Archives par mot-clé : mot de passe

[Mémo] Comment migrer mon blog d’un hébergeur à l’autre

Je dis mon blog, mais je pense que la procédure dans ses grandes lignes (que je ne détaille pas ici) doit pouvoir s’appliquer quelle que soit la plateforme de blog et l’hébergeur. C’est plus un mémo pour moi qu’un vrai tuto.

Chez O2switch mon nouvel hébergeur, ils utilisent Cpanel donc certaines fonctions de la base de donnée étaient saucissonnées dans le Cpanel lui-même et pas accessible dans Phpmyadmin directement, ça m’a un peu surpris. Mais dans l’ensemble les étapes seront valables pour toute migration vers un nouvel hébergement.

[ordered_list style= »decimal »]

  1. Faire une copie de sauvegarde de ses fichiers sur le serveur FTP de l’ancien hébergeur (à faire de manière régulière de toute façon)
  2. Faire une copie de sauvegarde de sa Base de Donnée (à faire de manière régulière également, sur WordPress je vous conseille WP-DBMANAGER)
  3. Acheter son hébergement
  4. Uploader les fichiers du blog vers le nouveau serveur FTP dans le dossier qui va bien
  5. Créer une nouvelle base de donnée (garder le même nom que l’ancienne c’est plus simple)
  6. Créer un utilisateur (et son mot de passe) pour la nouvelle base de donnée
  7. Associer l’utilisateur et la base de donnée (chose que j’avais oubliée de faire)
  8. Modifier le fichier wp-config.php avec les données de la nouvelle base de donnée. Si vous avez tout recréé à l’identique, il n’y a rien à faire, sauf peut-être le DBHOST. Chez moi c’est resté localhost d’un hébergeur à l’autre, mais ça peut varier.
  9. Changer les DNS chez le registrar qui s’occupe de votre nom de domaine, pour que ça pointe sur votre nouvel hébergeur.

[/ordered_list]

Une fois que tout ça c’est fait, ça devrait rouler. Encore un grand merci à o2switch et Alexandre pour sa rapidité et son efficacité.

Déverrouiller le mot de passe du trousseau sous Ubuntu 10.10 et suivants

Une note rapide, qui est plus à usage personnel qu’autre chose. J’avais fait le même genre de post pour une version plus ancienne (le post date de 2009). Mais j’ai ce problème à chaque installation donc, un nouveau billet s’impose étant donné que la procédure a un peu changé.

Pour changer le mot de passe du trousseau de clés (et le mettre à l’identique de votre mot de passe de connexion afin qu’il ne soit plus demandé), allez dans Système → Préférences → Mots de passe et clés de chiffrement. (sous Lucid, il faut aller dans Applications → Accessoires → Mots de passe et clés de chiffrement).

Mots de passe et clés de chiffrement_001

Dans l’onglet « Mots de passe », vous avez l’entrée « Mots de passe : login ». Cliquez dessus avec le bouton droit de votre souris et choisissez « Modifier le mot de passe ». Vous changez le mot de passe par le mot de passe de login de la session de votre compte. Et voilà !!!

Modifier le mot de passe du trousseau de clés_002

Via la doc Ubuntu

Test rapide de Linux Mint LXDE

Il y a quelques temps, j’avais fait une installation (moisie je pense) de Lubuntu, la version LXDE d’Ubuntu. Mais, comme elle était moisie, j’ai eu pas mal de soucis principalement des problèmes de droits, de place sur le disque, … Donc, quand j’ai vu que Linux Mint avait sorti elle aussi une version LXDE de Julia, j’ai décidé de repartir de zéro et de l’installer sur mon eeepc 701.

D’abord, il faut préciser que LXDE est un environnement de bureau (comme GNOME ou KDE par exemple) très léger, plus à destination des vieilles machines ou avec des capacités limitées. Mais si on a juste envie d’avoir une installation assez dépouillée et très rapide, ça le fait également. Le gestionnaire de fenêtres utilisé est Openbox, que je connais un peu, donc ça ne va pas me dépayser. Par contre, c’est beaucoup plus « roots » et moins policé que GNOME par exemple, surtout au niveau interface utilisateur.

Donc téléchargement d’iso ICI, puis je la mets sur une clé usb (dont j’efface consciencieusement d’abord tous les fichiers présents, c’était une des causes du moisissage de la précédente installation) grâce à Unetbootin. Puis on enfiche la clé dans l’eeepc, on démarre, on appuie sur Echap comme un malade au démarrage et on choisit ladite clé USB. Et tout roule.

L’installation d’abord se fait sans douleur, ça ressemble beaucoup à l’installeur d’Ubuntu (mais pas la dernière version, celle d’avant je pense). En même temps, Linux Mint est toujours basée sur Ubuntu donc c’est normal.
C’est assez rapide sur mon eeepc, ce qui est plutôt rare, en général, ça prend des plombes. Par contre, il est à noter qu’il voulait absolument que je sois connecté à internet. Mais la connexion en wifi n’a pas posé de problème.

Une fois l’installation terminée on redémarre et on tombe sur la classique demande de connexion (utilisateur puis mot de passe). Bon, c’est un truc qui m’horripile, j’ai horreur de ce machin. Le premier truc que je fais en général, c’est de supprimer ça. Je sais que pour la sécurité, c’est pas bien mais bon.
Et c’est le premier point qui va m’embêter, car pas moyen de faire en sorte de zapper ce login. Le login automatique se trouve normalement dans Utilisateurs et groupes, mais ici, j’ai beau cocher ne pas demander le mot de passe à la connexion, ça revient à chaque fois quand même. Je sens que je vais aller poster sur le forum Ubuntu …

Ce petit désagrément passé, cette version de Linux Mint est très agréable à utiliser sur mon netbook, ça répond au quart de tour, ça ne plante pas, les boites de dialogue sont adaptées à la résolution de l’écran (on ne rigole pas, c’est loin d’être toujours le cas) et surtout, il me reste un max de place sur mon petit disque dur. Sur 3.3 Go, il m’en reste 1.2 après l’installation. Je vais pouvoir faire les mises à jour (ce qui était impossible avec Lubuntu). En plus, je n’ai quasiment pas fait de ménage car l’offre logicielle est très adaptée et il n’y a que des programme peu gourmands que ce soit en espace disque ou en mémoire. Le seul bémol c’est que c’est Firefox qui est le navigateur par défaut, alors que j’utilise désormais Chromium. Mais je chipote.

Côté hardware, tout est reconnu sans rien faire. Même l’OSD fonctionne (sauf pour le son) et là encore ce n’est pas toujours le cas. Le seul truc qui déconne un peu, c’est que j’ai perdu en cours de route la reconnexion automatique du wifi à mon réseau domestique quand l’ordi sort de veille ou quand il démarre. Mais j’ai réactivé le paramétrage ad hoc dans le gestionnaire de réseau et je n’ai plus de problème.

L’un des gros points forts de Linux Mint est quand même la compatibilité avec Ubuntu, et donc avec les paquets deb (donc de manière plus générale avec Debian, même si je n’ai pas testé). De façon plus globale, il y a de grandes chance que si une manipulation fonctionne sur Ubuntu, elle fonctionne également sur Linux Mint. Et du coup, ça ouvre pas mal de possibilité en terme de recherche lors de l’apparition de problèmes.

L’autre point fort est la large panoplie de logiciels offerts (maison ou pas), qui sont là pour simplifier la vie de l’utilisateur. L’offre logicielle est pléthorique par défaut, mais pas de doublon et les choix sont très bons, à mon goût en tous les cas. On note qu’il existe donc dès l’installation un gestionnaire de mise à jour plus évolué, un client FTP, un logiciel de backup, le tout développé spécialement pour Mint. Bref, Mint n’est pas une énième resucée d’Ubuntu sans imagination. Ils se donnent du mal et ce dans le bon sens.

L’un des seul point embêtant que j’ai relevé est qu’avec certaines applications, la police est en blanc dans certains champs de saisie ou boutons et donc l’écriture reste invisible, ce qui est tout sauf pratique.

Donc en conclusion, je vous conseille de jeter un œil sur Linux Mint, c’est une distribution qui commence à avoir un peu de bouteille et avec les changements apportés récemment à Ubuntu (cf. la polémique actuelle avec Unity), je pense qu’elle va prendre encore plus de galon.

Test de la Framakey Ubuntu-FR Remix de Framasoft – La partie Linux

Voici donc la deuxième partie du test de ma Framakey Ubuntu Remix, celle de la distribution Ubuntu-FR Remix en live USB. La première est ICI.

La première bonne surprise, c’est que la version d’Ubuntu qui est fournie avec la clé est la dernière en date (même si ce n’est plus pour longtemps), Ubuntu 9.10. Je pensais me retrouver avec la 9.04, c’est vraiment agréable.

Au démarrage de l’ordinateur hôte, il faudra connaitre le moyen de booter sur les ports USB car la clé ne prend pas la main de manière « automatique ». Il faudra taper frénétiquement sur les touches habituelles (ESC, F1, F2, F8, …) pour déclencher l’invite de démarrage de la clé.

Sur mon Eeepc 701, tout est reconnu par défaut, wifi, volume, luminosité, mise en veille, … tout ça sans rien faire. C’est très sympa, d’autant plus que ce n’est pas le cas sur mon eeebuntu habituel.

L’ordinateur est très réactif, ça fonctionne très bien pour du live USB. Une des meilleures versions que j’ai pu tester.

Les mises à jour (nombreuses) lors du premier démarrage se sont faites facilement. Il peut être utile de faire la MAJ puisque la clé dispose d’un espace disque persistant. Donc toutes les modifications qui sont faites sont gardées en mémoire pour le prochain redémarrage. Comme ça la version live a toujours les dernières versions de logiciels d’installées et on n’a pas peur de se retrouver avec des failles de sécurité dans tous les sens si on utilise longtemps cette clé. (cf. plus bas pour un gros bémol).

En fait, tout fonctionne de manière tout à fait habituelle par rapport à une installation classique sur disque dur. Je n’ai noté que quelques ralentissements de Firefox parfois, mais rien qui aille jusqu’à planter complètement le système.

L’installation de logiciel se fait facilement que ce soit en ligne de commande comme en passant par Synaptic. Ave des paquets deb, ça le fait aussi. J’ai même ajouté des PPA dans mon sources.list. comme une installation en dur quoi.

Le seul problème est que la clé est à mon goût vraiment trop juste au niveau taille pour qu’on puisse sereinement utiliser toutes ses fonctions windows et linux de manière optimale. En effet, en supprimant pas mal de programmes qui me sont inutiles dans mon utilisation de la Framakey, il ne me reste que 800 Mo en tout sur la clé. Ça encore, ça pourrait aller (encore que si on y met un divx, ça devient tendu). Mais le plus gênant, c’est la taille du disque persistant de la session Ubuntu qui n’a plus que dans les 300 Mo de libre. Je suis au final dans l’impossibilité de faire les mises à jour car il y en a pour plus de 350 Mo.

Alors en trainant sur la page de la Framakey dans l’onglet questions fréquentes, je me suis aperçu qu’ils déconseillent tout simplement de faire les MAJ et de désinstaller les programmes.

« La mise à jour complète du système Ubuntu n’est PAS recommandée sur les F.U.R. »

« … nous déconseillons de désinstaller des logiciels pour gagner de l’espace, car cela “masquera” le logiciel dans le menu, mais le logiciel sera toujours présent dans /casper/filesystem.squashfs. Désinstaller un logiciel peut même, paradoxalement, vous faire perdre de la place ! » (et effectivement je m’en suis rendu compte !!)

Si on veut vraiment, il y a toujours possibilité d’augmenter la taille du disque persistant (un fichier casper-rw). Là encore, le site de la Framakey contient la réponse, toujours dans l’onglet questions fréquentes. Je fais un méchant copier coller, ça me servira de pense bête. La manip est d’ailleurs faisable sous windows ou sous linux.

Comment redimensionner le disque permanent Ubuntu (casper-rw) ?

0. si nécessaire, faire un backup des des données de la clé (fichiers et dossiers personnels, que ce soit sous Ubuntu ou Windows)

1. si nécessaire, faire de la place sur la clé.
Il est possible de supprimer :

  • le dossier /Apps *à condition de laisser /Apps/PortableFirefox et /Apps/PortableThunderbird* (les profils sont partagés)
  • le dossier /Framakey (le gain de place est négligeable)
  • le contenu des sous dossiers /Data (le gain de place est négligeable)
  • le dossier /MacOSX

2. vérifier l’espace libre sur la clé (FAT32)

3. supprimer le fichier /casper-rw à la racine de la clé

4. recréer un casper-rw :
4.1 sous linux

  • installer si absent les utilitaires “dd” et “mkfs”
  • exécuter les commandes :

Code:
$ dd if=/dev/zero of=/chemin/vers/la/racine/delaclé/casper-rw bs=1M count=2000
$ mkfs.ext2 -F /chemin/vers/la/racine/delaclé/casper-rw

  • vérifier qu’on a bien un fichier casper-rw de 2000Mo à la racine de la clé (évidemment, 2000 peut être remplacé par la taille de votre choix)

4.2 sous Windows

  • aller dans le dossier caché de la clé /syslinux/win32/dd
  • éditer (avec notepad ou autre) le fichier casper-rw-make.bat
  • remplacer “count=800? par “count=2000? (ou autre valeur) et sauvegarder
  • double-cliquer sur casper-rw-make.bat
  • vérifier qu’on a bien un fichier casper-rw de 2000Mo à la racine de la clé

5. c’est fini, on peut rebooter sur la clé, et éventuellement remettre en place les fichiers sauvegardés à l’étape 0.

Pour conclure, je dirais que cette partie Ubuntu est vachement bien, aussi bien en fait qu’une installation en dur. C’est réactif, pratique, customisable. Le seul point noir, c’est cette histoire de ne pas faire les MAJ qui me chiffonne un peu.

En tous les cas, j’espère qu’une MAJ sera faite de la Framakey Ubuntu remix quand Lucid sortira. Ce serait vraiment top.

Supprimer la demande de mot de passe du trousseau dans Ubuntu 9.04 Jaunty

trousseauJ’ai déjà fait un billet sur cet énervant problème de demande de mot de passe au démarrage (notamment avec Gnome-Do chez moi), mais avec la dernière version d’Ubuntu, Jaunty Jackalope, ça ne fonctionne plus de la même manière.

Pour se débarrasser de cette demande, il faut aller dans Applications > Accessoires > Mots de passe et Clés de Chiffrement

Cliquer sur l’onglet Mots de passe

trousseau jaunty

Cliquer droit sur la ligne qui se trouve dans cet onglet. Chez moi elle s’appelle « Mots de passe : Login »
A l’invite, saisir l’ancien mot de passe et laisser le nouveau vide.

trousseau jaunty

Valider le message vous prévenant que le mot de passe est faible (c’est un euphémisme …).
Et voilà, plus de demande de mot de passe du trousseau au prochain démarrage.

Le plus simple (et pas du tout sûr, j’en suis conscient), c’est lors de la première demande de mot de passe du trousseau, de tout laisser vide et valider en l’état.

[Firefox du mercredi] FEBE : Firefox Backup Extension

En bon psychotique de la sauvegarde, FEBE est la première extension que je mets sur toute nouvelle installation de Firefox, sous Linux comme sous Windows. Car plus que de sauvegarder de manière automatique et régulière mon profil, elle me permet de retrouver toutes mes extensions, préférences, mots de passe … en un clin d’oeil et à l’identique sur tous mes PC.

ON LA TROUVE OU ?

Comme d’habitude sur le site des extension Firefox, ICI.

CA FAIT QUOI EXACTEMENT ?

FEBE va permettre de programmer des sauvegardes de tout ce qui constitue un Firefox en pleine possession de ses moyens : extensions, moteurs de recherche, préférences, mot de passes, cookies, … jusqu’au profil complet pour ne pas se prendre la tête.

Cette sauvegarde peut être faite quand vous le décidez, ou programmée avec une certaine latitude dans le choix, comme nous le verrons plus bas.

Et à quoi sert de sauvegarder si on ne peut pas réimporter ses sauvegardes ? Ça tombe bien FEBE le fait aussi.

ET CA MARCHE COMMENT ?

Voyons les options à notre disposition.

  • Onglet Options

FEBE options

D’abord, on détermine le type de sauvegarde à effectuer. Profil complet, ça sauvegarde tout le profil, l’équivalent d’une copie du dossier profil se trouvant sur le disque dur du PC. Sélective au contraire, permet de sélectionner les éléments à sauvegarder et qui sont à choisir en dessous. Sur la copie d’écran, on voit par défaut la sauvegarde des extensions et des thèmes, mais en cliquant sur éléments additionnels, vous aurez plus de choix, en fait tout ce qui fait partie du profil (favoris, cookies, mots de passe, sessions d’identification, historique, …).

Sur le côté, on a aussi un choix d’options, avec un bouton d’information qui vous éclairera si le titre n’est pas assez explicite. Celui que je trouve le plus important, c’est le dernier : inclure une copie de FEBE dans la sauvegarde, car ça permet directement de pouvoir réinstaller tout sans rien avoir à télécharger (utile si la connexion réseau n’est pas présente).

Enfin vous pouvez choisir de sauvegarder à la fois le profil et certains éléments, ou alors alternativement l’un ou l’autre.

  • Onglet Dossier
  • FEBE dossier

    Comme son nom l’indique, vous choisirez ici, le dossier de destination des sauvegardes à venir. Attention toutefois, si vous sauvegardez vos préférences de FEBE, lors de la réinstallation, ce sera ce chemin qui sera remis en place. La sauvegarde génèrera une erreur si le dossier n’existe pas (par exemple en passant de windows à linux, hum hum, et vice versa).

    Deux autre options permettent de choisir la forme du nommage du dossier de sauvegarde (qui lui est créé automatiquement) si vous choisissez d’inclure le jour et l’heure. On peut aussi ne conserver que les X dernières sauvegardes pour gagner un peu d’espace disque.

    La dernière option, effacer le dossier de destination doit certainement servir à repartir de zéro à chaque fois en supprimant le contenu du dossier. C’est pure supputation de ma part je n’ai jamais utilisé.

  • Onglet Planification
  • FEBE planification

    Là encore, c’est assez clair, vous allez choisir le moment auquel vous désirez que la sauvegarde se fasse, si vous voulez un backup automatique.

    Sinon, le choix vous est donné entre le démarrage et la fermeture du navigateur.

    Enfin, vous pouvez vous mettre des rappels. « 0 » voulant dire, pas de rappel.

  • Onglet Déboguer
  • FEBE déboguer

    Passons rapidement, il sert à remettre à zéro les préférences (faites un backup avant !!!) et vérifier le dossier d’extension.

  • Onglet Boxnet
  • FEBE boxnet

    Ici, vous pourrez profiter de votre compte Boxnet pour uploader vos sauvegardes sur votre espace de stockage en ligne. (jamais testé)

  • Onglet Info
  • FEBE info

    Le classique onglet à propos, avec les liens utiles.

    Une fois que tout est paramétré, vous pouvez déclencher une sauvegarde manuellement, même si votre choix s’est porté vers la planification à dates fixes. Pour cela, cliquer sur Outils > FEBE > Effectuer la sauvegarde. Le navigateur sera totalement inerte pendant ce temps, qui varie selon vos spécifications et le « chargement » de votre Firefox (nombre d’extensions, historique, …).

    OUI MAIS ET LA RESTAURATION ?

    Facile !!
    Outils > FEBE > Rétablir et choisissez ce que vous voulez restaurer.
    C’est l’un des seuls reproches que je peux faire à cette extension, c’est de ne pas pouvoir choisir plusieurs type de choses à restaurer en une seule fois. Il faut se les faire les uns après les autres … sauf si vous choisissez profil complet.

    AU FINAL …

    Indispensable et c’est tout. Si vous formatez souvent, que vous testez dans des machines virtuelles ou en live CD, ou tout simplement pour de la sauvegarde pure et dure, c’est l’extension à posséder.

    Petit truc, n’hésitez pas à la désactiver si vous choisissez de faire vous même vos sauvegardes, car elle ralentit pas mal le chargement de Firefox au démarrage.

    Supprimer la demande de mot de passe du trousseau dans Ubuntu

    Peut être que vous aussi vous avez été ennuyés par le gestionnaire de trousseaux de clés qui vous lance un pop up à la figure en vous demandant de saisir votre mot de passe pour autoriser un programme à se lancer (la connexion wifi par exemple ou Gnome-Do). Je sais que c’est une précaution sécuritaire, mais moi ça me tape sur le système. Je sais ce que je fais sur mon ordi et en plus j’en suis le seul utilisateur. Donc j’ai décidé de la supprimer.

    En fait, l’astuce consiste à ne pas mettre de mot de passe au trousseau de clés.

    Pour y arriver (dans Ubuntu 8.04), on va dans Système / Préférences / Chiffrement et trousseaux.

    Trousseau

    Dans la fenêtre qui s’ouvre, cliquer sur le premier onglet, sélectionner le premier trousseau (login, ou quelque chose comme ça) puis « Changer le mot de passe de déverrouillage »

    Trousseau

    Ensuite, saisissez l’ancien mot de passe, laisser vides les deux cases pour le nouveau, validez, et confirmez sur la fenêtre suivante vous précisant que ça peut être un risque de sécurité.

    Trousseau

    Trousseau
    Après ça, finies les demandes du gestionnaire de trousseaux.