Archives par mot-clé : chantilly

La charlotte aux fraises

Après la gourmande et festive charlotte au chocolat, voici une recette de charlotte de printemps, plus fraîche et plutôt simple à exécuter. Le seul ustensile un peu exotique, c’est le moule à charlotte que l’on peut remplacer éventuellement par un petit saladier ou un moule à soufflé par exemple.

Profitez que l’on commence à trouver de belles fraises sur les étals pour utiliser ce fruit de saison. Plus elles seront mûres et sucrées, meilleur sera le résultat.

Ingrédients :

  • 30 biscuits cuillère (en fonction du moule)
  • 500 g de fraises
  • 30 cl d’eau
  • 1 c à s de sirop de fraise
  • 25 cl de crème fraîche liquide
  • 1 c à s de sucre glace (en fonction de votre degré de gourmandise)
  • 1 c à c d’extrait de vanille
Pour la crème pâtissière
  • 50 cl de lait
  • 60 g de farine
  • 100 g de sucre en poudre
  • 2 jaunes d’œufs (utilisez les blancs pour faire des financiers par exemple)
  • 1 sachet de sucre vanillé
  1. Préparer la crème pâtissière (je vous laisse suivre les instructions dans la recette de la tarte suisse aux abricots) et la laisser refroidir. L’idéal étant de la faire le matin ou la veille pour le lendemain.
  2. Préparer un sirop avec l’eau et le sirop de fraise. Ajuster les proportions en fonction du nombre de biscuits et du degré de sucre souhaité.
  3. Imbiber les biscuits (ni trop, ni trop peu) et tapisser au fur et à mesure le fond et les parois du moule. Les biscuits doivent recouvrir totalement le moule pour que la crème soit bien contenue dans le gâteau.
  4. Équeuter et préparer les fraises. Les couper en petits morceaux. Les mélanger avec la crème pâtissière.
  5. Remplir le moule au tiers avec le mélange crème et fraises. Ne pas hésiter à tasser un peu avec la maryse.
    charlotte-fraises-01
  6. Remettre une couche de biscuits imbibés pour cacher la crème.
  7. Remettre le reste de mélange crème + fraises et finir avec une couche de biscuits imbibés de nouveau. Le gâteau doit être bien tassé et aucun vide ne doit rester dans le moule à charlotte au risque de la voir s’effondrer au démoulage.
    charlotte-fraises-02
  8. Fermer le moule à charlotte avec le couvercle (qui correspond au fond du gâteau).
  9. Laisser reposer un nuit. Il faut que le mélange soit bien pris et froid pour être sûr de ne pas rater le démoulage.
  10. Un peu avant de servir le gâteau, monter la crème fraîche liquide en Chantilly avec un batteur électrique. Quand la crème est en train de monter, ajouter l’extrait de vanille et le sucre glace.
  11. Décorer la charlotte préalablement démoulée sur le plat de service avec la Chantilly et quelques fraises (ou des framboises comme sur la photo) que vous aurez conservées.
    charlotte-fraises-03

Et bon appétit.

charlotte-fraises-04

charlotte-fraises-06

[Restaurant] Ô relais de la côte – Gouvieux – 60 (Oise)

Voici encore une vieillerie que je traîne dans mes brouillons depuis fort longtemps, et il est bien dommage que je n’ai pas pris le temps de partager ce fort bon repas avec vous.

Si vous habitez ou êtes de passage dans Chantilly (Oise) et sa région (c’est la saison des courses), je vous recommande chaudement d’aller vous restaurer au restaurant Ô Relais de la côte, à Gouvieux.

Le cadre est sympathique, la cuisine est délicieuse, fraîche et faite maison,  la présentation classe, les prix sont raisonnables et les quantités plus que suffisantes.

Une image vaut mieux qu’un long discours, je vous laisse juger avec les photos.

Restaurant O Relais de la Côte

Restaurant O Relais de la Côte

Restaurant O Relais de la Côte

Restaurant O Relais de la Côte

Restaurant O Relais de la Côte

Restaurant O Relais de la Côte

Restaurant O Relais de la Côte

Restaurant O Relais de la Côte

Restaurant O Relais de la Côte

 

[Restaurant] Le Julianon

Quand j’aime un restaurant, j’aime vous faire partager l’adresse. Ce fut le cas avec le Thaï Spices, ce délicieux restaurant thaï parisien. Mon dernier coup de coeur est le Julianon, un charmant petit restaurant (une vingtaine de couverts) situé dans la vieille ville de Senlis, juste en face de la Sous Préfecture pour ceux qui connaissent.

Nous avons tenté l’expérience un midi. Car on peut parler d’expérience pour un restaurant qui n’a pas de carte le midi. Il n’y a qu’un menu unique imposé, pour 24 euros, avec entrée, plat et dessert, ce qui est tout à fait raisonable pour ce type de restaurant.

Ce jour là, nous avons eu droit à un fenouil cuit dans un bouillon à la citronnelle avec une tranche de fois gras poché. Le mélange du fenouil et du foie gras était délicat et délicieux. Une très bonne idée. Le fenouil était très tendre (j’adorerais en avoir des tendres comme ça à la maison !!) et surtout le foie gras était vraiment goûteux. Fondant, cuit à point et avec un très bon goût. Le bouillon était léger, mais je n’ai pas retrouvé la citronnelle promise.

Le plat de résistance était une longe de porc aux deux choux et ses poix chiches aillés (de mémoire). Ce n’est pas un morceau de viande très glamour, mais encore une fois c’était goûteux, même si la pièce n’était pas très tendre. La garniture quant à elle était composée de chou fleur et de brocoli, légèrement caramélisés (à la poêle je suppose) avec des pois chiche et disposé sur le dessus de la viande un mélange de pain et d’ail. Mélange étonnant mais réussi. Bref, un plat correct, mais pas une révélation.

En dessert, la simplicité régnait car ce jour là c’était coupe de fruits rouges (fraises et framboises) avec une chantilly au kombawa. Et le mélange entre les fraises, la chantilly et cet agrume bizarre était très réussi à mon goût. de plus, les fraises étaient vraiment excellentes, très fraîches et sucrées. Par contre, j’ai beaucoup moins apprécié les framboises qui elle étaient surgelées, mais surtout encore congelées dans ma coupe. Ça gâchait un peu le plaisir.

Donc dans l’ensemble un bon repas jusqu’à ce que l’addition arrive. En effet, nous avions pris un apéritif maison (très bon d’ailleurs : champagne, Cointreau et sirop de mangue) et de l’eau … enfin dans mon esprit c’était une carafe d’eau et c’est une demie bouteille d’Evian déjà débouchée qui est arrivée sur la table. Je n’ai pas vraiment apprécié de n’avoir aucun choix. Mais bon j’aurai dû préciser. Quoi qu’il en soit 5 euros la demie d’Evian et 14 euros chaque cocktail, j’ai eu un peu de mal …

Mis à part ce petit désagrément, je vous conseille quand même de tenter l’adresse, car le chef a le mérite de se renouveler tous les jours et rien que pour ça, une visite s’impose. Et si vous n’aimez pas les surprises, le menu du midi est affiché sur le site dès le matin, donc vous pourrez vous faire une idée.

Devenez parrain Linux

En lisant un billet sur le blog StandarTux, j’ai redécouvert l’idée (géniale) des parrains Linux. Du coup, je me suis inscrit dans la foulée. J’en avais déjà eu l’idée, mais je n’étais jamais passé à l’action.

Vous me direz, qu’est ce que c’est qu’un parrain Linux ? C’est une personne qui se sent assez à l’aise avec une ou plusieurs distributions Linux pour aider les autres et en particulier les débutants. La cerise sur le gâteau c’est que cette personne se trouve à côté de chez vous. Il y a une forte idée de proximité et d’échange dans la vraie vie derrière le concept. On reconnait la volonté de forger une communauté Linux, c’est un concept important dans le logiciel libre.

Bref, si vous êtes dans la région de Chantilly et que vous voulez un coup de main, contactez moi.

Si vous vous en sentez capable (pas la peine d’être une bête en ligne de commande ou en programmation), rejoignez les parrains Linux.

Parrains Linux