ] : Diminue/accélère la vitesse courante de lecture de 10%
Si vous en voulez encore plus, cet autre site en recense beaucoup, mais les intitulés sont assez mal traduits (à la google translate vraisemblablement) : deftkey.com
Il y a très longtemps, j’avais laissé un de mes copains me traîner à regarder un anime sur le go (Ikaru no go pour ne pas le citer). Et je m’étais laissé prendre au jeu (c’est le cas de le dire …).
Je dois dire que depuis, je n’avais pas trop creusé la question.
Mais ce documentaire retraçant l’aventure des équipes de Google / Deepmind développant une AI spécialisée dans le Go m’a replongé dans ce jeu, souvent comparé aux échecs.
Je vous le recommande chaudement, c’est une belle aventure humaine, au delà de la prouesse technique.
J’avais déjà fait un billet pour transformer des images en pdf. Maintenant, je voudrais faire le contraire, c’est à dire extraire les images qui composent un pdf.