Archives de catégorie : Ubuntu Linux

TVDownloader 0.7.2 est sorti

Je suis le programme depuis quelques mois maintenant (premiers épisodes ICI et ICI) et j’ai appris sur le site de TVDownloader que la version 0.7.2 était sortie mais pas moyen de l’installer sur mon Ubuntu 10.04 alors que je suis avec le PPA qui va bien.

C’est Chaoswizard qui m’a appris qu’en fait la dernière version n’était disponible que pour la 10.10 dans le PPA. Du coup, j’ai fait un upgrade de mon Revo (qui s’est super bien passé d’ailleurs) juste pour ça. Mais il est semble-t’il prévu de la rendre disponible aussi pour la LTS dans un futur proche.

Au rayon des nouveautés visibles, il y a l’ajout de W9 Replay (pas que ce soit la chaîne la plus regardable du PAF mais au moins ça a le mérite d’exister), les chargements sont plus rapides et surtout Pluzz fonctionne !!

Donc une bonne version dans l’ensemble. J’aime de plus en plus ce soft. mais il me manque encore un truc tout con, le tri par date, nom d’émission, … en cliquant sur les colonnes. Allez, je vais faire une remontée de bug.

Fermer proprement Spotify sous linux

Si comme moi vous utilisez Spotify mais que comme moi, vous êtes près de vos sous, vous avez installé la version windows que vous faites tourner avec Wine. D’ailleurs ça marche impec, pas la peine de s’embêter avec un client Linux en version beta et qui ne fonctionne qu’avec les utilisateurs premium.

Bref, le seul truc qui le chiffonait quelque peu, c’était l’extinction de l’application. Pas moyen de l’arrêter avec la croix, ça ne faisait que minimiser l’application dans le système tray (avec une icône invisible en plus).

Donc j’en étais à la fermer à coup de console (killall spotify.exe ou killall Spotify c’était selon les fois, ce qui était tout aussi incompréhensible d’ailleurs).

Jusqu’à ce que je tombe sur un billet (que j’ai zappé d’ailleurs … honte sur moi) qui explique que pour fermer proprement l’application, il suffit de passer par le menu net de faire Fichier > Quitter. La honte totale, c’est un truc de débutant quoi. J’ai tellement l’habitude que la croix fasse la même chose que je n’utilise quasiment jamais les menus. Le point est noté, je ferai mon noob la prochaine fois !!

Uploader vos copies d’écran vers Flickr avec Shutter

Quand je fais un tuto, ce qui me prend le plus la tête c’est de faire les copies d’écran, de les uploader de les intégrer dans le billet, bref la gestion des images. Quand je suis sous Linux, je fais tous mes print screen avec Shutter qui est un programme formidable. Il a même une fonction d’export vers des sites de partage d’images. Le seul problème, c’est que désormais, toutes mes images sont sur Flickr (j’ai même pris un compte pro à cette occasion) et qu’on ne peut pas exporter les copies vers ce site … par défaut en tous les cas.

Mais sur le site de Shutter, j’ai trouvé un tutoriel pour activer cette fonction, via une extension, postr. En voici ma traduction et adaptation.

Pour permettre à Shutter d’uploader vos copies d’écran vers Flickr d’un clic de souris, il va falloir installer Postr qui est maintenu par Ross Burton.

INSTALLATION

Télécharger postr. Voici les liens vers les principaux formats de distributions GNU/Linux

Installer en ligne de commande ou simplement en double cliquant sur le paquet .deb.

UTILISATION

Une fois le paquet postr installé, prenez une copie d’écran avec Shutter.
Passez ensuite par le menu Capture d’écran > Ouvrir avec > Flickr Uploader.

Shutter Menu uploader vers Flickr

Une nouvelle fenêtre s’ouvre, permettant d’uploader votre image vers Flickr. Vous pouvez choisir le nom, les tags, l’album auquel rattacher ce fichier.
Si vous avez fait plusieurs copies d’écran, vous pouvez les faire glisser à partir de l’interface de Shutter directement dans l’uploader. Pratique. Sinon, vous avez le bouton avec le + qui vous permettra également de rajouter des fichiers se trouvant sur votre disque dur.

Flickr Uploader

Et voilà, après il ne reste qu’à appuyer sur le bouton Upload et vos copies d’écran se retrouvent directement sur votre compte Flickr.

Enregistrer un flux audio en sortie de carte son sous Linux

Dans le billet que j’ai fait pour vous montrer le fonctionnement de yatm, j’ai dû procéder à une petite illustration sonore. Le problème c’est qu’au départ, je ne savais pas comment capturer le flux audio qui sortait dans mes hauts parleurs. Une petite recherche plus loin, j’ai trouvé la solution avec le duo de programmes pavucontrol et Audacity. Voici comment procéder.

Le premier pré requis est tout d’abord d’utiliser PulseAudio, ce qui devrait être le cas si vous fonctionnez avec une des dernières versions d’Ubuntu (depuis la 9.04). Il faudra ensuite installer pavucontrol, de la manière que vous préférez, en ce qui me concerne en ligne de commande.

sudo apt-get install pavucontrol

On retrouve pavucontrol sous le nom de « Contrôle de volume » dans la catégorie Audio et Vidéo des programmes.

Pour enregistrer votre flux audio, il vous faut un enregistreur, Audacity est de loin celui qui est le plus répandu et complet à mon goût. A installer donc, si vous ne l’avez pas déjà fait. Mais ça devrait fonctionner de la même manière avec l’enregistreur de son qui est par défaut dans les logiciels d’Ubuntu (Son et Vidéo > Enregistreur de sons).

Dans les préférences d’Audacity, il faudra choisir ALSA en hôte et défaut en lecture et enregistrement.

Préférences d'Audacity

Lancer ensuite les deux logiciels, plus votre source audio (dans mon cas yatm).

Dans l’interface de pavucontrol, il y a deux onglets qui vont nous intéresser, ce sont Enregistrement et Lecture.

Dans Lecture vous retrouvez toutes les applications utilisant pulseaudio pour générer du son, dont yatm.

pavucontrol lecture

Dans enregistrement, vous verrez votre logiciel d’enregistrement, ici Audacity à partir du moment où vous avez lancé l’enregistrement.En cliquant sur le gros bouton comportant les interfaces disponibles, vous allez pouvoir choisir celle vers laquelle vous voulez router le flux audio à enregistrer. Dans mon cas, il s’agit de Monitor of Audio Interne Analog Stereo, mais le vôtre sera certainement différent. Il faut essayer et vous verrez tout de suite si ça fonctionne ou pas car le dessin du flux audio enregistré dans Audacity passera de plat à complètement affolé.

enregistrement avec Audacity

Et voilà, après il ne reste plus qu’à retravailler un peu l’audio dans Audacity si nécessaire et exporter le fichier.

Accélérer ou ralentir une piste audio avec yatm

J’aime assez le principe de pouvoir ralentir ou accélérer une piste audio (principalement des mp3 dans mon cas et surtout pour les ralentir) afin de pouvoir repiquer plus facilement un morceau, une rythmique, un plan ou un solo de guitare. Sous Windows, il y a pas mal de softs pour faire ça (notamment Amazing Slow Downer que j’ai pas mal cracké utilisé quand j’étais plus jeune et sous Win), mais sous Linux, je ne m’étais jamais penché sur la question.

Prenant mon courage à 2 mains, j’ai plongé dans la logithèque Ubuntu en y faisant une recherche et 2 logiciels sont remontés à la surface. Le premier (et le plus sympa à mon goût) est yatm. Je vais vous le présenter rapidement. A titre informatif, le second est wsola.

D’abord le point négatif. C’est en ligne de commande. Mais ce n’est pas très gênant pour un usage basique, le plus embêtant restant la sélection du fichier audio s’il n’est pas dans votre dossier utilisateur. Pour le reste, c’est assez simple.

La syntaxe donne ceci :

yatm [options] fichier

Les options que l’on peut passer dans la commande sont les suivantes :

-b commence à jouer à partir d’un moment donné, qui est déterminé par un décalage par rapport au début du fichier au format 0:00:00 (soit heures:minutes:secondes)

-e arrête la lecture du fichier après une certaine durée, donnée en secondes (sans décimale)

-t spécifie le tempo auquel on souhaite faire jouer le fichier. Le tempo de base du morceau est de 1.0. Donc le faire démarrer à 90% de la vitesse donne 0.9 et plus vite à 120% donne 1.2

-s transpose par demi-tons (utile si votre idôle joue en Mi bémol)

-c transpose par centième de ton

Je vous laisse compulser le manuel (man yatm dans une console) pour voir les quelques autres commandes qui ne sont pas reliées directement à son usage musical.

Le bon point c’est que yatm peut jouer les fichiers au format Vorbis, Speex et mp3.

Pour une utilisation très simplifiée, il suffit de rentrer la commande sans aucune option. Dans ce cas, en appuyant sur les touches + et – de votre pavé numérique, vous agissez directement sur le tempo en cours de lecture.

Voici ce que ça donne sur une de mes chansons favorites du moment, du guitariste David Grissom :

David Grissom – Lonesome Dove retraité

Le seul point faible que je trouve à ce programme est l’impossibilité de mettre en boucle une partie du fichier.

Et merci à Netgui pour la trouvaille de ce joli player.

TVDownloader 0.6 est sorti

Si vous êtes « abonné » au PPA de TVDownloader, ce programme tout à fait recommandable permettant de télécharger les émissions proposées sur les sites de catch-up TV du PAF, vous avez pu mettre à jour vers la version 0.6.

Il y a quelques améliorations au menu :

  • Distinction des téléchargements et de l’affichage des programmes pour un « canal » donné grâce à 2 onglets distincts
  • Apparition des images et / ou présentation de l’émission
  • Case à cocher pour choisir les émissions à télécharger

Le développement du logiciel avance vite, c’est bien (la dernière version en cours est la 0.7.2, mais pas encore dans le PPA).
Malgré tout, un petit tour rapide m’a permis de voir que Pluzz ne fonctionne plus (sniff), mais cette fois, j’ai fait une remontée de bug. Dans les historiques des issues, je vois que je ne suis pas le seul, la prochaine mise à jour devrait corriger ce problème.

Ça reste malgré tout une appli super pratique, merci aux développeurs.

Photo en provenance du site officiel.

Télécharger facilement les programmes de catchup TV avec TVDownloader

J’adore le programme Arte7+recorder, mais j’ai trouvé (via le Planet-Libre sur le blog de Devil505) un soft plus complet qui permet de télécharger la plupart des émissions proposées en catch-up TV sur France Télévision (Pluzz), Arte, M6Replay, Canal+ et RTL, Radio France et Europe1 pour des podcasts audio. Il s’appelle TVDownloader.

Il y a de tout, c’est vraiment sympa, lors de mes essais en revanche, M6Replay ne fonctionnait pas, ça moulinait dans le vide. Les podcasts ne fonctionnent que pour Radio France. Pour Europe1 et RTL, rien ne se passe quand on les sélectionne.

TVDownloader Preferences_003

L’installation se fait via un paquet deb que l’on récupère sur le site du programme. Pour les autres distributions, il faudra partir des sources ou pour Frugalware suivre les instructions de Devil505.

Depuis la version 0.5, il existe aussi un PPA, mais je n’ai pas eu le temps de tester cette version.


TVDownloader_002

TVDownloader_004

TVDownloader_005

L’utilisation du programme est très simple. On a un menu déroulant sur la gauche qui permet de choisir le site de catchup TV, un autre au milieu pour déterminer la chaine (dans le cas de Pluzz) ou le « canal approprié » et enfin un dernier sur la droite pour le type d’émission ou le nom de l’émission.
Juste en dessous, se trouve la zone d’affichage des émissions qui correspondent aux choix que l’on a effectués via les menus déroulant. On peut alors cocher celle(s) que l’on veut récupérer et on appuie sur le bouton ajouter.
L’émission est alors mise dans une file d’attente, et un clic sur le bouton « Lancer le téléchargement » suffit pour commencer le download.

Au niveau de l’interface, il y a du bien et du moins bien. Il y a trop de menus déroulants à mon goût on s’y perd un peu et ce n’est pas toujours utilisé en fonction des « chaines ». Je suppose que ça dépend justement de l’organisation de chaque site. Les icônes de la file d’attente ne sont pas toutes très explicites et il n’y a pas d’infobulle au passage de la souris. Mais ce n’est pas non plus la mer à boire. On se fait prendre une ou deux fois et après on prend le pli.

Ce qui m’a plus gêné dans la présentation, c’est l’absence des résumés des émissions (qu’il y a sur Arte7+recorder) et des images. C’est vraiment spartiate et parfois ça aide d’avoir un visuel pour faire son choix rapidement.

De plus, lors de mes tests, j’ai quand même rencontré pas mal de bugs :

  • quand on sélectionne plusieurs fois une chaine, le menu déroulant du milieu fait apparaitre plusieurs fois les entrées dans ce menu.
  • TVDownloader_006

  • les émissions choisies et qui sont dans la file d’attente ne se téléchargent pas automatiquement si elle sont de différentes chaines. Ce point est assez désagréable si on planifie ses téléchargement la nuit et qu’au petit matin on s’aperçoit que seuls quelques uns sont terminés.
  • Comme je l’ai dit plus haut pour certaines chaines, rien ne se passe quand on les sélectionne.
  • le chargement des émissions après la sélection du menu déroulant ad hoc est trèèèèèssss longue. C’est peut être du à ma connexion, mais là encore c’est un peu saoulant, surtout quand on doit en faire 5 ou 6 d’affilée.

Bref, vous l’aurez compris, j’aime le principe de ce programme, mais il pêche pour l’instant au niveau de la réalisation. Il est toutefois encore jeune et j’espère que la version 0.5 corrigera certaines de ces erreurs. Je vais prendre le temps de tester tout ça.

C’est très flatteur

J’ai été contacté il y a plusieurs semaines par Linux Identity afin d’écrire un article pour le numéro qui est paru en kiosque au mois d’aout à propos d’Ubuntu 10.10. Je ne connaissais ce magazine que de nom. Après l’avoir feuilleté, je peux vous dire que l’exemplaire que j’ai reçu est bien fini, c’est clair et les articles sont intéressants.

Par conter, ça fait vraiment bizarre de voir son nom sur un vrai mag papier. Et ça fait bien plaisir aussi, c’est vrai. 🙂

Au fait, l’article que j’ai écrit parle de la customisation de GRUB2 ou GRUB-PC, pour avoir un menu de démarrage bien sympathique et à sa convenance. J’aurai le droit de reproduire le contenu sur le blog une fois que le magazine sera paru, donc, vous n’y couperez pas, vous pourrez le lire dans quelques semaines. Et je pense que je vais renouveler l’expérience, c’est finalement très sympa et c’est une autre facette du « métier » de l’écriture par rapport à ce que je produit sur ce blog.

Une belle déclaration d’amour à Linux

Cette belle déclaration n’est pas de mon fait (même si j’adore Ubuntu que j’utilise avec bonheur quotidiennement), mais de celui de Sheldon Cooper, principal protagoniste de ma série favorite du moment, The Big Bang Theory.

C’est à mon sens la série geek ultime et les personnages sont de doux dingues scientifiques brillants, mais socialement déficients. Bref, la rigolade est assurée, surtout quand la voisine d’en face s’avère être une blonde délurée. Choc des cultures garanti.

Mais l’objet de ce billet est plus de présenter la percée que Linux peut faire dans une émissions très grand public. La vidéo ci-dessous, dans la quelle Sheldon avoue son amour à Ubuntu n’est pas isolée. On y parle souvent d’OS (quel qu’il soit), de reboot, de formatage, de backup et de Linux. Et les ordinateurs sont omniprésents.

Bref, vous aurez compris que j’adore cette série, que j’ai commencé à regarder un peu par hasard (merci chef ;-)). C’est un passage obligé pour tout geek qui se respecte. Ne serait-ce que pour se dire que l’on a encore de la marge avant d’être comme eux !!
Et bien entendu, je vous recommande chaudement la VO, qui est bien plus drôle que la VF (comme souvent). Par contre, il faut s’accrocher, ça part dans tous les sens. Débutants en anglais s’abstenir.

La Framakey Ubuntu passe à Ubuntu 10.04

Je me suis rendu compte en allant chercher la dernière version de la Framakey standard pour remplir ma nouvelle clé USB 16 Go, que la Framakey Ubuntu Remix avait passé le turbo et était désormais disponible avec une nouvelle version, différente de celle que j’avais achetée sur la boutique.

Au menu des nouveautés cosmétiques communes, le Framakiosk sous Windows a été revu (en mieux, c’est vrai que je n’avais pas trop accroché avec son look dans l’ancienne version). C’est beaucoup mieux désormais avec un faux air de Netbook Ubuntu Remix. Il y a des animations au passage de la souris sur les icônes et lors du lancement des programmes.

Le temps de lancement du Framakiosk a également été amélioré. C’est beaucoup plus rapide.

Framakiosk

Les logiciels sont bien à jour, et même si je serai loin de me servir de tout, le choix de base est déjà suffisant.

Par contre, l’installation de nouveaux programmes par le service d’ajout d’application m’a encore fait des siennes. Il a bien téléchargé les archives que j’avais choisi mais il a planté lors de la phase d’installation. J’ai dû vérifier manuellement si tout avait bien été rapatrié. Cette fonction est une très bonne idée, très utile, mais je n’ai pas de chance avec, j’ai toujours des problèmes.

Par contre, j’ai trouvé que l’ajout des icônes des  logiciels dans le Framakiosk (via l’application de personnalisation FramakioskTune) se faisait plus facilement et sans planter (j’avais complètement saboté ma Framakey quand j’ai voulu la customiser un peu, à tel point qu’elle dort sur une étagère désormais …).

FramakioskTune

Enfin, il y a un contrôle basique d’anti-virus lors de l’éjection de la clé, ce qui est une très bonne chose, car les clés USB sont un important vecteur de transmission de ces saloperies.

Mais surtout, on est passé de Ubuntu 9.10 à 10.04, ce qui est également beaucoup mieux, car cette dernière version d’Ubuntu est vraiment très réussie à mon goût. Je n’ai malheureusement pas eu le loisir de la tester, car pas moyen de rendre mes clés usb bootables.

Encore du nouveau matériel : imprimante All In One Lexmark S505

En ce moment on ne peut pas dire que je joue à l’écureuil. Un nouveau PC, une nouvelle carte son (et un nouveau casque pour aller avec), et maintenant une nouvelle imprimante.

Par contre, mes origines auvergnates me rendent allergiques au fait de payer plein pot, donc je vais en général vers les prix les plus bas ou les déstockages. Pour cette imprimante, j’ai profité d’une vente Lexmark sur venteprivée.com. En effet, il était temps de mettre au rancart mon ancienne HP Deskjet 245C (qui fonctionne toujours parfaitement d’ailleurs, si quelqu’un est intéressé …). Je voulais plus de vitesse d’impression et surtout un scanner reconnu sous Linux (foutu Lide20 Canon !!). C’est chose faite avec la Lexmark S505.

D’ailleurs, je peux vous parrainer sur vente privée si ça vous intéresse, n’hésitez pas. Il y a vraiment beaucoup de ventes pour tous les gouts, j’achète assez souvent chez eux.

Les caractéristiques techniques de la chose sont sur cette page.

Lors de mes recherches, je ne l’ai pas trouvé sur l’Open Printing database, ce qui n’était pas forcément de bonne augure pour son installation sous Linux. Mais rapidement, je me suis rendu compte que Lexmark fournit un script d’installation pour Linux, avec une assez grande variété de distributions supportées (Debian based donc Ubuntu, Red Hat Fedora, Open Suse).

Donc l’installation a été largement facilité. Il suffit de le rendre exécutable et de le lancer (pour plus de renseignements, allez voir ici) et après on suit les consignes.

Au final, ça marche bien, même mieux que sous Windows (le scanner est plus rapide pour une raison que je ne m’explique pas). Le seul point noir c’est que je n’ai pas d’OCR efficace. Là Windows est laaaaargement devant. D’ailleurs, il est très efficace l’outil fourni par Lexmark.
Au final, je vous recommande cette imprimante, elle imprime bien et vite, son scanner est parfaitement reconnu et très efficace, la fonction de photocopie est pratique et en plus elle est assez économique à l’usage.

Demie victoire judiciaire pour le logiciel libre au Québec

Pour une fois que la justice donne raison au logiciel libre, il faut en parler.Voici des extraits de cette nouvelle vue sur le monde.fr
Une cour de justice du Québec « a estimé que les autorités de cette province canadienne avaient « agi illégalement » en choisissant sans appel d’offres d’acheter des logiciels Microsoft, alors que l’administration aurait aussi pu choisir des logiciels libres comme GNU/Linux. »

Le remplacement des postes de travail et du système informatique de la Régie des rentes du Québec (l’organisme public de retraites) avait été fait sans aucun appel d’offre car « seul Microsoft était capable de répondre à ses besoins ». Celà représentait quand même la coquette somme de 722 000 dollars canadiens (570 000 euros, au cours actuel).

La société Savoir-Faire Linux, qui avait proposé ses services et s’était vue rembarrée, a donc entamé une action en justice. « La Cour a cependant rejeté la demande d’annulation de l’attribution du contrat à Compugen, une société commercialisant les produits de Microsoft. La RRQ et les sociétés représentant Microsoft dans cette affaire ont été condamnées à payer les frais de justice. »

C’est agréable de voir que l’utilisation des logiciels libres remonte et gagne en crédibilité dans les plus hautes sphère de l’État (fut-il canadien). Désormais, il s’agit d’une alternative plus que crédible face au logiciel propriétaire, Microsoft pour ne pas le citer. Et il est vrai que passer un tel contrat sans appel d’offre préalable, c’est prendre le risque de payer beaucoup trop cher, sans compter les risques de malversations (copinage, copinage …).

Via LeMonde.fr.

Une carte son pour la MAO qui fonctionne sous Linux ?

J’en avais marre de devoir booter mon gros ordi pour gratouiller et m’enregistrer vite fait avec ma guitare sur un playback ou en faisant une petite rythmique. Le matos Line6 est super, mais c’est limité à une utilisation MAO sous Windows. Sous Linux, point de salut pour l’enregistrement. Ça ne fonctionne pas, même avec les drivers libres.

A ce propos, il y a un petit sondage sur ce site pour savoir quelle utilisation vous souhaiteriez voir implémentée dans le driver libre à l’avenir (et peut être faire pression sur Line6, mais ça je n’y crois guère, ils sont inflexibles sur ce point). Alors répondez, ça ne prends que quelques secondes.

Donc, tout ça pour dire qu’il me fallait une interface audio différente de mon UX1 pour faire de la MAO sous Linux.

Les conditions était au nombre de 3 : adaptée à la guitare, utilisable sous Linux et pas chère (moins de 50 euros). Je ne me suis pas facilité les choses avec le critère du prix, c’est vrai.

Après quelques recherches, notamment sur le site de référence de la MAO sous Linux LinuxMAO.org, je me suis décidé pour l’interface guitarface II de miditech.

Elle correspond parfaitement à mes critères :

  • elle est spécialement conçue avec les guitaristes en tête (entrées jack 6.35 mm)
  • elle est USB class compliant, et donc ça doit marcher sans souci
  • elle n’est pas chère du tout !! 44 euros chez Thomann.

En plus, le package (car oui pour le prix il y a d’autres choses dans le carton) comprend Samplitude SE et Amplitube SE, pour Windows évidemment.

Les spécifications de la bête :

« Class Compliant » USB Audio Interface, (Windows no drivers necessary)
16 Bit/ 48 kHz resolution LINE stereo interface
2 HI-Z instrument preamps
2 MIC preamps with 48V phantom power, Signal and peak indicator LEDs
Adjustable stereo LINE output
Full duplex with compatible recording software
USB powered
Incl. Magix Samplitude SE and IK Multimedia Amplitube 2 Duo,
ASIO Driver available as Download

Point positif au déballage, elle est minuscule, ça tombe bien je n’ai pas des masses de place. Elle est bien finie, elle ne fait pas plastoc cheap, il y a du poids dans la main.

Point négatif : les (tous petits) potentiomètres pour régler les niveaux d’entrée et de sortie sont sur la face arrière. Pas pratique ni ergonomique. Mais comme elle est petite, ça se fait quand même facilement.

Pour l’instant très content. Par contre, la MAO sous Linux, c’est pas de la tarte …

A suivre.

Changer le mot de passe du trousseau de clé avec Ubuntu Slim

J’avais fait un billet il y a quelques mois, sur la façon de faire taire cette demande de mot de passe qui revenais tous les démarrages du système. Ce tutoriel reste valable pour Lucid Lynx 10.04, mais comme j’ai fait une installation de la version slim, expurgée de pas mal de logiciels, je n’avais plus accès à une interface graphique pour gérer ça.

Donc après une petite recherche, je suis resté un peu la patte en l’air, je n’ai pas trouvé le logiciel qui lance le gestionnaire du trousseau de clés. Alors je me suis dit que le plus simple c’est de regarder sur mes autres installations d’Ubuntu. Je suis donc allé regarder le nom du logiciel dans le menu général « Mots de passe et clés de chiffrement », dans la catégorie Accessoires.

Donc on fait un clic droit sur le menu, Éditer les menus et on va dans les propriétés de l’entrée qui nous intéresse, dans notre cas, Mots de passe et clés de chiffrement dans le menu Accessoires.

Là on voit que c’est la commande seahorse qui déclenche le lancement de l’interface. C’est donc ce paquet qu’il faut installer. Pour ça un petit coup de apt-get ou on passe par Synaptic. Et le tour est joué.

Installation d’Ubuntu Lucid Lynx version slim sur mon Eeepc 701

Comme l’a souligné Hug dans les commentaires du billet sur l’installation de Lucid sur mon nouveau Revo, EB4 se fait vraiment trop attendre et mon eeepc piaffe d’impatience de gouter à de la nouveauté. Comme la dernière version d’Ubuntu vient de sortir en version finale et que j’ai découvert hier une variante expurgée de tous les logiciels, je me suis dit que ce serait parfait pour mon petit eeepc 701 qui a un petit disque dur et qui ne me sert qu’à surfer, réviser mon espagnol, écouter de la musique et regarder des vidéos. Rien de très lourd en somme.

Donc comme je le disais, j’ai découvert hier via DLFP, une version d’Ubuntu 10.04 nommé Ubuntu Slim ou µbuntu, rapport au fait qu’elle ne contient que les logiciels les plus indispensables à faire tourner le système. D’ailleurs, le menu des programmes est vide quand on le teste en live cd, chose que j’ai faite hier soir. Et tout fonctionnait parfaitement sur l’eeepc : wifi, luminosité, son, volume. Bref, une incitation à aller plus loin.

Ni une ni deux, ce matin, j’ai inséré ma clé usb (faite avec Unetbootin comme d’habitude) une nouvelle fois, mais pour l’installer en dur. Et finalement, j’ai gardé un swap de 200 Mo qui était préexistant, j’ai eu la flemme de passer par le partitionnement manuel et de tout virer, comme sur le Revo. Du coup, je peux mettre mon ordi en hibernation (pas testé encore).

Là où ça devient bon, c’est que l’installation en elle même n’a duré en tout et pour tout que 10 minutes, alors que d’habitude c’est beaucoup plus long que ça sur cette micro machine.

Au redémarrage, tout se passe bien. J’active le wifi avec la touche de fonction idoine, je me connecte à mon réseau sécurisé WPA et c’est parti.
Je mets à jour les fichiers de langue (il me l’a demandé lui même) pour tout retrouver en français. Parfait
Je lance synaptic et j’installe mes paquets favoris : Firefox, Pidgin, Flash, Exaile, VLC, Wine, Gnome-do, Guake.
Je remets les boutons de fermeture, minimiser et maximiser à droite d’un coup de ligne de commande :

gconftool-2 --set /apps/metacity/general/button_layout --type string :minimize,maximize,close

Une fois que c’est fait, je télécharge Anki sur le site du projet au format deb et je l’installe, j’ajoute le PPA de Chromium et je suis bon. En tout, ça m’a pris moins d’une heure.
J’effectue quelques dernières petites modifications, je vire quelques services au démarrage qui ne me servent pas (aide visuelle, login sound, vérification des drivers et des MAJ) et j’en rajoute d’autres (Guake et Gnome-do). Je paramètre aussi un login automatique lors du lancement de la session.

Au final, sur ma partition / de 3.6 Go, il me reste un peu plus de 1 Go de libre. Très bon score.
Le démarrage est assez rapide,   une minute environ, soit au moins 30 secondes de mieux qu’avant, le système est réactif, tout fonctionne. C’est vraiment tout ce que je demande à un OS sur ce PC. Tant pis pour EB4, je le testerai en live USB.

Installation d’Ubuntu 10.04 Lucid Lynx beta 2 sur mon Acer Revo 3600

Juste un petit billet vite fait sur l’installation de la dernière version beta de Lucid Lynx sur mon Acer Revo 3600, récemment acquis.

Tout d’abord, j’ai eu vraiment vraiment beaucoup de mal à me créer une clé usb bootable. Je ne sais pas si c’est les iso des alpha et beta qui ne sont pas live compliant ou mes téléchargements qui étaient vérolés, mais j’ai bien du télécharger 5 ou 6 iso avec autant de tentatives avec unetbootin avant d’y arriver.

Bref, la dernière était la bonne et j’ai pu voir en live que tout tournait super bien sur le hardware du Revo. Donc, ni une ni deux, je décide d’installer cette version. Je n’ai pas eu de plantage lors de l’utilisation live, donc, je ne prends pas trop de risque sur cette station qui me sert surtout à faire du surf, de la bureautique et écouter de la musique.

J’ai quand même auparavant bien défragmenté le disque dur qui contient Vista. Pour rien finalement, car j’ai utilisé l’emplacement de la partition Data, reformatée en ext4. J’ai choisi « pour le fun » de ne pas mettre de partition de swap, j’ai 2 gigas de mémoire et je n’utilise pas l’hibernation, donc pas vraiment besoin de swap. Pour l’instant, je n’ai pas eu de crash et pas vraiment de ralentissement qui soit imputable à ce paramétrage.

L’installation en elle-même a duré une vingtaine de minute. C’est plus rapide qu’avec mon vieux portable (encore heureux). Lors de l’installation (qui est de plus en mieux ficelée et jolie), on a droit à des messages à caractère informatif sur Ubuntu et les logiciels libres, ça passe le temps et ça fait plus pro. Vraiment un bon point pour cette install.

Quand c’est terminé, on reboot et là, première bonne surprise, 32 secondes montre en main sans rien toucher pour démarrer à partir de grub (celui-là par contre, je ne l’aime pas !!! Trop ch**** à modifier, je pense que j’y reviendrai dans un prochain billet). Ca c’est top !!!! Et dire que je pensais essayer d’installer un petit linux pour accèder vite à Internet ou mes fichiers audio. Ben c’est pas la peine.

Au niveau de l’interface, on n’est pas trop perdu, les menus ne changent pas, quelques applications en plus ou en moins, mais rien qui ne soit pas réparable avec un coup de synaptic. Le software center est pas mal, mais je le trouve trop lourd à l’usage (je n’utilisais pas vraiment le menu ajouter / supprimer des programmes des précédentes versions d’ailleurs). Synaptic est vraiment plus puissant.

Ce qui change le plus au premier coup d’oeil, c’est vraiment le look général. Le fond d’écran aux couleur plutôt Mac, les icônes (que j’aime bien d’ailleurs). Il y a aussi cette intégration des réseaux sociaux (mais, je dois être con, je ne vois pas ce que ça apporte, j’ai rentré mes identifiants twitter (@agatzeblux, si ça vous intéresse), mais il ne se passe rien. J’ai râté un truc ? Il y a bien Gwibber dans les appli, mais il faut le lancer …

Bref pour en revenir au Revo, tout fonctionne out of the box :
LAN : ok
Wifi : ok
Son : ok (et il est bien meilleur que sur mon portable)
usb : ok
carte video ION Nvidia : ok avec le pilote proposé par les gestionnaire de pilotes proprio. Je n’ai pas encore essayé de télécharger et d’installer la dernière version en direct de chez Nvidia, mais je pense le faire prochainement.
lecteur de carte : ok

L’installation de quelques PPA n’a pas posé de problème non plus (shutter, arte+7recorder, ubuntu tweak, phatch).

Au final, tout est stable et je n’ai pas eu de plantage jusque là. C’est une très bonne version d’Ubuntu. Cette distribution s’améliore à chaque fois. Je pense d’ailleurs que je vais passer mon eeepc 701 dessus dans les prochains jours (si le ssd de 4 Gigas tient l’install … c’est peut être pas gagné) et mon poste de travail principal.

Parcelitte ne sera plus maintenu

Le développeur du projet a annoncé sur son site début avril que le développement de Parcelitte, ce super petit programme de gestion de presse papier sous GNU/Linux était arrêté, car il en a marre tout simplement.

La version 0.9.2 (qui est celle figurant dans les dépôts de Lucid Lynx) sera donc la dernière disponible pour l’installation. A moins qu’une ou plusieurs bonne âmes ne reprennent le code ou le forke.

Parcelitte n’est pas parfait, mais il a le mérite d’exister, car l’offre sous Linux est vraiment beaucoup, beaucoup plus faible que celle sous Windows dans ce segment de logiciels.

Malgré tout, c’est un des programmes que j’installe toujours en premier et qui démarre en même temps que ma session, preuve qu’il m’est indispensable.

RIP Parcelitte

Test de la Framakey Ubuntu-FR Remix de Framasoft – La partie Linux

Voici donc la deuxième partie du test de ma Framakey Ubuntu Remix, celle de la distribution Ubuntu-FR Remix en live USB. La première est ICI.

La première bonne surprise, c’est que la version d’Ubuntu qui est fournie avec la clé est la dernière en date (même si ce n’est plus pour longtemps), Ubuntu 9.10. Je pensais me retrouver avec la 9.04, c’est vraiment agréable.

Au démarrage de l’ordinateur hôte, il faudra connaitre le moyen de booter sur les ports USB car la clé ne prend pas la main de manière « automatique ». Il faudra taper frénétiquement sur les touches habituelles (ESC, F1, F2, F8, …) pour déclencher l’invite de démarrage de la clé.

Sur mon Eeepc 701, tout est reconnu par défaut, wifi, volume, luminosité, mise en veille, … tout ça sans rien faire. C’est très sympa, d’autant plus que ce n’est pas le cas sur mon eeebuntu habituel.

L’ordinateur est très réactif, ça fonctionne très bien pour du live USB. Une des meilleures versions que j’ai pu tester.

Les mises à jour (nombreuses) lors du premier démarrage se sont faites facilement. Il peut être utile de faire la MAJ puisque la clé dispose d’un espace disque persistant. Donc toutes les modifications qui sont faites sont gardées en mémoire pour le prochain redémarrage. Comme ça la version live a toujours les dernières versions de logiciels d’installées et on n’a pas peur de se retrouver avec des failles de sécurité dans tous les sens si on utilise longtemps cette clé. (cf. plus bas pour un gros bémol).

En fait, tout fonctionne de manière tout à fait habituelle par rapport à une installation classique sur disque dur. Je n’ai noté que quelques ralentissements de Firefox parfois, mais rien qui aille jusqu’à planter complètement le système.

L’installation de logiciel se fait facilement que ce soit en ligne de commande comme en passant par Synaptic. Ave des paquets deb, ça le fait aussi. J’ai même ajouté des PPA dans mon sources.list. comme une installation en dur quoi.

Le seul problème est que la clé est à mon goût vraiment trop juste au niveau taille pour qu’on puisse sereinement utiliser toutes ses fonctions windows et linux de manière optimale. En effet, en supprimant pas mal de programmes qui me sont inutiles dans mon utilisation de la Framakey, il ne me reste que 800 Mo en tout sur la clé. Ça encore, ça pourrait aller (encore que si on y met un divx, ça devient tendu). Mais le plus gênant, c’est la taille du disque persistant de la session Ubuntu qui n’a plus que dans les 300 Mo de libre. Je suis au final dans l’impossibilité de faire les mises à jour car il y en a pour plus de 350 Mo.

Alors en trainant sur la page de la Framakey dans l’onglet questions fréquentes, je me suis aperçu qu’ils déconseillent tout simplement de faire les MAJ et de désinstaller les programmes.

« La mise à jour complète du système Ubuntu n’est PAS recommandée sur les F.U.R. »

« … nous déconseillons de désinstaller des logiciels pour gagner de l’espace, car cela “masquera” le logiciel dans le menu, mais le logiciel sera toujours présent dans /casper/filesystem.squashfs. Désinstaller un logiciel peut même, paradoxalement, vous faire perdre de la place ! » (et effectivement je m’en suis rendu compte !!)

Si on veut vraiment, il y a toujours possibilité d’augmenter la taille du disque persistant (un fichier casper-rw). Là encore, le site de la Framakey contient la réponse, toujours dans l’onglet questions fréquentes. Je fais un méchant copier coller, ça me servira de pense bête. La manip est d’ailleurs faisable sous windows ou sous linux.

Comment redimensionner le disque permanent Ubuntu (casper-rw) ?

0. si nécessaire, faire un backup des des données de la clé (fichiers et dossiers personnels, que ce soit sous Ubuntu ou Windows)

1. si nécessaire, faire de la place sur la clé.
Il est possible de supprimer :

  • le dossier /Apps *à condition de laisser /Apps/PortableFirefox et /Apps/PortableThunderbird* (les profils sont partagés)
  • le dossier /Framakey (le gain de place est négligeable)
  • le contenu des sous dossiers /Data (le gain de place est négligeable)
  • le dossier /MacOSX

2. vérifier l’espace libre sur la clé (FAT32)

3. supprimer le fichier /casper-rw à la racine de la clé

4. recréer un casper-rw :
4.1 sous linux

  • installer si absent les utilitaires “dd” et “mkfs”
  • exécuter les commandes :

Code:
$ dd if=/dev/zero of=/chemin/vers/la/racine/delaclé/casper-rw bs=1M count=2000
$ mkfs.ext2 -F /chemin/vers/la/racine/delaclé/casper-rw

  • vérifier qu’on a bien un fichier casper-rw de 2000Mo à la racine de la clé (évidemment, 2000 peut être remplacé par la taille de votre choix)

4.2 sous Windows

  • aller dans le dossier caché de la clé /syslinux/win32/dd
  • éditer (avec notepad ou autre) le fichier casper-rw-make.bat
  • remplacer “count=800? par “count=2000? (ou autre valeur) et sauvegarder
  • double-cliquer sur casper-rw-make.bat
  • vérifier qu’on a bien un fichier casper-rw de 2000Mo à la racine de la clé

5. c’est fini, on peut rebooter sur la clé, et éventuellement remettre en place les fichiers sauvegardés à l’étape 0.

Pour conclure, je dirais que cette partie Ubuntu est vachement bien, aussi bien en fait qu’une installation en dur. C’est réactif, pratique, customisable. Le seul point noir, c’est cette histoire de ne pas faire les MAJ qui me chiffonne un peu.

En tous les cas, j’espère qu’une MAJ sera faite de la Framakey Ubuntu remix quand Lucid sortira. Ce serait vraiment top.

Amis guitaristes linuxiens réjouissez-vous : Guitar Pro 6 sera disponible sous Linux

Le logiciel Guitar Pro 6 d’Arobas Music, qui permet de jouer des tablatures sur son PC et son Mac va sortir le 5 avril prochain. Il semble que l’éditeur ai cette fois pensé au petit poucet de l’informatique, et prépare une version native pour Linux de cet excellent programme (le meilleur de son genre honnêtement).

Il était déjà possible d’installer la version précédente en bidouillant avec Wine ou en passant par PlayOnLinux.

Des captures d’écran prises sur Ubuntu Linux circulent déjà.

Vincent Bénony, le développeur en charge du programme explique : « Guitar Pro 6 va sortir nativement sous Linux (seule la Ubuntu est officiellement supportée pour l’instant), ainsi que sous MacOS X et Windows d’ici le 5 avril 2010. Pour l’instant, les informations sont proposées sur notre page Facebook. »

C’est quand même super qu’une société arrive à sortir ce genre de programme simultanément sur toutes les plateformes. Comme quoi, c’est possible. Merci Monsieur Arobas Music.

Si vous cherchez des testeurs sous Linux (ou même sous windows) et que vous voulez m’en faire parvenir une copie, ce sera avec un énorme plaisir !!! N’hésitez surtout pas.

Via Toolinux