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Fip fête ses 40 ans avec un podcast narrant la génèse et l’histoire de la station

S’il y a bien une radio différente sur la bande FM, c’est Fip. C’est une station que j’aime beaucoup la plupart du temps, car on peut y écouter tout ce qui ne passe pas sur les autres. C’est la seule sur laquelle je sois tombé sur du John Mayer, du Keb Mo, du David Byrne et du Popa Chubby par exemple, pour ne citer que quelques artistes que j’aime. Tout ça à quelques jours d’intervalle.

Mais on y diffuse aussi du jazz, de la world, des chansons plus exotiques, de la variété française alternative (je ne vois pas d’autre mots …) et du classique. Je n’aime pas tous ces genres, mais ça a au moins le mérite de garder les oreilles en alerte.

Et depuis le début de l’année, Fip fête ses 40 ans. 40 ans déjà que cette station (France Inter Paris 514 mètres comme elle s’appelait à son démarrage) inonde les ondes avec ce cocktail inattendu de musiques variées.

Pour fêter dignement cet anniversaire, un documentaire audio retraçant son histoire a été produit et est diffusé deux fois par jour à l’antenne, mais aussi disponible sous forme de podcast ou écoutable sur le site. Et c’est un vrai plaisir.

« Vous avez râté Marie Martine » (c’est le nom de ce programme) est un best of de tout ce qui fait et a fait Fip, sa culture, sa génèse, ses créateurs, ses voix (les fameuses Fipettes, Marie Martine étant l’une des premières et Simone Herault une autre d’entre elles, mais que l’on connait peut être plutôt en tant que voix des quais de gare SNCF). Bref, il s’agit d’un pan de culture à posséder impérativement pour briller en soirée et surtout pour se faire plaisir, car c’est réellement un bonheur d’entendre comment cette station s’est montée et d’en comprendre la philosophie.

Cerise sur le gâteau, chaque billet qui accompagne les épisodes possède bien évidemment un texte de présentation, parfois complété par des images ou des vidéos ressorties des archives de l’INA.

Bref je vous conseille chaudement de vous abonner au flux du podcast ou d’aller l’écouter sur le site.

[Firefox du mercredi] DownThemAll!

Pour reprendre en douceur ces éditions du Firefox du mercredi (et je vous rappelle que tous mes billets traitant de Firefox se trouvent sur cette page), voici une extension qui figure dans mes indispensables depuis plusieurs années. Il s’agit de DownThemAll! (DTA pour les intimes). Comme son nom l’indique, il s’agit d’un addon servant exclusivement à gérer les téléchargements et les faciliter.
Vous autres, les fous du téléchargement (de n’importe quel type de fichier hein, je ne parle pas de téléchargement illégal !!!), vous allez me remercier car cette extension va vous faire aller beaucoup plus vite.

ON LA TROUVE OU ?

Comme d’habitude sur le site des extensions de Firefox. Ou alors sur le site officiel de l’extension.

CA FAIT QUOI EXACTEMENT ?

L’extension présente par défaut des boutons qui vont permettre de choisir de télécharger certains fichiers de la page en cours, selon des filtres que l’on aura défini auparavant (jpg, gif, avi, wmv, mp3, au choix et tout cela pouvant s’additionner bien entendu).
Cette possibilité est aussi donnée via un clic droit dans la page dans le menu contextuel.

ET CA MARCHE COMMENT ?

Faisons un petit tour des préférences :

  • Onglet  »Principales » :

Dans la partie Téléchargements, on va pouvoir régler le nombre simultané de téléchargements. 10 au maximum, en général, je le règle à 3, ma connexion n’étant pas terrible. Rien n’empêche de le mettre au taquet, ça dépend de ce que vous téléchargez, de votre patience et de votre connexion.

On peut choisir de renommer le fichier à l’arrivée si un autre fichier porte le même nom dans le dossier de destination.

On peut également choisir de réessayer quand un fichier échoue, choisir le délai au bout duquel on réessaie et le nombre tentatives pour le retélécharger.

Enfin, on a le comportement de l’extension lorsque tous les téléchargements sont finis (son, notification, fermeture).

  • Onglet « Filtres » :

J’avoue, celui-là est assez indigeste. Il permet de régler les extensions des fichiers qui seront automatiquement mis en file d’attente de téléchargement (voir plus bas dans l’exemple pratique). Je ne me suis jamais penché sur la question puisque les filtres par défaut me vont parfaitement bien.

En cliquant sur ajouter un nouveau filtre, on peut ajouter de nouvelles extensions de fichier et la syntaxe doit permettre de prendre en compte des variations.

  • Onglet « Vie privée » :

Ici on peut régler quelques paramètres qui ne sont pas les plus indispensables, mais qui peuvent s’avérer utiles si l’ordinateur dont vous vous servez n’est pas que le vôtre : actions lors de la fermeture du gestionnaire de téléchargement (éléments à effacer notamment), la présence de logs et les éléments des menus déroulants.

  • Onglet « Interface utilisateur » :

La façon dont l’extension apparait peut être un peu customisée. On peut choisir de n’afficher que les noms des fichiers dans le gestionnaire de téléchargement, et / ou afficher des info bulles, démarrer en mode réduit, réduire vers la zone de notification (un autre module devra être téléchargé dans ce cas), ajouter DTA à la fenêtre d’enregistrement classique de Firefox. On peut également choisir les entrées devant apparaitre dans les menus contextuels et outils.

  • Onglet « Avancées » :

Dans cet onglet, on rentre dans le domaine du pinaillage et des réglages fins. On contrôle la taille des segments de téléchargement (qui détermine en combien de petits morceaux le fichier téléchargé est divisé), le dépassement de délai encas de connexion inactive, et divers autres paramètres, là encore pas essentiels pour un utilisateur de base.

Le dernier qui peut servir est le choix du dossier de stockage des fichiers temporaires. Utile si on n’a pas les droits nécessaires sur tous les répertoires d’un PC.

UN EXEMPLE CONCRET

C’est vrai que passer en revue les options c’est bien, mais un exemple c’est mieux.

Disons que je veux télécharger un bootleg de « The Dead » sur Archive.org. Le problème c’est que chaque chanson est un fichier différent et donc sans utiliser DTA, je devrais enregistrer chaque fichier séparément. La plaie.

Avec DTA, c’est plus simple.

Vous avez désormais normalement 3 icônes dans la barre du haut de Firefox (si ce n’est pas le cas, un clic droit sur la barre, « Personnaliser » et tirez les icônes où vous voulez).

La première est DTA One Click. En fonction des filtres définis dans les options, elle va choisir seule les fichiers à télécharger et les mettre dans le gestionnaire de téléchargement (qui correspond à la 3ème icône). Pratique, mais dans notre cas, ça va faire des doublons puisque nous avons pour chaque chanson 3 types de fichiers.

On choisit donc la deuxième icône, s’intitulant sobrement DownThemAll!!. Et une nouvelle fenêtre s’ouvre. Ça donne ça (cliquez dessus pour la voir en taille réelle) :

On a la liste de tous les liens et fichiers se trouvant sur la page. Ce qui nous intéresse, ce sont les liens pointant vers les fichiers mp3 (ou les FLAC si vous êtes mélomanes, ou ogg si vous êtes libristes). Nous allons donc paramétrer pour ne sélectionner (ce sont les lignes en vert, donc vous voyez que l’on a déjà des liens sélectionnés) que les fichiers mp3. Pour cela, on va désélectionner dans les filtres « Images », « Vidéos » et « Applications ».

Il nous reste encore les flac et ogg dont on ne veut pas. On va dans « Filtrage rapide » et on tape *.mp3. On désélectionne le filtre audio qui est au dessus pour se débarrasser des formats superflus et voilà.

Il ne reste plus qu’à choisir le dossier de destination (un conseil si vous téléchargez beaucoup de musique, un dossier par album, ça évite les prises de tête si les fichiers sont mal taggés !!). On clique ensuite sur « Démarrer » ou « Mettre en attente » selon son envie.

On peut suivre l’avancement dans le gestionnaire de téléchargement qui se lance. Là vous pouvez mettre en pause, reprendre un ou plusieurs téléchargements, en ajouter, faire monter ou descendre dans la file d’attente certains fichiers.

Bien sûr, vous pouvez adapter les types de formats à votre besoin. Je l’utilise avec bonheur pour des images et de la vidéo, mais rien ne lui résiste. Et si vraiment vous ne voyez pas, il reste toujours la solution de sélectionner les fichiers à la main dans la fenêtre en cliquant sur la petit coche tout à gauche.

Avec Google OS, plus rien ne traine sur votre PC

Je viens de visionner cette très sympathique vidéo présentant la dernière grande nouveauté de Google, Chrome OS.

La surprise vient du fait que … le PC en lui même ne sert à rien. En tous les cas, il ne stockera rien. Pas de vidéo, pas de musique, rien. Tout est dans le navigateur.

Google Chrome OS

Tout sera dans le cloud, sur le net, en ligne, bref loin, très loin. Alors, tout ça c’est bien joli, mais si on a une connexion un peu pourrie, comme la mienne, ou qu’on veut emporter son PC avec soi, mais qu’on n’a pas de connexion Wifi ou 3G à proximité ? Ben, autant pas prendre le PC.

Alors, je me pose quand même la question : qui va acheter un PC labellisé Google OS (car on ne pourra pas télécharger le Google Os, il faudra acheter un PC pré installé avec Google OS), si on ne peut pas s’en servir pour faire autre chose que surfer. Même si c’est effectivement l’activité principale d’un utilisateur aujourd’hui, je ne me vois pas avoir un ordi que pour ça et devoir changer si je veux mater un divx ou un DVD, ou faire un peu de guitare en me passant un playback de mon choix.

Certes, c’est une bonne idée, mais le bouchon n’est-il pas poussé un peu loin ? Tout dépendra du prix auquel ces machines seront proposées.

Qu’en pensez-vous ?

Télécharger des mp3 sur Amazon, avec Ubuntu c’est facile

amazon-frLa semaine dernière, ma tendre moitié a voulu récupérer en mp3 un messe en Sol de Shubert, disponible sur Amazon.

Ni une ni deux, on se connecte sur le site, et on ajoute les pistes au panier. Ah, oui, mais il faut installer un logiciel qui va gérer le téléchargement des dites pistes. Zut, il va falloir passer par Wine, ça va être casse-c*****. On clique par acquis de conscience et la surprise, le logiciel est disponible pour linux, dans 4 versions différentes, donc celle qui m’intéresse, Ubuntu au format .deb (pour la version 8.10 mais l’installation a parfaitement fonctionné avec ma 9.04).

amazon mp3 downloader

Une fois l’installation terminée,on la retrouve dans Applications > Internet et j’ai pu télécharger sans aucun souci les chansons commandées (à 0.99 € chacune d’ailleurs).

Donc, je tenais à remercier Amazon de penser à tous ses clients, même la petite minorité qui a décidé de se passer de Billou ou de Steve.

Mauvaise nouvelle : Last.fm payant à la fin du mois de mars en France

last fmLe coup de gueule de la journée : Last.fm a décidé qu’à partir du 31 mars le système d’écoute gratuite ne sera plus disponible au delà de 30 titres pour les utilisateurs français. Passé ce quota ce sera 3 euros par mois.

La plaie pour moi qui commençait à apprécier fortement ce service à la maison et l’ergonomie du site. Il va falloir trouver une autre solution (pour l’instant je ne connais rien  qui lui arrive à la cheville en terme de catalogue et d’ergonomie) ou passer par un proxy étranger …

Si vous  avez des idées je suis preneur.

Via 01net

Best of 2008

Plutôt que de faire un récapitulatif simple de l’année 2008, je préfère vous faire partager mes coups de cœurs de cette année, un peu dans tous les domaines, en espérant que vous pourrez en profiter aussi.

Cinéma

On ne peut pas dire que j’ai vu beaucoup de film cette année et encore moins de bons et qui m’auraient marqués. Pour être franc, je suis de plus en plus séries, c’est plus court et plus gérable quand on a deux monstres qui refusent de s’endormir le soir 😉
Cependant, il y en a un qui est sorti du lot, c’est Into the wild.

Into the wild, c’est mon gros gros coup de cœur de 2008. Ce film est magnifique, très émouvant, bien filmé et il m’a littéralement retourné. J’y ai pensé pendant des semaines. Après l’avoir vu on relativise grandement notre vie actuellement. Je ne pense pas que ça plaira à tout le monde, mais à voir absolument à mon sens.

Musique

Into the Wild OST : Au même titre que le film, la BO de Into the wild est un bijou. C’est simple et efficace et très émouvant. Elle a tourné en boucle dans mon autoradio pendant plusieurs MOIS !!! (en alternance avec d’autres albums quand même). Elle a été composée par le chanteur Guitariste de Pearl Jam, Eddie Vedder. Sa voix me fait penser à celle du chanteur de REM. Bref, une grosse claque, j’adore.

Roisin Murphy : normalement ce n’est pas mon genre de musique, mais son electro pop, découverte sur Arte (merci Tracks) m’a subjugué. L’album est génial (paroles et musiques) pour se dandiner sur place et avoir la pêche pour la journée.

Amy Winehouse : on ne peut pas dire que ce soit une découverte de 2008, mais pour moi oui. Je ne la connaissais pas et bien c’est un tort que j’ai corrigé avec plaisir cette année. J’aime sa voix, j’aime ses chansons. Musicalement c’est assez exceptionnel (même si ce n’est que de la soul remise au goût du jour) et ça change de la daube qu’on nous sert à la radio. Je suis d’accord sur le fait que le personnage est plus limite, mais ça c’est une autre histoire.

Velvet revolver : je ne suis pas un grand fan des Guns n Roses, ni même de Slash, mais du bon Rock N Roll, j’adore. On y est là. L’album Libertad a aussi tourné en boucle dans ma bagnole sur le trajet du boulot. Des riffs et un chanteur qui assure, il ne m’en faut pas plus des fois pour être content.

Informatique

j’ai changé de PC et ça change la vie. Ma nouvelle box faite avec mes petites mains tourne comme une horloge et elle est rapide comme une Ferrari noire (enfin par rapport à celle que j’avais avant). Quand on y ajoute le 22 pouce de Noël, c’est le bonheur, que ce soit pour le surf, le développement (modeste) et surtout le jeu.

En fait, pour être franc, j’ai acheté 2 fois des PC dans l’année, puisqu’au mois de juin nous nous sommes offerts un Asus Eeepc 701. Je pense que c’est lui mon vrai coup de cœur en matériel d’info de l’année. Comment est-il possible de faire tenir autant de possibilités dans une aussi petite carcasse ? Bien sûr depuis, le concept a encore évolué  et de nombreux modèles bien plus performants et à peine plus gros sont sortis (et ça ne risque pas de s’arrêter apparemment), mais je suis toujours très content de mon petit joujou.

Le blog

2008 aura été l’année pendant laquelle je me suis lancé sérieusement dans le blogging (en fin sérieusement, c’est vite dit …) : un nom de domaine, un hébergement pro (merci Seb), une plateforme sympa (WordPress).
Ça m’a permis de rencontrer virtuellement beaucoup de monde, souvent très sympa (ça c’est linux !!) et ça me réjouit toujours autant.

Le seul point noir, c’est que c’est un gouffre à temps, je ne fais plus de sport (de toutes façons, j’ai un genou en miettes alors  …), que je ne lis plus de vrais livres et que je fais beaucoup moins de guitare. Faut que ça cesse !!!

Je vais faire un petit récapitulatif des 8 mois de 2008 d’ici quelques jours mais court puisque j’ai déjà donné quand j’ai atteint les 100 billets. Je ne vais pas me faire des billets sur le blog tous les 3 mois non plus, faut pas abuser des bonnes choses.

Jouer de la guitare sur son PC avec EnergyXT

Une première utilisation du séquenceur EnergyXT peut être de s’en servir comme d’un VST Host, c’est-à-dire d’une coquille permettant d’utiliser un plugin VST qui n’a pas vocation à tourner en tant que programme indépendant (standalone).

Personnellement, je voulais jouer de la guitare sur mon ordinateur et accessoirement, pouvoir m’enregistrer pour progresser et voir les erreurs commises dans le feu de l’action.

De nombreux programmes peuvent servir de VST Host, comme Chainer par exemple qui est ultra simple. Mais ils ont en général beaucoup moins de fonctions qu’EnergyXT.

Voici donc la marche à suivre pour pouvoir arriver à se servir de son PC comme d’un ampli et / ou d’un multieffets.

Tout d’abord, il faut savoir si vous avez une carte son dédiée à la musique. Si c’est le cas, le paramétrage sera beaucoup plus facile, grâce aux drivers ASIO fournis par le constructeur.

Si ce n’est pas le cas, la galère commence car EnergyXT ne fonctionne qu’avec ces drivers ASIO (comme une bonne partie des applications de MAO d’ailleurs). Il faudra donc installer la dernière version des drivers ASIO4ALL, qui simulent la présence de vrais drivers ASIO et permettent donc d’utiliser ce type de programmes avec une carte son comme celles qui sont intégrées à la carte mère du PC.
Je ne rentre pas dans les détails du paramétrage d’ASIO4ALL (vous trouverez de l’aide facilement sur de nombreux forums de musique) car chez moi, je n’ai jamais réussi à les faire fonctionner correctement, ni sur mon PC de bureau, ni sur mon portable. C’est d’ailleurs ce qui m’a poussé à m’acheter une vraie carte son dédiée et fini les problèmes 😉

Bien entendu, et avant toute chose, allez télécharger EnergyXT sur le site de l’éditeur et installez le.

Au premier démarrage de l’application, il va falloir paramétrer les entrées et sorties audio et midi.

Suivant votre configuration et la présence ou non des fameux drivers ASIO (ou ASIO4ALL), ça peut varier, mais en gros le principe reste le même.

La première ligne et ses deux menus déroulants correspond dans l’ordre au type de driver utilisé, et au driver lui-même. Le bouton Setup va vous renvoyer vers l’interface de paramétrage de votre driver. Le buffer size va vous servir à réduire la latence (c’est à dire le temps que le son que vous jouez met à arriver à vos oreilles en passant par le logiciel). Sa valeur varie d’une config à l’autre (encore) mais je pense qu’entre 256 et 512 c’est une bonne base de travail (à modifier par la suite en faisant des essais si la latence est trop importante). Le sample rate c’est le taux d’échantillonnage. C’est ce paramètre qui va déterminer la qualité de vos futurs enregistrement. Ce taux de 44100 est le même qu’un CD audio. Enfin record delay c’est le temps de latence que vous désirez.

driver

setup1

Les lignes suivantes correspondent aux entrées et sorties midi et audio. Là encore suivant votre configuration, ça peut varier. A la limite vous pouvez tout cocher et faire des tests par la suite pour voir si tout fonctionne.

folders1

folders_vst4Ensuite, nous allons chercher les dossiers dans lesquels se trouvent les plugins VST. Faire un clic droit dans la partie droite de l’application et choisir Folders. Une fois dans ce menu choisir le dossier voulu sur le disque dur et cliquer sur Add. Recommencer éventuellement pour chaque dossier contenant des plugins (pour simplifier les choses essayez de tout mettre au même endroit).

Une fois le programme paramétré, il est temps de faire un peu de guitare. Il faut maintenant insérer un plugin de simulation d’ampli et / ou d’effet pour brancher votre planche favorite.

3

Faire un clic droit dans la partie droite de l’application, choisir VST et le plugin voulu. Ici nous avons choisi Amplitube.

Enfin relier l’entrée audio du plugin (le petit carré vert en haut de sa représentation à l’écran) à l’entrée audio (Master In) par un clic gauche maintenu et glissé d’un carré à l’autre. Si jamais vous vouliez supprimer ce lien, un clic droit sur l’un des carrés sera suffisant.

Si tout est bien paramétré vous devriez avoir le son de votre plugin dans les doigts et les oreilles.

A propos des plugins, on trouve de tout sur le Net, du gratuit au très cher avec des résultats … surprenants. A mon sens aucun plugin n’est à l’aise dans tous les registres. En tout cas, voici ceux que j’utilise plus ou moins régulièrement.

  • Guitar Rig 2 : très complet avec plein d’accessoires sympa (dont un double enregistreur genre cassette, un accordeur, un métronome, …) et une tonne d’effets. Une démo est téléchargeable sur le site de l’éditeur.
  • Amplitube : un simulateur d’ampli pur et dur avec quelques effets. On peut trouver de nombreux presets sur le Net. La version 2 est sortie apparemment, mais je n’ai pas pu l’essayer encore. Elle a l’air d’être beaucoup plus complète désormais, au même niveau que Guitar Rig 2 je pense.
  • Simulanalog : celui-ci est gratuit (freeware). On trouve dans le package SimulAnalog Guitar Suite deux simulations d’ampli (un Twin Fender et un Marshall JCM900) plus quelques pédales d’effet célèbres (dont la Boss DS1). Par contre, il n’y a pas d’interface graphique. Mais ce qui compte c’est le son.

Je vous renvoie également vers ce site en français qui m’a bien aidé au début et qui liste un plus grand nombre de plugins et logiciels dédiés à la guitare sur PC et Mac.

Enfin, voici des extraits enregistrés avec le séquenceur d’EnergyXT et chacun de ces plugins pour que vous vous fassiez une idée. La guitare utilisée est une Musicman Special avec simples bobinages. J’espère que vous reconnaitrez les chansons.

Mary_had_Guitar_rig_2_SRV_clean.mp3

Sultans_avec_Amplitube_Mark_Knopfler_SC_.mp3

Sunshine_JCM900_SimulAnalog_Canal_B.mp3

Keep on playin’ et n’hésitez pas à me laissez des messages si vous pensez que je peux vous aider.