Archives par mot-clé : disque

Tedeschi & Trucks Band : excellent nouvel album Made Up Mind

Que vous soyez fan de guitare (et si vous suivez ce blog, je pense que vous l’êtes), de jolies voix, de belles compo, de rock, de blues, de soul, vous allez être comblés.

Le Tedeschi Trucks Band, TTB pour les intimes, vient tout juste de sortir une nouvelle galette et c’est du très bon. Vous connaissez certainement les protagonistes de ce groupe, puisqu’il s’agit de rien moins que de Susan Tedeschi et son mari Derek Trucks (Eric Clapton, Allman Brothers Band, Derek Trucks Band). Du lourd donc. Et il y a quelques années, ils ont décidé de faire de leurs groupes respectifs une seule et même famille en fusionnant tout ça. Ça fait donc un paquet de monde sur scène, mais ça sonne.

tedeschi trucks band

Ça sonne même très très bien. Bien sûr, il y a la guitare slide de Derek, mais elle n’est pas plus que ça mise en avant, on a vraiment affaire à un groupe qui se met au service des chansons.

La chanson titre de l’album est d’ailleurs une tuerie qui débute l’album en fanfare. Exemple en live.

Voici une autre vidéo du making of de la chanson Part Of Me qui a une forte influence Soul Motown.

L’album est vraiment très bon et il balaie de façon très convaincante une large palette de styles, de la soul au rock, du blues au funk. Bref du très bon, je vous le conseille, vous ne serez pas déçus.

Et pour vous faire un peu plus une idée, il y a un titre en téléchargement gratuit et en streaming sur Soundcloud

[Vidéo] La plus grande collection de disques du monde

Voilà une vidéo que j’ai sous le coude depuis trèèèèèèèèèèèèès longtemps. Paul Mawhinney nous présente sa collection d’albums et de 45 tours, en vinyl bien entendu.

Et il y a quelques pièces extraordinaires dans le lot, comme le premier disque plat jamais pressé. Oh, au fait cette collection fait 1 000 000 d’albums et 1 500 000 de 45 single !!! Et 17% seulement de cette musique est disponible en digital de nos jours.

La collection est à vendre, mais il n’arrive pas à trouver preneur. Faut dire que ça coûte un bras (3 millions de dollars US) et ça prend plus de place qu’un disque dur.

Via Guitarkadia

Faire une copie de DVD au format iso

Aujourd’hui, on va faire dans le tutoriel basique, mais efficace. Plus simple que ça, ce n’est pas possible.

J’ai des enfants, et même trois. Et ils adorent les DVD. Par contre, je ne peux pas dire que la réciproque soit vraie. Le traitement infligé à ces petites bêtes n’est pas beau à voir (rayures, voire bris en plusieurs morceaux). J’ai donc pris la décision de faire de belles copies au format iso de tous leurs DVD chéris pour être en mesure de les regraver si nécessaire. Maintenant que j’ai de l’espace de stockage, plus la peine de courir après des divx.

Mais comment faire sous Ubuntu pour copier un DVD en iso. Il y a semble t’il pas mal de solutions, mais celle-ci possède la vertu de la plus grande simplicité.

    • Insérez votre galette dans votre lecteur de DVD.
    • Le disque se monte et normalement apparaît sur le bureau.
    • Cliquer droit sur l’icône et choisir « Copier le Disque ».

copier le disque

    • Choisir « Fichier Image ».

Copier le disque_003

  • Décider de l’emplacement de sauvegarde et du nom de l’image en cliquant sur « Propriétés » (par défaut cet idiot l’appelle brasero.iso au lieu de reprendre le nom du DVD …).
  • Appuyer sur « Créer une image » et attendre.

Et voilà.
Bien sûr si Brasero n’est pas installé, vous risquez de ne pas pouvoir appliquer la procédure. C’est pure spéculation de ma part étant donné que Brasero est installé sur ma machine, mais il y a de grandes chances.

Par contre, lors de mes premiers essais, j’ai rencontré une difficulté car libdvdcss (bibliothèque libre de déchiffrement du système anti-copie CSS, développée par l’équipe VidéoLAN) n’était pas installé sur mon PC. Pour corriger ça, il suffit de suivre la doc Ubuntu.

  • D’abord installer le paquet ubuntu-restricted-extras (s’il n’est pas déjà dans votre système)
    sudo apt-get install ubuntu-restricted-extras
  • Si vous êtes sur une autre version d’Ubuntu (Kubuntu, Xubuntu) adapter la commande en fonction.
  • Ensuite, exécuter dans un terminal le script d’installation de libdvdcss :
    sudo sh /usr/share/doc/libdvdread4/install-css.sh

A la fin du processus, vous devriez être en mesure de copier le DVD et accessoirement de le lire.

Bon backup.

Un nouveau venu dans la famille

Je ne parle pas d’un autre enfant (c’est bon 3 ça suffit !!) mais d’un nouveau PC. Je me suis offert un Acer Aspire Revo, à pas cher à Taiwan, j’aime vivre dangereusement. En même temps à 160 euros, je ne prends pas trop de risque financier et mon vieux portable commençait à vraiment trop être à la ramasse. Le seul risque c’est de l’avoir acheté sur Ebay et d’occase. Qui vivra verra.

Les spécifications de la bête :

Support full HD 1920×1080
Video out: HDMI port x1 / D-SUB VGA port x1
OS : Windows Vista English
CPU :Intel Atom N230 (1.6 GHz)
Chipset : NVIDIA ION Chipset
DIMM : DDR2 SO-DIMM 2G
HDD : 320 GB
Card Reader : SD/SDHC/MS/MS Pro/MMC
WiFi : IEEE 802.11 b/g/n
LAN : 10/100/1000 Base-TX Ethernet LAN on Board
COLOR : BLUE

Jusque là, très content de cette machine : presque silencieuse la grande majorité du temps, largement assez rapide pour l’utilisation qui en est faite (bureautique, surf, vidéo youtube, lecture de divx et musique, MAO light). Même Vista ne me parait pas aussi ignoble, vu que c’est relativement rapide à l’usage (pas au boot par contre !!!).

Le seul truc c’est que comme c’est de l’occasion, je pense que le disque dur a été totalement reformaté et le Linux maison Acer Revoboot a été effacé, donc je n’y ai pas accès. Pas grave, je vais le mettre moi-même le linux !!

Autre point négatif, on a une tonne de crapware à désinstaller lors des premiers démarrages. Il y en a vraiment pas mal. Ça aussi ça prend un peu de temps mais c’est pas bien grave. Ce qui est plus dérangeant, c’est l’outil d’Acer qui propose de graver les disque de sauvegarde … alors qu’il n’y a pas de graveur. Pas de solution en dehors de brancher un graveur externe, tant pis, si ça crashe un jour, il sera totalement sous Linux (pour une fois).

Une constatation qui frappe d’entrée, ça pèse rien !!! C’est vraiment troublant d’avoir un ordi aussi léger qui ne soit pas un portable. On a l’impression qu’ils ont oublié des pièces dans l’UC.

Le pied par contre n’est pas le plus sécurisant qui soit. Il est stable un fois qu’il est enfiché dans la base de l’UC (si on peut appeler cette petite boite par ce nom pompeux) mais il a tendance à jouer les filles de l’air dès que l’on essaie de bouger la box.

Pour le prix (160 euros + 20 euros de TVA), je suis très content de mon achat. C’est vraiment idéal pour une station de surf discrète ou un centre de visionnage de divx si vous avez une télé récente (et pas une TV avec tube cathodique avec seulement des prises peritel …). Je recommande.

Gagner quelques centaines de Mo sur son Eeepc avec la commande locate

terminalSur mon installation toute fraiche de Eeebuntu base, il ne me restait malgré tout pas des masses de place après avoir installé tous mes logiciels favoris. En cherchant un peu, j’ai vu qu’on pouvait facilement gagner de la place en supprimant les paquets .deb qui sont gardés en cache par le système, en vue d’une éventuelle réinstallation ultérieure.
Comme je suis connecté à Internet tout le temps, pas la peine de garder ces archives qui ne me sont d’aucune utilité et qui prennent de la place.

Tout d’abord, il faut les localiser. On tape donc dans un terminal

locate *.deb

Il devrait vous remonter une ribambelle de lignes qui commencent par /var/cache/apt/archives/plein_de_paquets.deb
Il faut maintenant supprimer les paquets qui se trouvent dans ce dossier. Il vous faudra les droits de super utilisateur pour celà.

On se place dans le dossier
cd /var/cache/apt/archives/

Et on supprime tous les paquets deb de ce répertoire
sudo rm -I *.deb

L’option -I permet de n’être prévenu qu’une fois avant de supprimer tous les fichiers. Quand il vous demande si vous voulez supprimer toutes les occurrences, vous tapez « o » (sans les guillemets) pour dire oui.

Après ça vous devriez avoir gagné un peu de place sur votre disque. Sur mon Eeepc 701, c’était quand même 300 Mo, ce qui est bien quand on n’a que 4 Go de stockage.

EDIT :

Suite à tous les commentaires qu’a suscité cet article, voici toutes les contributions qui ont été faites, faites votre shopping.

Dans Synaptic : Configuration -> Préférences -> Fichiers -> Supprimer les paquets en cache.

Pour faire la même chose, en ligne de commande, on tape dans un terminal :
sudo apt-get clean
puis
sudo apt-get autoclean

Pour gagner de la place supplémentaire, on peux supprimer également les locales inutiles
sudo apt-get install localepurge

Il y a aussi les packages orphelins à supprimer :
sudo apt-get install deborphan
sudo deborphan | xargs sudo apt-get -y remove –purge

Vous pouvez aussi ,jeter un coup d’œil à ce script qui fait le job merveilleusement : http://www.webdevonlinux.fr/2009/02/24/garder-ubuntu-propre/

On peut aussi utiliser BleachBit
http://bleachbit.sourceforge.net/
http://doc.ubuntu-fr.org/bleachbit

On peut limiter la place prise par les miniatures en réglant sur gconf-editor les clés /desktop/gnome/thumbnail_cache/maximum_age (en jours) et /desktop/gnome/thumbnail_cache/maximum_size (en Mo)

Monter et démonter ses partitions au démarrage sous Ubuntu

Disk Manager (le gestionnaire de disques en français) est un logiciel avec une interface graphique qui se trouve dans les dépôts Universe à partir d’Ubuntu 8.10 et qui va vous permettre de gérer vos partitions simplement en quelques clics. De cette manière, pas besoin d’éditer le fichier fstab pour gérer le montage de certains disques au démarrage par exemple.

INSTALLATION

Installation par les dépôts officiels (Ubuntu 8.10 et suivantes)

Une fois activés les dépôts Universe, installez le paquet disk-manager via Synaptic ou dans un terminal.

sudo apt-get install disk-manager

Si vous êtes sur une version antérieure à Intrepid 8.10 allant  de 6.10 à 8.04), vous devrez télécharger un paquet sur le site officiel de disk-manager et l’installer manuellement (le paquet de Feisty fonctionne aussi pour les versions suivantes 7.10 et 8.04).

Pour l’installation, rien de plus simple, il suffit de double cliquer sur le paquet deb et de laisser faire le programme

UTILISATION

Il y a 2 onglets dans l’interface : Général et Configuration avancée

Onglet Général :

Ici vous pouvez choisir de détecter les nouveaux disques / partitions au démarrage du PC et activer le support en écriture pour les partitions NTFS.

Vous avez ensuite une liste reprenant les partitions paramétrée et diverses informations comme l’espace total et utilisé.

Disk manager 01

Si vous cliquez sur le bouton Configurer les nouvelles partitions, vous pourrez choisir de monter au démarrage les partitions choisies, changer leur nom et / ou le chemin du point de montage.Disk manager 03

Si vous ne savez pas, le bouton Configuration auto (que je n’ai pas testé) est là pour s’occuper de tout.

Onglet Configuration avancée :

La colonne « Active » vous permet de choisir si le montage sera automatique au démarrage de l’ordinateur.

Ici aussi, vous pouvez choisir de changer le chemin et nom du point de montage.

Enfin, vous êtes informés du type de format de fichier utilisé pour chaque ligne, de sa taille totale et du total utilisé.

Disk manager 02

Bref, c’est un utilitaire sympa pour gérer de nombreuses partitions sans mettre les mains dans le cambouis. En revanche, comme vous pouvez le voir sur la copie d’écran, il n’est peut être pas exempt de bug, puisqu’il me trouve deux fois la même partition. Mais je ne saurai pas dire si c’est dû au programme ou à ma configuration. Quoi qu’il en soit, je n’ai jamais rencontré de plantage depuis que je l’utilise.