Petit post it à usage personnel sur le PodGo de Line6, car je n’arrive jamais à me souvenir de la façon permettant d’associer un footswitch à un effet (ou de le changer ou le désactiver, comme cette foutue boucle d’effet dont je ne me sers pas, par exemple).
1. Actionnez simultanément < PAGE et PAGE >
2. Appuyez sur la commande 1 (Bypass/Control).
3. Tournez la commande du haut pour sélectionner le bloc à piloter.
4. Tournez la commande 1 (Parameter) pour choisir le paramètre à piloter.
Le menu en question
Sous le menu Switch, voici la signification de chaque paramètre :
None Supprime l’assignation du contrôleur.
EXP1 ou 2 Les pédales d’expression sont le type de contrôleur le plus souvent utilisé pour piloter le volume, le wah, le pitch wham etc.
FS1~FS8 Quand vous actionnez un commutateur en mode Stomp, vous pouvez sélectionner alternativement les valeurs minimum et maximum d’un paramètre.
La Library of Congress a sponsorisé un projet sympa de remix / DJing, basé sur leur immense bibliothèque de sons : Citizen DJ.
L’accès et l’utilisation de ces sons est libre de droits et l’interface mise à disposition (même si elle est un peu brute de fonderie) permet de s’amuser pendant un moment, même si on n’a aucune connaissance particulière dans le sujet (comme moi).
L’interface est moche, mais efficace
C’est plutôt orienté vers le Hip Hop,mais je pense qu’il y a moyen d’en faire autre chose.
J’ai fait l’acquisition il y a quelques mois maintenant d’un PodGo de chez Line6 (que j’ai attendu pendant des mois, merci le Covid !!).
Je suis ravi de cette bestiole (qui remplace mon vieux Pod HD 500X) et j’aime télécharger des presets d’utilisateurs car je suis une feignasse. Le problème c’est que les presets du Helix ne sont pas compatibles avec le PodGo, bien qu’il ne soit sur le papier qu’une version light d’un Helix.
J’ai donc cherché un convertisseur (que je n’ai pas trouvé pour l’instant). En attendant, on peut si on le désire recréer (dans la limite des possibilités du PG vs celles du Helix) des presets à la main. Par contre, pour ça il faut savoir quels sont les amplis, pédales utilisés et les réglages.
Heureusement, nos amis de chez Line6 ont utilisé des techno plutôt ouvertes car les fichiers de preset ne sont en fait que des fichiers json (un genre de xml en fait, ça me rappelle le boulot).
Et pour afficher ces fichiers, un simple éditeur de texte (type notepad++) suffit. Par contre, c’est moche. Heureusement, il y a un easy fix si vous avez Firefox installé.
Il vous suffit de renommer le fichier Line6 (le .hlx) en .json et de l’ouvrir dans Firefox (ou en le drag and droppant) et voilà !!!
Bien !!!
C’est quand même plus clair qu’un fichier texte affiché au kilomètre.
Pas bien !!!
Après, il faut quand même se palucher le preset à refaire mais au moins on a les informations en clair.
J’adore Excel, c’est l’un de mes outils de travail et je trouve que c’est un logiciel formidable avec leuquel on peut faire tellement de chose.
Par contre, je n’aurai jamais imaginé qu’on puisse le transformer en DAW (Digital Audio Workstation en anglais, qu’on peut traduire par Station Audio Numérique ou STAN en français, bref le logiciel dans lequel on fait de la musique sur son ordinateur).
Je n’imagine pas les heures que ce monsieur a mis dans la réalisation de cette idée folle mais en tous les cas, ça fonctionne et plutôt bien.
A tel point qu’il nous fait une reprise de Take On Me de Aha avec ce machin 🙂
Etant donné qu’Arobas a cessé de fournir des paquets compatible linux pour son logiciel phare et que les derniers paquets que j’avais sauvegardé ne s’installent plus pour la version 6, je me suis fait une raison et j’ai acheté la dernière version (la 7) et j’ai tenté de l’installer avec les moyens à notre disposition sous linux, à savoir Wine et PlayOnlinux. Sur le site de ce dernier, le logiciel était mentionné (par une seule personne) comme fonctionnel, donc je me suis lancé.
La version 7.5.2.1620 tourne maintenant parfaitement sur mon ordinateur sous Ubuntu 19.04. Ce n’était pas le cas auparavant mais en cherchant quelques minutes (par moi même car je n’ai pas vu beaucoup de topic traitant de la question sur les forums), j’ai trouvé une manipulation pour avoir le son en plus de l’image (ce qui est la moindre des choses pour ce type de logiciel).
Une fois que GP est installé, quand j’essayais de lancer une chanson, le son était extrêmement haché et inécoutable. Il faut régler les paramètres Audio pour y remédier.
Dans les options, Son > Réglages Audio Midi
Choisir en « Sortie Audio » : Pulse Audio
Et en Entrée Audio : None
Bien sûr si vous compter brancher un instrument audio dans votre GP il y a des chances que ça ne vous aide pas, mais je ne pense pas que ce soit le cas de la majorité des utilisateurs du logiciel.
Le principe est simple, vous avez un ensemble défini de logiciels et de leçons qui vous sont proposés à l’achat pour un prix raisonnable. Le prix est d’autant plus raisonnable que c’est vous qui le fixez. Les produits de cette première édition du Musician Bundle vaudraient en totalité plus de 300 dollars, mais vous donnez ce que vous voulez.
Voici la liste des produits :
Pour moi, rien que TH2 (simulateur d’ampli au format plugin), GuitarPro (lite), N-Track (séquenceur) et Riff Master Pro (permet de ralentir des fichiers audio, idéal pour repiquer des soli) valent le détour. Mais il y a d’autres produits tout aussi intéressants, comme Neck Diagrams (pour les profs de guitare ou les blogueurs pédagogiques), le ebook sur les modes de David ou bien le Midi Guitar Keys.
Bref si vous n’êtes pas encore trop outillé ou que vous voulez une partie de ces produits, je ne peux que vous conseiller de jeter un coup d’oeil sur le site, d’autant plus que la vente prendra fin dans 5 jours et 20 heures.
Juste un petit mot rapide pour ceux qui comme moi sont des buses de la programmation de batterie, Electro Harmonix vient de mettre gratuitement à disposition au téléchargement une trentaine de courtes boucles pour bosser sur le pouce. Vous en ferez pas toute une compo avec ça mais pour bosser des gammes ou une progression d’accord, ce sera suffisant.
En fait, ces boucles seront intégrées dans les loopers 45000 mult-track de la marque, ce qui a du sens vu la complexité du machin, qui est plus orienté vers le multi layer. Une fondation de batterie est toujours mieux dans un contexte « je joue seul avec mon looper ». En tous le cas, c’est un plus.
Mais même sans cet outil d’EHX, ces quelques boucles peuvent rendre service. Donc pour les télécharger, rendez-vous ICI. Si vous voulez vous faire une idée avant de télécharger, voici une vidéo qui n passe quelques unes en revue.
Leap motion est un système de contrôle par la reconnaissance des mouvements qui devrait inonder nos PC d’ici 6 à 12 mois. Imaginez que nous puissions contrôler nos PC avec des gestes faits devant une espèce de petite caméra, vous avez alors une bonne idée de ce dont est capable Leap Motion.
La machine est en marche, et c’est prometteur car le système est assez peu coûteux (une trentaine d’euros). Avec ce type de contrôleur virtuel, les tablettes n’ont qu’à bien se tenir, les PC vont revenir en grâce … sans les traces de doigts sur l’écran.
Bref, pour l’instant seuls les hard geeks sont en possession de ce contrôleur, mais certains sont déjà suffisamment avancés dans la programmation du bidule pour faire de la musique avec, en contrôlant certains paramètres de leurs instruments virtuels.
Dans la vidéo qui suit, notre geeko musicien fait varier le pitch de sa guitare d’un simple mouvement de manche par exemple. Il joue aussi de la batterie avec et contrôle l’EQ de son piano. Pas mal.
Au passage, on peut voir qu’il utilise Guitar Rig comme simulateur d’ampli.
Encore une traduction d’un article plein de bon sens (après l’interview de Paul Gilbert), cette fois ci d’une personne qui a beaucoup d’expérience dans le domaine de la musique en général et de la production en particulier : Bobby Owsinski. Ce monsieur a travaillé avec des centaines de pointures sur des milliers de disques. Alors quand il prend le temps de donner 5 conseils pour avoir un bon son de guitare en studio, on écoute.
Triple Mic de Alex Lefler, sur Flickr
Voici ce que nous dit Bobby :
Il y a quelque chose que j’ai appris à la dure et que j’ai souligné dans plusieurs livres comme « The Recording Engineer’s Handbook » et « The Ultimate Guitar Tone Handbook ». Mettez les pédales de côté et branchez la guitare directement dans l’ampli, puis foutez le au max. Pour avoir un super son de guitare vous devez non seulement bouger de l’air, mais aussi mettre l’ampli suffisamment fort pour que l’étage de préamp et celui de puissance commencent à distordre un peu, si vous jouez sur un ampli à lampes.
Mais ça s’applique aussi aux modèles peu chers à modélisation qui ont inondé le marché. Même si le son d’un ampli à transistor (un ampli non lampe, sans rentre r dans les détails) est plutôt clair avant d’y ajouter de l’overdrive, le son peut bénéficier beaucoup d’un peu de distorsion en provenance du haut-parleur.
Cela dit, il y a quelques petites choses à garder en mémoire :
1) Les amplis de faible puissance marchent beaucoup mieux en studio, ce qui explique qu’il y ait maintenant beaucoup de petits amplis entre 5 et 20 watts disponibles. Un Marshall 100 watts (ou de n’importe quelle marque d’ailleurs), est beaucoup trop puissant dans 95% des cas en studio, et vous obtiendrez un son qui sera aussi gros avec un 10 watts, sans que tout le monde doivent mettre des bouchons.
2) Que ce soit avec un ampli à lampes ou à transistors, faites le sonner aussi bien que vous pouvez en son clair (autant que possible) avant d’ajouter la moindre distorsion, qu’elle provienne de l’ampli ou d’une pédale. Vous verrez que vous n’avez pas besoin d’autant de crunch que ça et le son s’intégrera mieux dans la piste et le mix.
3) Soyez toujours judicieux avec la distorsion et les effets quand vous enregistrez. En général, ce qui sonne bien pour vous dans la cabine est trop pour la chanson, le son de la guitare devient plus confus et se distingue moins bien dans le mix. Ça ira toujours mieux si vous enregistrez avec trop peu, car on peut toujours ajouter a posteriori, mais on ne peut pas en enlever une fois que c’est enregistré.
4) Ne collez pas le micro contre la grille du haut parleur. Reculez le de 30 cm à peu près (ce qui est la manière « old school » de faire) et vous verrez que vous aurez plus la signature du HP parce que le son peut se développer, et vous attraperez aussi un peu de la pièce.
5) Bougez un peu le micro. Bougez le long du haut parleur qui sonne le mieux de votre ampli ou cabinet pour trouver la meilleure combinaison entre définition et rondeur du son. Plus près du centre vous aurez plus d’aigus et plus vous irez vers le bord du cône plus le son aura de corps. D’habitude, c’est entre les deux que l’on trouve la meilleure combinaison, mais n’ayez pas peur de faire des essais et d’expérimenter. Essayer cette astuce avant de toucher à l’égalisation. Vous serez surpris de voir comme ça fonctionne bien !
Je remercie encore Bob de m’avoir donné la permission de reprendre et traduire ses propos ici. Thanks Bob.
N’hésitez pas à visiter son site, c’est une mine. J’aime en particulier toutes le analyses de chansons qui lui donnent un éclairage « technique », sur la structure, les sons utilisés, la balance entre les instruments. Bref si vous parlez anglais et que vous êtes intéressés par la production, abonnez-vous, vous ne le regretterez pas.
On a toujours besoin d’un petit compresseur dans son home studio. Alors cette fois c’est klanghelm qui nous offre un plugin de compression simple et efficace Deux paramètres seulement à régler pour ce DC1A qui est en fait le descendant direct de leur DC8C, et qui est beaucoup plus complexe.
En plus son look est très vintage et sympa, pour ne rien gâcher. Bref, aucune raison de ne pas aller le télécharger sur la page dédiée : télécharger le DC1A.
A noter qu’il existe une version Windows et une Mac.
Je vais tenter de relayer aussi régulièrement que possible tous les plugins VST que je rencontre au gré de mes surfs. Dans le domaine de la MAO, les plugins peuvent vite faire grimper la facture. Heureusement, il existe beaucoup de petits VST en freeware, plus ou moins efficace il faut l’avouer.
Cette fois, il s’agit d’un simulateur de pédale fuzz, la Distorque Face Bender. C’est une émulation de Fuzz Face mais aussi du Tone Bender MkII. Bref deux fuzz de légende pour pas un rond.
Le logiciel Guitar Pro (non libre et payant certes, mais tellement plus efficace que Tuxguitar) existe sous Linux, ce qui est une très bonne chose. On pouvait faire fonctionner la version précédente avec Wine, mais en natif, c’est quand même mieux.
Il n’y a qu’un petit problème que j’ai pu rencontrer par rapport à la même version sous Windows, c’est l’absence d’association des fichiers avec le programme. Même les fichiers gpx (donc produits par la version 6, c’est à la mode de finir les extensions avec un x en ce moment), il ne se passe rien si on double clique dessus dans Nautilus.
J’ai trouvé la solution sur le site du support de GP6, je me permets de la traduire ici pour les non anglophones. Vous allez voir, ça ne va pas bien loin.
Éditer le fichier /opt/GuitarPro6/gp-launcher.sh
Dans une ligne de commande taper :
gedit /opt/GuitarPro6/gp-launcher.sh
Remplacer la ligne : ./GuitarPro par ./GuitarPro « $1 »
Cliquer droit dans Nautilus sur un fichier GP (gp3, gp4, gp5 ou gpx. Chez moi avec les gtp ça ne fonctionne pas.) et sélectionner ‘Propriétés’.
Choisir ensuite l’onglet ‘Ouvrir avec’ et cliquer sur le bouton ‘Ajouter’.
Cliquer sur ‘Utiliser une commande personnalisée’ et rentrer (sans les guillemets) « /opt/GuitarPro6/gp-launcher.sh ».
Fermer la fenêtre et désormais lorsque vous double cliquerai sur un de ces fichiers c’est GP6 qui s’ouvrira ou les ouvrira (s’il est déjà ouvert).
J’ai eu parfois des problèmes lors du premier lancement avec une nouvelle extension. Mais, en rechoisissant le script gp-launcher.sh comme application pour lancer le fichier, ça fonctionne.
En ce moment, je recommence pas mal à jouer de la guitare, donc je me cherche des petits outils pour simplifier mon entrainement. Il y a Play It Slowly et yatm. Mais hier j’ai eu besoin d’un métronome car mon multieffet Line6 (bientôt en review sur le blog qui gratte !!) n’en a pas d’intégré.
Donc un petit coup de logithèque Ubuntu et j’en trouve 2, Gtick et Gtkclick. Ce dernier ne fonctionne pas, l’interface ne se lance même pas. On passe à Gtick. Il parait simple et efficace, c’est ce que je cherche.
Par contre, il y a la possibilité d’afficher plus d’options, ci-dessous, la totale Gtick avec toutes les options activées.
Il se lance, mais par contre, il ne produit aucun son. C’est gênant pour un métronome. En prime, j’ai un joli message d’erreur : « Couldn’t start metronome.
Please check if specified sound device
and sample file are accessible. »
Je me dirige donc dans les préférences du logiciel et le sound device est en fait une adresse vers le dossier /dev/ qui liste tous les périphériques du PC. Je fais dans un terminal un petit « ls » du dossier pour voir ce qui ressemble à un périphérique de son et je change les préférences, mais pas de chance, ça ne fonctionne pas et une fois sur 2 j’ai encore le même message d’erreur.
J’ai donc cherché un peu plus loin et sur un forum américain, j’ai trouvé ma solution. Le programme ne fonctionne qu’avec oss et donc pas avec PulseAudio. Pour solutionner la chose, ce n’est pas compliqué en fait.
On installe le paquet alsa-oss : sudo apt-get install alsa-oss
Ensuite, on démarre le programme avec oss, en ligne de commande : aoss gtick
Si vous voulez modifier le lancement par le menu (clic droit sur le menu Ubuntu, Éditer le menu et naviguer jusqu’à l’entrée de Gtick dans Son et Vidéo, Propriétés), il suffit de rajouter « aoss » devant le chemin d’accès vers l’exécutable.
Si vous avez changé le chemin vers le périphérique dans les préférences de Gtick et que ça ne fonctionne toujours pas, essayez d’ajouter dsp ou dsp1 (qui marche chez moi) ou dsp0 en fonction de ce que vous voyez dans le répertoire /dev/
Bon travail et n’oubliez pas que le métronome est le meilleur ami du guitariste … après la guitare.
Je vous ai présenté il y a quelque semaines yatm, un outil permettant de ralentir ou modifier le pitch d’un fichier audio en ligne de commande. Bon outil, mais … en ligne de commande.
Certains d’entres vous m’ont fait remarquer qu’Audacity faisait aussi le job, j’ai testé rapidement (et je ferai cerainement un tuto plus tard dessus d’ailleurs), mais je ne suis pas convaincu, l’ergonomie est perfectible je trouve. En même temps, ce n’est pas son coeur de métier non plus.
Bref, j’en venais à penser à me me bricoler une interface graphique pour yatm quand je suis tombé dans mes flux sur Play It Slowly, qui est tout ce à quoi je pouvais rêver pour ce petit logiciel. Je vous fais la liste des fonctionnalités (ça va aller vite).
Peut jouer tout fichier que gstreamer sait lire (mp3, ogg vorbis, midi, et même le flv)
Peut utiliser alsa et jack (mais fonctionne très bien avec PulseAudio)
Change la vitesse et / ou la hauteur
Possibilité de jouer en boucle
Export en wav
Donc il fait tout ce qu’on lui demande, facilement, graphiquement et de manière fluide. Que du bonheur.
On choisit son fichier audio en cliquant sur le petit dossier en haut à droite. Quand on a ouvert plusieurs fichiers, le bouton « Recent » reprend les derniers fichiers chargés. Pratique quand on bosse plusiseurs chansons.
Le curseur « Speed » permet de ralentir ou accélérer la piste, en pourcentage de la vitesse de base.
Le curseur « Pitch (semitones) » va changer la hauteur de la piste par demi ton. Si votre héros ne savait pas s’accorder, vous pourrez affiner avec « Fine Pitch ».
« Position » vous indique à quel durée vous vous trouvez dans la lecture de votre fichier audio.
Et « Start » / « End Position » vont permettre de faire tourner en boucle un passage de la chanson en déterminant le point de début et de fin de la boucle.
Si avec ça, vous trouvez encore des excuses pour ne pas repiquer des titres à l’oreille …
Je n’ai pas remarqué de bug sous Ubuntu 10.10.
Il faut signaler qu’en plus du paquet deb fourni, il y a les sources et aussi un package pour Arch.
J’ai fait tout récemment l’acquisition d’une nouvelle carte son Line6, car la Miditech que j’avais acheté il y a peu de temps a rendu l’âme (plus de son en sortie, c’est gênant pour écouter ce qu’on joue). Il s’agit d’un Toneport UX2, la version plus chère de celle que je possède déjà. Quand on est satisfait d’un matériel, on revient finalement vers la même crémerie. Et tant pis si je ne pas m’enregistrer sous Ubuntu. Au prix payé (37 euros sur Ebay avec 10 euros de frais de port), je suis super gagnant.
Bref, j’avais tout bien installé sur mon Acer REVO sous Windows Vista, les drivers, le logiciel Gearbox, Podfarm, en suivant les recommandations (ne pas brancher la carte dès le début, attendre qu’on me le dise, cliquer sur les messages de Windows), mais j’avais périodiquement un série de bip, ou de craquement qui se faisaient entendre. Très désagréable et surtout pas possible d’enregistrer quoi que ce soit dans ces conditions (c’était toutes les minutes environ).
Je me suis donc baladé sur les forums d’Audiofanzine dédiés à ce matériel (UX1 et UX2) et finalement quand ce genre de problème survient, les réponses sont toujours les mêmes. Voici les points à vérifier si vous rencontrez ce genre de souci (et c’est bien sûr applicable à n’importe quelle carte son sous Windows, et peut être même sous Linux et Mac) :
réinstaller proprement les drivers et les logiciels (en vérifiant que l’exe n’est pas corrompu, Line6 fourni des sommes MD5 pour vérifier, sous Linux vous pouvez suivre le tuto que j’avais pondu il y a quelques temps) en suivant bien les recommandations du constructeur (cf. ce que je dis plus haut)
tester différents câbles (USB ou audio)
ne jamais brancher la carte sur un hub USB
changer de port USB
désactiver Firewall et antivirus
désactiver la carte wifi
Dans mon cas, le coupable était donc la carte Wifi. Une fois désactivée (un clic droit sur son icône dans le menu du réseau et choisir désactiver), le problème a disparu et j’ai pu me consacrer entièrement à la musique sans peur de me faire pourrir les oreilles.
J’en avais marre de devoir booter mon gros ordi pour gratouiller et m’enregistrer vite fait avec ma guitare sur un playback ou en faisant une petite rythmique. Le matos Line6 est super, mais c’est limité à une utilisation MAO sous Windows. Sous Linux, point de salut pour l’enregistrement. Ça ne fonctionne pas, même avec les drivers libres.
A ce propos, il y a un petit sondage sur ce site pour savoir quelle utilisation vous souhaiteriez voir implémentée dans le driver libre à l’avenir (et peut être faire pression sur Line6, mais ça je n’y crois guère, ils sont inflexibles sur ce point). Alors répondez, ça ne prends que quelques secondes.
Donc, tout ça pour dire qu’il me fallait une interface audio différente de mon UX1 pour faire de la MAO sous Linux.
Les conditions était au nombre de 3 : adaptée à la guitare, utilisable sous Linux et pas chère (moins de 50 euros). Je ne me suis pas facilité les choses avec le critère du prix, c’est vrai.
elle est spécialement conçue avec les guitaristes en tête (entrées jack 6.35 mm)
elle est USB class compliant, et donc ça doit marcher sans souci
elle n’est pas chère du tout !! 44 euros chez Thomann.
En plus, le package (car oui pour le prix il y a d’autres choses dans le carton) comprend Samplitude SE et Amplitube SE, pour Windows évidemment.
Les spécifications de la bête :
« Class Compliant » USB Audio Interface, (Windows no drivers necessary)
16 Bit/ 48 kHz resolution LINE stereo interface
2 HI-Z instrument preamps
2 MIC preamps with 48V phantom power, Signal and peak indicator LEDs
Adjustable stereo LINE output
Full duplex with compatible recording software
USB powered
Incl. Magix Samplitude SE and IK Multimedia Amplitube 2 Duo,
ASIO Driver available as Download
Point positif au déballage, elle est minuscule, ça tombe bien je n’ai pas des masses de place. Elle est bien finie, elle ne fait pas plastoc cheap, il y a du poids dans la main.
Point négatif : les (tous petits) potentiomètres pour régler les niveaux d’entrée et de sortie sont sur la face arrière. Pas pratique ni ergonomique. Mais comme elle est petite, ça se fait quand même facilement.
Pour l’instant très content. Par contre, la MAO sous Linux, c’est pas de la tarte …
Le logiciel Guitar Pro 6 d’Arobas Music, qui permet de jouer des tablatures sur son PC et son Mac va sortir le 5 avril prochain. Il semble que l’éditeur ai cette fois pensé au petit poucet de l’informatique, et prépare une version native pour Linux de cet excellent programme (le meilleur de son genre honnêtement).
Des captures d’écran prises sur Ubuntu Linux circulent déjà.
Vincent Bénony, le développeur en charge du programme explique : « Guitar Pro 6 va sortir nativement sous Linux (seule la Ubuntu est officiellement supportée pour l’instant), ainsi que sous MacOS X et Windows d’ici le 5 avril 2010. Pour l’instant, les informations sont proposées sur notre page Facebook. »
C’est quand même super qu’une société arrive à sortir ce genre de programme simultanément sur toutes les plateformes. Comme quoi, c’est possible. Merci Monsieur Arobas Music.
Si vous cherchez des testeurs sous Linux (ou même sous windows) et que vous voulez m’en faire parvenir une copie, ce sera avec un énorme plaisir !!! N’hésitez surtout pas.
En faisant des recherches pour un ami, je suis tombé par hasard sur ces tutoriels vidéo de prise en main du séquenceur Reaper sur 440TV. Ils sont malheureusement en anglais.
Ça couvre une bonne partie de l’utilisation de ce séquenceur et ça donne des idées sur le fonctionnement général de la MAO même dans d’autres DAW (Digital Audio Workstation).
C’est un excellent produit, et qui à mon humble niveau peut largement remplacer Cubase ou Live dans sa version actuelle 3.0. L’avantage c’est qu’il est presque gratuit. Je dis presque car c’est une version de démo qui figure sur le site mais sans aucune limitation fonctionnelle. Elle est valable 30 jours, mais je crois qu’il n’y a pas de blocage après ces 30 jours fatidiques (je l’utilise sans problème à la maison et ça fait plus d’un mois qu’elle est sur ma bécane).
Par contre, si vous trouvez le produit intéressant, achetez une licence, qui ne coûte que 60 dollars pour les particuliers. C’est peanuts par rapport aux séquenceurs de grandes marques, et ça aide les développeurs du projet.