Archives par mot-clé : paquet

[Ubuntu 17.10] Ajouter une imprimante réseau branchée sur la Freebox Revolution

Depuis les versions 16.XX que j’utilisait jusqu’à maintenant, je suivais la doc Ubuntu sans me poser de question pour installer mon imprimante branchée en réseau sur mon Freebox Server. Mais sur la 17.10, les choses ont un peu évolué à cause du changement de gestionnaire de fenêtres.

Avant :

Freebox Révolution

  • Sélectionner Imprimante WINDOWS via SAMBA ;
  • Rechercher l’imprimante en cliquant sur Parcourir (à la droite de smb) ;
  • Une liste s’affiche : sélectionnez votre imprimante dans l’onglet Workgroup→Freebox puis valider
  • Choisissez la marque de l’imprimante et cliquez Suivant ;
  • Choisissez le modèle de l’imprimante, et cliquez Suivant ;
  • Remplissez le nom, la description, l’emplacement de votre imprimante et cliquez Appliquer.

Maintenant :

Installer d’abord les paquets samba python3-smbc smbclient qui n’étaient pas présents par défaut sur mon installation.

Pour accéder à l’interface d’installation, taper imprimante dans « Activités » puis cliquer sur le bouton « Paramètres d’imprimante supplémentaires… ».

Ensuite, suivre le modop de la doc Ubuntu.

Le gestionnaire de paquets est un peu buggé et il n’arrive pas à installer les paquets requis par l’application de l’ajout d’imprimante. C’est pour ça qu’il vaut mieux ajouter les paquets au début. Le mieux est de le faire en ligne de commande.

Faire fonctionner une clé usb wifi avec un chipset Realtek 8192

Je me suis retrouvé il y a quelques temps avec un wifi qui déconnait à fond. Ma clé usb wifi ne tenait plus la connexion et j’étais obligé de redémarrer mon PC pour espérer avoir quelques minutes de connexion Internet. La plaie.

J’ai donc acheté une nouvelle clé en pensant que la précédente avait fait son temps. Las, après quelques jours, même topo. J’ai donc fait quelques recherche et j’en suis arrivé à la conclusion que d’une manière ou d’une autre, le firmware de mes clés wifi avait « sauté ». Il n’était plus installé.

Pour y remédier, il y a des solutions manuelles en installant le bon firmware et en complétant les fichiers de config. Mais comme je suis un fainéant, j’ai aussi trouvé un un package qui fait tout ça tout seul.
Attention, ce paquet deb ne doit être installé que si le chipset de votre clé wifi est un Realtek RTL8192.

Voici la traduction de la page où trouver le fameux paquet deb

Contient une version modifiée du code source du pilote RTL8192xC_USB_linux_v3.4.4_4749.20121105.zip qui est disponible sur la page http://tinyurl.com/c7k5m3a et qui tout seul ne se compile pas avec une Ubuntu 13.04 possédant un noyau 3.8 or 3.9

Ce paquet deb va compiler, installer le pilote 8192cu.ko, et insérer un module DKMS pour que ce soit fait à chaque mise à jour de noyau.

Ne pas oublier de blacklister le driver natif:
Créer (ou modifier s’il existe) un fichier dans /etc/modprobe.d/ et y ajouter les lignes ci-dessous :

# Blacklist native RealTek 8188CUs drivers
blacklist rtl8192cu
blacklist rtl8192c_common
blacklist rtlwifi

A noter que j’ai installé ce paquet sur une Xubuntu 12.04 et que ça a parfaitement fonctionné aussi.

Ubuntu – résoudre le problème lors de l’installation d’un paquet « Erreur de sortie d’état 2 »

J’ai installé récemment Ubuntu 11.04 sur un PC que j’ai récupéré (mieux vaut tard …). Lors de l’installation de logiciels qui me sont utiles, j’ai à un moment rencontré cette vilaine erreur : Erreur de sortie d’état 2

Après ça plus moyen d’installer quoi que ce soit ou de mettre à jour. J’étais complètement bloqué.

La commande qui sauve la vie dans ce cas est toute simple :

sudo apt-get clean

Puis réinstallation du ou des paquets qui fautifs.

sudo apt-get install « nom_du_paquet »

Message abscons mais solution pas con 😉

Via La doc ubuntu-fr

Faire une copie de DVD au format iso

Aujourd’hui, on va faire dans le tutoriel basique, mais efficace. Plus simple que ça, ce n’est pas possible.

J’ai des enfants, et même trois. Et ils adorent les DVD. Par contre, je ne peux pas dire que la réciproque soit vraie. Le traitement infligé à ces petites bêtes n’est pas beau à voir (rayures, voire bris en plusieurs morceaux). J’ai donc pris la décision de faire de belles copies au format iso de tous leurs DVD chéris pour être en mesure de les regraver si nécessaire. Maintenant que j’ai de l’espace de stockage, plus la peine de courir après des divx.

Mais comment faire sous Ubuntu pour copier un DVD en iso. Il y a semble t’il pas mal de solutions, mais celle-ci possède la vertu de la plus grande simplicité.

    • Insérez votre galette dans votre lecteur de DVD.
    • Le disque se monte et normalement apparaît sur le bureau.
    • Cliquer droit sur l’icône et choisir « Copier le Disque ».

copier le disque

    • Choisir « Fichier Image ».

Copier le disque_003

  • Décider de l’emplacement de sauvegarde et du nom de l’image en cliquant sur « Propriétés » (par défaut cet idiot l’appelle brasero.iso au lieu de reprendre le nom du DVD …).
  • Appuyer sur « Créer une image » et attendre.

Et voilà.
Bien sûr si Brasero n’est pas installé, vous risquez de ne pas pouvoir appliquer la procédure. C’est pure spéculation de ma part étant donné que Brasero est installé sur ma machine, mais il y a de grandes chances.

Par contre, lors de mes premiers essais, j’ai rencontré une difficulté car libdvdcss (bibliothèque libre de déchiffrement du système anti-copie CSS, développée par l’équipe VidéoLAN) n’était pas installé sur mon PC. Pour corriger ça, il suffit de suivre la doc Ubuntu.

  • D’abord installer le paquet ubuntu-restricted-extras (s’il n’est pas déjà dans votre système)
    sudo apt-get install ubuntu-restricted-extras
  • Si vous êtes sur une autre version d’Ubuntu (Kubuntu, Xubuntu) adapter la commande en fonction.
  • Ensuite, exécuter dans un terminal le script d’installation de libdvdcss :
    sudo sh /usr/share/doc/libdvdread4/install-css.sh

A la fin du processus, vous devriez être en mesure de copier le DVD et accessoirement de le lire.

Bon backup.

Faire fonctionner Gtick dans Ubuntu 10.10 et antérieur

En ce moment, je recommence pas mal à jouer de la guitare, donc je me cherche des petits outils pour simplifier mon entrainement. Il y a Play It Slowly et yatm. Mais hier j’ai eu besoin d’un métronome car mon multieffet Line6 (bientôt en review sur le blog qui gratte !!) n’en a pas d’intégré.

Donc un petit coup de logithèque Ubuntu et j’en trouve 2, Gtick et Gtkclick. Ce dernier ne fonctionne pas, l’interface ne se lance même pas. On passe à Gtick. Il parait simple et efficace, c’est ce que je cherche.

GTick 0.4.2_mini

Par contre, il y a la possibilité d’afficher plus d’options, ci-dessous, la totale Gtick avec toutes les options activées.

GTick 0.4.2_maxi

Il se lance, mais par contre, il ne produit aucun son. C’est gênant pour un métronome. En prime, j’ai un joli message d’erreur :
« Couldn’t start metronome.
Please check if specified sound device
and sample file are accessible. »

Je me dirige donc dans les préférences du logiciel et le sound device est en fait une adresse vers le dossier /dev/ qui liste tous les périphériques du PC. Je fais dans un terminal un petit « ls » du dossier pour voir ce qui ressemble à un périphérique de son et je change les préférences, mais pas de chance, ça ne fonctionne pas et une fois sur 2 j’ai encore le même message d’erreur.

J’ai donc cherché un peu plus loin et sur un forum américain, j’ai trouvé ma solution. Le programme ne fonctionne qu’avec oss et donc pas avec PulseAudio. Pour solutionner la chose, ce n’est pas compliqué en fait.

On installe le paquet alsa-oss :
sudo apt-get install alsa-oss

Ensuite, on démarre le programme avec oss, en ligne de commande :
aoss gtick

Si vous voulez modifier le lancement par le menu (clic droit sur le menu Ubuntu, Éditer le menu et naviguer jusqu’à l’entrée de Gtick dans Son et Vidéo, Propriétés), il suffit de rajouter « aoss » devant le chemin d’accès vers l’exécutable.

Menu principal_logiciels_ubuntu

Propriétés du lanceur_lanceur

Si vous avez changé le chemin vers le périphérique dans les préférences de Gtick et que ça ne fonctionne toujours pas, essayez d’ajouter dsp ou dsp1 (qui marche chez moi) ou dsp0 en fonction de ce que vous voyez dans le répertoire /dev/

Bon travail et n’oubliez pas que le métronome est le meilleur ami du guitariste … après la guitare.

Play it slowly – Ralentir, changer le pitch et lire en boucle des fichiers audio

Je vous ai présenté il y a quelque semaines yatm, un outil permettant de ralentir ou modifier le pitch d’un fichier audio en ligne de commande. Bon outil, mais … en ligne de commande.
Certains d’entres vous m’ont fait remarquer qu’Audacity faisait aussi le job, j’ai testé rapidement (et je ferai cerainement un tuto plus tard dessus d’ailleurs), mais je ne suis pas convaincu, l’ergonomie est perfectible je trouve. En même temps, ce n’est pas son coeur de métier non plus.

Bref, j’en venais à penser à me me bricoler une interface graphique pour yatm quand je suis tombé dans mes flux sur Play It Slowly, qui est tout ce à quoi je pouvais rêver pour ce petit logiciel. Je vous fais la liste des fonctionnalités (ça va aller vite).

  • Peut jouer tout fichier que gstreamer sait lire (mp3, ogg vorbis, midi, et même le flv)
  • Peut utiliser alsa et jack (mais fonctionne très bien avec PulseAudio)
  • Change la vitesse et / ou la hauteur
  • Possibilité de jouer en boucle
  • Export en wav

Play it slowly_001

Donc il fait tout ce qu’on lui demande, facilement, graphiquement et de manière fluide. Que du bonheur.

On choisit son fichier audio en cliquant sur le petit dossier en haut à droite. Quand on a ouvert plusieurs fichiers, le bouton « Recent » reprend les derniers fichiers chargés. Pratique quand on bosse plusiseurs chansons.

Le curseur « Speed » permet de ralentir ou accélérer la piste, en pourcentage de la vitesse de base.

Le curseur « Pitch (semitones) » va changer la hauteur de la piste par demi ton. Si votre héros ne savait pas s’accorder, vous pourrez affiner avec « Fine Pitch ».

« Position » vous indique à quel durée vous vous trouvez dans la lecture de votre fichier audio.

Et « Start » / « End Position » vont permettre de faire tourner en boucle un passage de la chanson en déterminant le point de début et  de fin de la boucle.

Si avec ça, vous trouvez encore des excuses pour ne pas repiquer des titres à l’oreille …

Je n’ai pas remarqué de bug sous Ubuntu 10.10.
Il faut signaler qu’en plus du paquet deb fourni, il y a les sources et aussi un package pour Arch.

Via Ubuntu Geek.

Télécharger facilement les programmes de catchup TV avec TVDownloader

J’adore le programme Arte7+recorder, mais j’ai trouvé (via le Planet-Libre sur le blog de Devil505) un soft plus complet qui permet de télécharger la plupart des émissions proposées en catch-up TV sur France Télévision (Pluzz), Arte, M6Replay, Canal+ et RTL, Radio France et Europe1 pour des podcasts audio. Il s’appelle TVDownloader.

Il y a de tout, c’est vraiment sympa, lors de mes essais en revanche, M6Replay ne fonctionnait pas, ça moulinait dans le vide. Les podcasts ne fonctionnent que pour Radio France. Pour Europe1 et RTL, rien ne se passe quand on les sélectionne.

TVDownloader Preferences_003

L’installation se fait via un paquet deb que l’on récupère sur le site du programme. Pour les autres distributions, il faudra partir des sources ou pour Frugalware suivre les instructions de Devil505.

Depuis la version 0.5, il existe aussi un PPA, mais je n’ai pas eu le temps de tester cette version.


TVDownloader_002

TVDownloader_004

TVDownloader_005

L’utilisation du programme est très simple. On a un menu déroulant sur la gauche qui permet de choisir le site de catchup TV, un autre au milieu pour déterminer la chaine (dans le cas de Pluzz) ou le « canal approprié » et enfin un dernier sur la droite pour le type d’émission ou le nom de l’émission.
Juste en dessous, se trouve la zone d’affichage des émissions qui correspondent aux choix que l’on a effectués via les menus déroulant. On peut alors cocher celle(s) que l’on veut récupérer et on appuie sur le bouton ajouter.
L’émission est alors mise dans une file d’attente, et un clic sur le bouton « Lancer le téléchargement » suffit pour commencer le download.

Au niveau de l’interface, il y a du bien et du moins bien. Il y a trop de menus déroulants à mon goût on s’y perd un peu et ce n’est pas toujours utilisé en fonction des « chaines ». Je suppose que ça dépend justement de l’organisation de chaque site. Les icônes de la file d’attente ne sont pas toutes très explicites et il n’y a pas d’infobulle au passage de la souris. Mais ce n’est pas non plus la mer à boire. On se fait prendre une ou deux fois et après on prend le pli.

Ce qui m’a plus gêné dans la présentation, c’est l’absence des résumés des émissions (qu’il y a sur Arte7+recorder) et des images. C’est vraiment spartiate et parfois ça aide d’avoir un visuel pour faire son choix rapidement.

De plus, lors de mes tests, j’ai quand même rencontré pas mal de bugs :

  • quand on sélectionne plusieurs fois une chaine, le menu déroulant du milieu fait apparaitre plusieurs fois les entrées dans ce menu.
  • TVDownloader_006

  • les émissions choisies et qui sont dans la file d’attente ne se téléchargent pas automatiquement si elle sont de différentes chaines. Ce point est assez désagréable si on planifie ses téléchargement la nuit et qu’au petit matin on s’aperçoit que seuls quelques uns sont terminés.
  • Comme je l’ai dit plus haut pour certaines chaines, rien ne se passe quand on les sélectionne.
  • le chargement des émissions après la sélection du menu déroulant ad hoc est trèèèèèssss longue. C’est peut être du à ma connexion, mais là encore c’est un peu saoulant, surtout quand on doit en faire 5 ou 6 d’affilée.

Bref, vous l’aurez compris, j’aime le principe de ce programme, mais il pêche pour l’instant au niveau de la réalisation. Il est toutefois encore jeune et j’espère que la version 0.5 corrigera certaines de ces erreurs. Je vais prendre le temps de tester tout ça.

Encore du nouveau matériel : imprimante All In One Lexmark S505

En ce moment on ne peut pas dire que je joue à l’écureuil. Un nouveau PC, une nouvelle carte son (et un nouveau casque pour aller avec), et maintenant une nouvelle imprimante.

Par contre, mes origines auvergnates me rendent allergiques au fait de payer plein pot, donc je vais en général vers les prix les plus bas ou les déstockages. Pour cette imprimante, j’ai profité d’une vente Lexmark sur venteprivée.com. En effet, il était temps de mettre au rancart mon ancienne HP Deskjet 245C (qui fonctionne toujours parfaitement d’ailleurs, si quelqu’un est intéressé …). Je voulais plus de vitesse d’impression et surtout un scanner reconnu sous Linux (foutu Lide20 Canon !!). C’est chose faite avec la Lexmark S505.

D’ailleurs, je peux vous parrainer sur vente privée si ça vous intéresse, n’hésitez pas. Il y a vraiment beaucoup de ventes pour tous les gouts, j’achète assez souvent chez eux.

Les caractéristiques techniques de la chose sont sur cette page.

Lors de mes recherches, je ne l’ai pas trouvé sur l’Open Printing database, ce qui n’était pas forcément de bonne augure pour son installation sous Linux. Mais rapidement, je me suis rendu compte que Lexmark fournit un script d’installation pour Linux, avec une assez grande variété de distributions supportées (Debian based donc Ubuntu, Red Hat Fedora, Open Suse).

Donc l’installation a été largement facilité. Il suffit de le rendre exécutable et de le lancer (pour plus de renseignements, allez voir ici) et après on suit les consignes.

Au final, ça marche bien, même mieux que sous Windows (le scanner est plus rapide pour une raison que je ne m’explique pas). Le seul point noir c’est que je n’ai pas d’OCR efficace. Là Windows est laaaaargement devant. D’ailleurs, il est très efficace l’outil fourni par Lexmark.
Au final, je vous recommande cette imprimante, elle imprime bien et vite, son scanner est parfaitement reconnu et très efficace, la fonction de photocopie est pratique et en plus elle est assez économique à l’usage.

Gagner quelques centaines de Mo sur son Eeepc avec la commande locate

terminalSur mon installation toute fraiche de Eeebuntu base, il ne me restait malgré tout pas des masses de place après avoir installé tous mes logiciels favoris. En cherchant un peu, j’ai vu qu’on pouvait facilement gagner de la place en supprimant les paquets .deb qui sont gardés en cache par le système, en vue d’une éventuelle réinstallation ultérieure.
Comme je suis connecté à Internet tout le temps, pas la peine de garder ces archives qui ne me sont d’aucune utilité et qui prennent de la place.

Tout d’abord, il faut les localiser. On tape donc dans un terminal

locate *.deb

Il devrait vous remonter une ribambelle de lignes qui commencent par /var/cache/apt/archives/plein_de_paquets.deb
Il faut maintenant supprimer les paquets qui se trouvent dans ce dossier. Il vous faudra les droits de super utilisateur pour celà.

On se place dans le dossier
cd /var/cache/apt/archives/

Et on supprime tous les paquets deb de ce répertoire
sudo rm -I *.deb

L’option -I permet de n’être prévenu qu’une fois avant de supprimer tous les fichiers. Quand il vous demande si vous voulez supprimer toutes les occurrences, vous tapez « o » (sans les guillemets) pour dire oui.

Après ça vous devriez avoir gagné un peu de place sur votre disque. Sur mon Eeepc 701, c’était quand même 300 Mo, ce qui est bien quand on n’a que 4 Go de stockage.

EDIT :

Suite à tous les commentaires qu’a suscité cet article, voici toutes les contributions qui ont été faites, faites votre shopping.

Dans Synaptic : Configuration -> Préférences -> Fichiers -> Supprimer les paquets en cache.

Pour faire la même chose, en ligne de commande, on tape dans un terminal :
sudo apt-get clean
puis
sudo apt-get autoclean

Pour gagner de la place supplémentaire, on peux supprimer également les locales inutiles
sudo apt-get install localepurge

Il y a aussi les packages orphelins à supprimer :
sudo apt-get install deborphan
sudo deborphan | xargs sudo apt-get -y remove –purge

Vous pouvez aussi ,jeter un coup d’œil à ce script qui fait le job merveilleusement : http://www.webdevonlinux.fr/2009/02/24/garder-ubuntu-propre/

On peut aussi utiliser BleachBit
http://bleachbit.sourceforge.net/
http://doc.ubuntu-fr.org/bleachbit

On peut limiter la place prise par les miniatures en réglant sur gconf-editor les clés /desktop/gnome/thumbnail_cache/maximum_age (en jours) et /desktop/gnome/thumbnail_cache/maximum_size (en Mo)

Launchy est désormais disponible sous Linux

Mon lanceur d’application favori sous Windows, Launchy se décline désormais également sous Linux.
Depuis quelques jours, les sources du logiciel sont disponibles sur Sourceforge, ainsi que le paquet deb qui vous permettra de l’installer sur toute distribution à base de debian (et donc Ubuntu).

Launchy

En revanche, je ne crois pas que je vais l’installer sur mon Héron hardi, car je suis très content de Gnome-do.

De plus, j’ai pu lire à droite à gauche, que le portage n’était pas encore parfait, donc il est urgent de ne rien faire en ce qui me concerne.

Pouvoir formater en NTFS sous Linux avec Gparted

J’ai eu un petit souci en voulant formater un morceau de mon nouveau disque dur (ou je me suis racheté une nouvelle bécane !!) en NTFS.

Gparted ne voulait rien savoir et ne me donnait pas la main sur ce format. Pas moyen de formater en NTFS depuis Ubuntu.

J’ai essayé de formater en Ext2 et de la transformer ensuite en NTFS mais ça n’a pas marché.

Après une petite recherche sur les forums d’Ubuntu FR, je suis tombé sur ce thread qui m’a permis de me rendre compte qu’en fait un paquet n’était pas installé. C’est ce paquet (ntfsprogs) qui permet d’appliquer le format tant désiré. C’est d’ailleurs noté dans la notice de la doc Ubuntu (Note à moi-même : toujours lire le manuel !!! RTFM Read The Fucking Manual)

Vous pouvez l’installer en tapant dans un terminal la commande suivante :

sudo apt-get install ntfsprogs

Ou alors en passant par Synaptic et en tapant le nom du paquet.

Et là ça fonctionne. Merci Google

EDIT du 06/12/2008 : ca marche aussi avec Intrepid Ibex