Archives mensuelles : avril 2013

Backing Tracks gratuits sur le site GuitarVoice.com

J’ai récemment découvert un nouveau site proposant au téléchargement des backing tracks gratuits. A mon sens, il n’y a rien de mieux (sauf jouer en groupe) pour progresser en se faisant plaisir.

Il y en a un certain nombre de sites sur le net mais GuitarVoice.com a l’avantage d’avoir une belle interface et un choix assez large (plus de 400 à ce jour).

GuitarVoice interface

Le moteur de recherche est efficace (avec des options de sélection des instruments ce qui n’est pas commun), il y en a pour tous les goûts (18 genres allant du classique au métal en passant par le blues et le jazz, …), on peut streamer les BT avant de les télécharger. On voit aussi immédiatement quels sont les instruments présents sur le BT grâce à un système d’icônes.

GuitarVoice streaming

Il y a aussi un système de vote qui permet de choisir en fonction de la note donnée par les membres et de se faire une idée de la qualité (même si une écoute ne pourra jamais être remplacée par l’avis d’une autre personne).

Enfin, pour les aventureux, il y a un bouton Random qui vous lance un BT au hasard.

Les paupiettes « Adrienne »

Dans la série, les recettes de ma belle mère, voici les paupiettes adrienne, du nom de la dame qui faisait ces recettes dans un journal dont je ne connais pas le nom. C’est donc d’une antiquité dont on parle. Mais cette recette est un délice. En revanche, tout se paie, elle est fort longue à réaliser. Les paupiettes, ça se mérite.

paupiette adrienne 02

Ingrédients :
Pour les paupiettes :

  •  6 escalopes de veau de 110 g
  • 75 g de beurre
  • 1 c à s d’huile
  • 300 g de champignons de Paris
  • 3 c à s de crème fraîche
  • 1 citron
  • 2 feuilles de sauge
  • poivre

Pour la farce :

  • 100 g de jambon cru
  • 1/2 baguette de pain rassis
  • 25 cl de lait
  • le vert de 500 g de blette
  • 1 botte de persil
  • 50 g de parmesan râpé
  • 1 oeuf
  • 1 pincée de noix de muscade
  • sel et poivre

Pour la jardinière :

  • 500 g de petits pois
  • 1 laitue
  • 8 carottes
  • 6 oignons blancs nouveaux
  • 1 bouquet garni
  • 3 branches de persil
  • 50 g de beurre
  • sel et poivre
  1. Faire blanchir les verts de blettes 3 minutes dans l’eau bouillante salée. Les égoutter, les sécher et les hacher finement.
  2. Faire tremper le pain dans le lait. L’égoutter ensuite pour retirer le plus gros du liquide.
  3. Hacher finement le jambon cru, ainsi que le persil.
  4. Dans un saladier, mélanger le parmesan, les blettes, le pain, le jambon et le persil. Lier avec l’oeuf et assaisonner de sel, poivre et noix de muscade.
  5. Mettre en route la jardinière : éplucher les oignons et les carottes. Émincer les carottes en rondelles de 3 mm.
  6. Effeuiller la laitue et en prélever le cœur.
  7. Dans une cocotte, faire fondre le beurre. Faire revenir les oignons pour les dorer un peu. Ajouter ensuite les petits pois, les carottes, le cœur de laitue et le bouquet garni ainsi que le persil.
  8. Assaisonner et laisser cuire 45 minutes.
  9. Préparation des paupiettes : aplatir les escalopes de veau pour qu’elles soient bien larges et uniformément fines.
  10. Déposer sur chaque escalope un sixième de la farce. Rouler l’escalope et la ficeler comme un petit rôti pour que la farce soit bien emprisonnée.
  11. Dans une poêle, faire fondre 50 g de beurre avec la cuillère à soupe d’huile. Quand la matière grasse est bien chaude, faire dorer les paupiettes sur toutes les faces.
  12. Ajouter les feuilles de sauge, couvrir et laisser mijoter 45 minutes à feu doux.
  13. Éplucher les champignons et les émincer finement. Les faire revenir dans 25 g de beurre. Saler et poivrer.
  14. Quand ils sont cuits, ajouter la crème fraîche et le jus d’un demi citron.
  15. Avant de servir, ajouter les champignons et leur sauce aux paupiettes. Laisser mijoter quelques minutes.
  16. Servir avec la jardinière.

paupiette adrienne 01

Gadgets culinaires pour food geeks

Je suis tombé sur un blog que j’aime beaucoup (en espagnol, El Comidista) sur quelques gadgets culinaires qui valent leur pesant de cacahuètes.

Tout d’abord pour les amoureux de charcuterie, la note repositionnable en forme de salami, chaque note en étant une tranche. Excellent. Garanti, sans trace grasse sur les doigts.

salami postit

Puis, la tasse Lego. Pour les grands enfants et les geeks. On peut construire ce que l’on veut en Lego (ou toute brique compatible) sur la tasse et la transformer en un objet d’art dans lequel on peut boire son breuvage favori.
Je vous laisse admirer les créations possibles.

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Enfin, top du top, le Rollie, l’ustensile permettant de fabriquer en quelques secondes un cylindre d’oeuf. Si vous voulez manger votre oeuf en partant au courant au bureau, c’est une option à envisager.

Via El Comidista

Les lecteurs audio dans Ubuntu

Voici un article que j’ai commis pour le magazine Linux Pratique (il y a quasiment un an). Il s’agit d’un modeste état des lieux de 3 des lecteurs audio les plus communs sous Ubuntu (et Linux par extension) avec leurs points forts et leurs points faibles : Rhythmbox, Quodlibet, Exaile.

Ayant découvert Quodlibet à cette occasion, c’est devenu mon lecteur par défaut sur toutes mes installations. Ça me sert finalement de faire ce genre de test.

Bonne lecture.

Les lecteurs audio dans Ubuntu

Une des tâches principale demandée à un ordinateur de nos jour est certainement la lecture de tous nos fichiers audio. Depuis quelques années, l’avènement du mp3 a fait de ce format celui qui est certainement le plus lu et le plus pratique d’un point de vue compacité et transport (même s’il existe d’autres formats plus libres et plus respectueux de la qualité musicale, comme l’Ogg Vorbis par exemple). L’élargissement de nos disques durs, l’apparition des baladeurs numérique et plus récemment des smartphones, a encore amplifié ce phénomène. Pour toutes ces raisons, nos PC sont devenus l’endroit privilégié où stocker nos bibliothèques musicales. Il est donc aujourd’hui indispensable de disposer d’un bon lecteur audio dans sa distribution GNU Linux favorite, même si désormais la simple lecture des fichiers ne suffit plus. Des fonctions annexes se doivent d’être présentes, que ce soit à l’installation ou par l’adjonction d’extensions.
Nous allons passer en revue les fonctionnalités, les points forts et les points faibles de 3 lecteurs audio installables par les dépôts dans Ubuntu 12.04 (sans ajout de PPA) : Rhythmbox, Quodlibet, Exaile.

Rhythmbox

Rhythmbox est celui des trois testés ici qui vous donnera le moins de peine pour être installé puisque c’est le lecteur par défaut d’Ubuntu 12.04. Il est d’ailleurs très bien intégré à l’environnement de cette version. Les info bulles s’affichent à chaque changement de piste, l’application se retrouve dans le menu de l’icône de son (avec l’affichage des contrôles de lecture, piste précédente, suivante, les informations de la piste jouée et l’accès aux listes de lecture créées) et ce sans aucun paramétrage.
Pas besoin de lire un quelconque manuel avec Rhythmbox car tout est intuitif et bien pensé. On a tout sous la main, on ne parcourt pas des sous menu à n’en plus finir.

Figure 1 Rythmbox

Figure 1

En haut de la fenêtre (Figure 1), on retrouve à gauche les classiques contrôles de base : lecture / pause, piste précédente, suivante, lecture en boucle et lecture aléatoire. Sur la droite, c’est le contrôle de volume qui est accessible.
Juste en dessous, la barre de défilement de la piste en cours de lecture avec ses informations (Titre, Artiste, Album et Durée).
L’espace principal est occupé par deux zones : sur la droite l’affichage des fichiers musicaux accessibles, qui va varier en fonction du type de source choisi. Sur la gauche, on trouve les différents modes permettant d’accéder à la musique, que ce soit en local, en streaming ou à acheter sur Internet.

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  1. Bibliothèque

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  • Liste d’attente est une liste de lecture temporaire qui contient les titres que vous avez ajouté sans spécifier une liste de lecture particulière.
  • Musique regroupe toute la musique se trouvant en local sur votre ordinateur et dont les dossiers ont été indiqués lors du paramétrage initial (Menu Musique > Importer un dossier). La rapidité de l’import n’est pas le point fort de Rhythmbox qui a mis 7 minutes pour scanner ma bibliothèque contenant plus de 8 000 titres.
  • Podcasts permet de renseigner les adresses de vos podcasts favoris et ainsi suivre vos émissions préférées dans la même application sans devoir aller sur Internet.
  • Last.fm est un service de recommandation musicale disponible sur Internet et qui, grâce à Rhythmbox, permet de le retrouver sur son PC et d’être lié à sa bibliothèque de titres locale. Connexion Internet obligatoire pour bénéficier de ce service.
  • Libre.fm est comme Last.fm un système de recommandation et d’écoute musicale mais spécifiquement orientée vers la musique libre.
  • Radio recense par défaut 19 stations de radio diffusant en ligne. On peut bien entendu, comme pour les podcasts, ajouter d’autres stations en saisissant simplement leur adresse de diffusion via le bouton Ajouter

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  1. Boutiques

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  • Ubuntu One, comme son nom l’indique est la boutique maison d’Ubuntu et qui permet à l’utilisateur d’acheter légalement des albums ou des pistes à l’unité dans un catalogue assez étoffé, mêlant grosses pointures et artistes moins connus.

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  1. Liste de lectures

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  • Mon Top : les pistes ayant le plus d’étoiles. Ces étoiles peuvent se paramétrer dans les Propriétés de chaque chanson par un clic droit sur la ligne et en choisissant la note en nombre d’étoiles dans l’onglet Détails.
  • Récemment ajouté : ce sont les fichiers les plus récemment ajoutés à la bibliothèque.
  • Récemment lu : ce sont les fichiers lus en dernier par Rhythmbox.

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Les fonctions de bases présentes sont suffisantes pour la majorité des usages, mais elles peuvent encore s’élargir par un système de greffons. Par défaut seuls certains d’entre-eux sont activés (cf. Figure 2). Cela se fait très simplement par le Menu Édition > Greffons. A noter que certains comportent des préférences accessibles par le bouton du même nom situé en bas de la fenêtre.
Figure 2 Rythmbox

Figure 2

Rhythmbox est donc un très bon lecteur. Simple et robuste, prenant en charge sans problème mes 8 000 chansons, bien intégré au bureau Unity, il est très agréable à utiliser au quotidien. Les recherches dans la base de chansons se font très rapidement une fois que l’indexation est faite. De plus, les touches multimédia des claviers sont utilisables immédiatement et permettent de le commander sans jouer de la souris.
Les baladeurs numériques et notamment l’Ipod sont reconnus et peuvent ainsi s’interfacer avec le logiciel pour mettre à jour et organiser votre collection.

Quod Libet

Comme tous les logiciels de ce test, vous pouvez installer Quodlibet en passant par la logithèque Ubuntu ou par une ligne de commande (sudo apt-get install quodlibet).
Ce qui frappe quand on utilise Quodlibet après Rhythmbox, c’est sa rapidité. Son lancement est très rapide, il répond rapidement à toutes les sollicitations.
En revanche, ne comptez pas sur une intégration au bureau aussi poussée sans un minimum de configuration. Il ne figure pas dans l’icône de son comme Rhythmbox par défaut par exemple. Les touches multimédia ne sont pas non plus reconnues immédiatement, ce qui est dommage pour un lecteur audio.
Mais c’est plus sur sa légèreté et sa rapidité que vous serez agréablement surpris, ce qui fait oublier ces petits défauts. L’indexation de ma collection musicale ne lui a pas pris plus de 3 minutes.
Passons à l ‘exploration des possibilités et des options.
L’interface principale est assez simple. Elle ne vous proposera qu’une seule chose à la fois en général, rarement deux. On a, comme pour Rhythmbox, une barre en haut de l’interface avec les contrôles de lecture et les informations de la piste en cours. Juste en dessous, la barre latérale gauche expose le type de support ou le mode que l’on a choisi. A droite, ce sont les chansons qui apparaissent. Rien que du très classique donc.

Figure 3 Quodlibet

Figure 3

L’ajout de votre bibliothèque locale se fait comme d’habitude par le choix d’un ou plusieurs dossiers par le Menu Musique > Ajouter un dossier. Comme je le disais plus haut, Quodlibet ne craint pas les grosses bases de chansons. A ce niveau aucun plantage et la gestion des pistes se fait très bien. Il est possible de paramétrer dans les préférences un scan de la bibliothèque à chaque démarrage de l’application.
Différents modes sont proposés à l’utilisateur, en fonction de l’affichage désiré et de l’origine des fichiers audio.

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  • Liste de chansons : affiche les chansons actuellement en file d’attente.
  • Désactiver le navigateur : retire la barre latérale de gauche pour ne laisser que les chansons de la liste de chansons.
  • Rechercher dans la bibliothèque : affiche une zone de recherche permettant de rechercher par mot clé toute chanson correspondant au critère saisi.
  • Listes de lecture : affiche les listes de lectures.
  • Navigateur à panneaux : reprend l’interface de Rhythmbox avec possibilité de rechercher par critère ou de choisir par genre, album ou artiste.
  • Liste des albums : reprend tous les albums trouvés dans la bibliothèque, avec affichage (très rapide) des pochettes.
  • Système de fichiers : permet de naviguer sur ses disques durs. Utile pour ouvrir des fichiers que l’on ne souhaite pas ajouter à sa bibliothèque par exemple.
  • Radio Internet : rend possible l’ajout des adresses de diffusion de flux de radios en ligne. Une petite liste existe par défaut.
  • Flux audio : gestion de ses podcasts directement dans Quodlibet en ajoutant les adresses des flux d’abonnement.
  • Périphériques multimédia : gestion des baladeurs numériques.

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Figure 4 Quodlibet

Figure 4

Il est à noter que chaque mode possède une liste de filtres adaptés, avec des choix très intéressants comme l’aléatoire sur un artiste, un genre, le top 40 ou le flop 40 !! D’ailleurs, les choix en terme d’aléatoire sont variés, car on a le choix entre un mode mélangé simple et un autre avec pondération en fonction des notes des pistes.
Un point très intéressant de Quodlibet est également la possibilité de modifier les étiquettes des fichiers (les tags) très facilement et avec d’assez nombreuses possibilités. Ce la se fait facilement en cliquant droit sur un fichier ou un album et en choisissant Éditer les étiquettes. On peut par exemple compléter les étiquettes à partir des noms de fichiers ou renommer les fichiers à partir des étiquettes. Il ne remplacera pas complètement un éditeur de tags (comme Easytag par exemple), mais évitera d’ouvrir une autre application pour une simple modification.
Le dernier point qui fait sortir Quodlibet du lot est l’existence de nombreux greffons qui sont souvent particulièrement utiles, renforçant les fonctions de base du logiciel : on trouve notamment un égaliseur, la possibilité de graver des compilations (via un logiciel externe), la recherche des informations des albums via CDDB ou les couvertures, l’apparition des notifications sous forme d’info-bulle, l’intégration du lecteur dans l’icône de son de la zone de notification et la reconnaissance des touches multimédia des claviers. Et cette liste n’est absolument pas limitative, il y a des dizaines d’autres greffons. Et une fois qu’on a mis le nez dans cette liste, les chances que Quolibet corresponde parfaitement à votre usage et votre matériel est presque assuré.

Exaile

L’installation du logiciel se fait par la logithèque Ubuntu ou en ligne de commande (ici sudo apt-get install exaile).
Exaile se démarque des deux premiers logiciel par le fait qu’il est beaucoup plus simple. Pas de gestion compliquée de bibliothèque avec de multiples affichages. Ici la bibliothèque est affichée dans la barre latérale et le seul choix à disposition est son classement par Artiste, Album ou une association de l’un des deux avec le genre et ou l’année. Simple et efficace.
Le chargement de la bibliothèque locale se fait par le Menu Editer > Bibliothèque. Là aussi, le chargement des 8 000 fichiers s’est fait très rapidement en 4 minutes.

Figure 5 Exaile

Figure 5

En fait, la majorité des changements de l’interface va se faire par les onglets se situant à l’extrême gauche de la fenêtre. On a tout sous la main sans passer par les menus en général.
Dans l’ordre on trouve :

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  • Bibliothèque : les fichiers locaux se trouvant dans les dossiers faisant partie de la bibliothèque.
  • Radio : Liste des radios Internet. Par défaut, aucune n’est renseignée. Charge à l’utilisateur de saisir les adresses de ses stations favorites.
  • Listes de lecture : par défaut, plusieurs listes de lecture intelligentes sont paramétrées (10, 300 ou 500 aléatoirement, Bibliothèque entière ou les fichiers avec des notes supérieures à 3 ou 4).
  • Fichiers : mode permettant d’aller fouiller son disque dur à la recherche de ses propres fichiers non présents dans la bibliothèque.
  • Paroles : On peut paramétrer dans les options plusieurs sites qui vont rechercher les paroles des chansons de la collection.

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De la même manière qu’avec Quodlibet, les greffons permettent de mettre en place des fonctions qui se retrouvent par défaut dans Rhythmbox comme les notifications OSD au changement des pistes, la prise en compte des touches multimédia des clavier ou la prise en charge des baladeurs numériques.
Un point positif d’Exaile est son gestionnaire de jaquettes (Menu Éditer > Jaquettes). D’un simple clic, on peut retrouver les jaquettes manquantes de sa collection, à condition bien sûr qu’elles soient disponibles. Sur plus de 1 100, il en a retrouvé 1 050 dans mon cas. Cette recherche prend par contre un peu de temps, variable en fonction de votre connexion Internet. Il est dommage en revanche que le logiciel n’affiche pas les icônes de pochettes dans la barre de gauche et ne les fasse apparaître que quand elles sont en lecture.

Figure 6 Exaile

Figure 6

Le système de notation est facile d’accès, ce qui permet de s’en servir (pas comme Rhythmbox). Un clic droit sur la piste, on choisit le nombre d’étoiles à attribuer et c’est bon.
Pour rester sur le clic droit, la gestion des tag (étiquettes) se fait tout aussi simplement. Après le clic droit sur un fichier ou un groupe de fichiers, on choisit l’option Propriétés. A partir de là, on a accès à la modification des tags des fichiers. Par contre, on ne peut pas renommer des fichiers, seuls les tags sont modifiés.
En conclusion, Exaile est un très bon lecteur, paramétrable finement. Mais il reste malgré tout simple à utiliser et son interface est assez épurée par rapport aux autres lecteurs de ce test.

Tableau récapitulatif

Lecteur audio Points forts Points faibles
Rhythmbox
  • Lecteur par défaut d’Ubuntu 12.04
  • Simple d’utilisation
  • Robuste et efficace
  • Indexation de la bibliothèque un peu lente
  • Pas d’édition des tags
Quod Libet
  • Très léger et rapide
  • Édition des tags performante et simple
  • Beaucoup de possibilités de personnalisation par les greffons
  • Obligé de fouiller les greffons pour des fonctions de base
  • Pas d’achat de musique en ligne
Exaile
  • Très léger
  • Gestionnaire de jaquettes
  • Tags faciles d’accès
  • Pas de vue graphique des pochettes en mode Album
  • Pas d’achat de musique en ligne

Les boulettes de dinde aux légumes racines

J’aime vraiment beaucoup les recettes que présentent les gars de SortedFood.com. En voici encore une qui est extraite de leur site. Il s’agit d’un plat de légumes racine rôtis au four auxquels on ajoute des boulettes de dinde. Le tout est parsemé d’une succulente petite sauce blanche au yaourt. C’est un régal.

Elle est assez longue à faire mais le jeu en vaut la chandelle.

Les proportions sont pour 8 personnes au niveau des légumes. Pour les boulettes, vous pouvez ajouter un peu de viande supplémentaire si vous  êtes des gros carnivores.

Ingrédients :

Pour les légumes

  • 2 oignons rouges
  • 4 carottes
  • 4 pommes de terre
  • 2 panais
  • 3 betteraves (rouge et jaune)
  • 2 gousses d’ail
  • Quelques brins de thym frais
  • 3 càs d’huile d’olive

Pour les boulettes

  • 550 g de dinde hachée
  • 1 petit oignon
  • 1 càc de paprika
  • 3 feuilles de sauge
  • 1 poignée de chapelure
  • 1 oeuf

Pour la sauce

  • 2 càs de mayonnaise
  • 1 yaourt grec nature
  • Quelques brins de persil
  • 1 càc de moutarde de Dijon
  • 1 càc de sel de céleri
  • le jus d’un demi citron
  • poivre
  1. Préchauffer le four à 190 ° C.
  2. Peler et nettoyer les oignons, les carottes, les panais et betteraves, les pommes de terre.
  3. Couper les oignons en 8, et les autres légumes en morceaux régulier d’environ 3 cm de long.
  4. Placer tous les légumes dans un plat à four dont le fond aura été huilé avec une cuillère d’huile d’olive.
  5. Hacher les gousses d’ail et mélanger dans les légumes et finir avec le reste de l’huile d’olive, les feuilles de thym. Assaisonner de sel et poivre.
  6. Placer le plat au four et laisser cuire une bonne heure.
  7. Pendant ce temps, mélanger la dinde hachée, la sauge émincée, le paprika, l’oignon haché, la chapelure et l’œuf avec une pincée de sel et de poivre. Le mélange doit être bien homogène. Façonner des boulettes de la taille d’une grosse balle de golf. Réserver.
  8. Au bout d’une heure de cuisson des légumes (ils devraient être presque cuits), poser les boulettes de viande sur le dessus des légumes. Laisser cuire encore 20 minutes jusqu’à ce que la viande soient légèrement dorée.
  9. Mettre le persil dans une moulinette avec la mayonnaise, le yaourt  la moutarde, le sel de céleri, le jus de citron et une pincée de poivre. Mixer jusqu’à obtention d’une sauce crémeuse.
  10. Servir le plat quand la viande et les légumes sont cuits. Arroser avec la sauce.

Via SORTED FOOD

Tabernacle, vla un beau Caribou chez Duesenberg

Nouveauté chez Duesenberg qui sort la Caribou, une nouvelle guitare avec une forme plutôt originale, un corps creux avec une ouïe et un vibrato Tremola (ou un chevalet fixe si vous préférez). Elle est équipée de deux micros Duesenberg Single Twin à simple bobinage (créés spécifiquement pour ce modèle et anti ronflette) et d’un humbucker Grand Vintage. Ce qui en fait une guitare polyvalente en plus d’être jolie.

Les couleurs et le type de vibrato ne laissent pas de place à l’interprétation, on sait qu’on rôde plutôt dans les eaux californiennes que celles du Saint Laurent (pourtant avec ce nom …). Il s’agit d’une guitare rock vintage. Amateur de graouh, passez votre chemin.

Petite originalité électronique, un potentiomètre gère le volume du micro central permettant de multiples combinaisons avec seulement un switch 3 positions. Bonne idée.

duesenberg caribou

Voici les spécifications détaillées :

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  • Corps massif en aulne avec une ouïe
  • Table plane
  • Manche collé en une pièce d’érable avec profil en D
  • Touche en palissandre indien avec radius de 12″, 22 frettes jumbo et incrustations Dot nacrées
  • Largeur au sillet : 1.67″
  • Diapason : 25.6″
  • tête de manche noire plaquée
  • Binding de couleur crème
  • Mécaniques Duesenberg Z-Tuners avec boutons « Art Diego »
  • 2 micros Duesenberg Single Twin simple bobinage au manche et au centre, un humbucker Duesenberg Grand Vintage au chevalet
  • 1 contrôle de volume, 1 de tonalité, sélecteur de micro à 3 positions de type lame
  • 3 types de chevalet au choix : wraparound (DCB-NB), standard à pontets en acier (DCB-CG) ou Deluxe Tremola avec vibrato (Tremolo DCB-CG)
  • Accastillage nickel
  • Plaque de protection custom dorée
  • Finition Cyan Green et Narvik Blue
  • Flight case en option

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Le prix public annoncé est de 1590€, pas donné, mais qualité allemande.

duesenberg caribou 2

duesenberg caribou 3

Et une petite vidéo. Merci Jipes.

Via Audiofanzine

Hein, qu’est ce que tu dis ?

Voici une petite infographie rigolote à propos de la perte d’audition chez les musiciens. On y apprend qu’étonnamment un premier violon est plus sujet à devenir sourd comme un pot qu’un batteur de métal … Cela étant dit, le rock au taquet ferait autant de bruit qu’un avion de ligne à 30 mètres de distance. Ça fait un peu peur.

Les femmes seront également heureuses d’apprendre que la perte d’audition est plus lente pour le sexe dit faible.

infographie perte audition

Allez, en répète, portez des bouchons si c’est trop fort, ou remplacez votre batteur ou votre guitariste par un sampler 😉

Via Bobby Owsinski’s Blog et image sur northtexaskids.com

JamMan Express XT un nouveau petit looper

Après la présentation du Ditto de chez TC Electronics (et la super démo de celui-ci par Andy de PGS), Digitech a annoncé à son tour au MusikMesse de Frankfort son petit looper, le JamMan Express XT.

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Il est petit mais il ne s’agit malgré tout pas d’un looper au rabais puisqu’il bénéficie d’un maximum de 10 minutes de boucles (quand je pense que mon Pod HD300 en a 40 secondes …). On a aussi le true bypass du Ditto, votre son sera entre de bonnes boucles.

Mais le petit plus sympathique, c’est qu’il peut fonctionner sur pile, chose que ne fait pas le looper de TC. Bon 3 heures d’utilisation, ce n’est pas énorme, mais ça dépanne bien. Il doit être aussi un peu plus gros (encore que …) sur le pedalboard.

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Enfin Digitech l’annonce à 99 dollars, ce qui commence à être franchement compétitif.

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Bon vous avez compris qu’en ce moment, j’ai très envie d’un looper. Mon anniversaire est dans 15 jours, si vous voulez me faire un cadeau 😉

[Vidéo] Excellente démo du TC Electronic Ditto Looper

Andy de ProGuitarShop est vraiment un tueur … et le Ditto Looper de TC Electronics est vraiment un produit qui me fait de l’œil (on en a déjà parlé il y a quelques semaines).

Quand on le voit l’utiliser, on se dit que c’est vraiment facile. En fait ça parait facile, ça l’est moins en réalité. Mais ça n’enlève rien aux qualités de ce petit looper et à Andy.

Si monsieur TC Electronics veut m’en envoyer un, il peut me contacter sans problème.

Le pain pita à la poêle

Pour aller avec le houmous, rien de tel que des pains pita maison. La préparation est un peu longue, mais cette recette (honteusement pompée sur Le Pétrin) est délicieuse. De plus, elle a l’immense avantage de faire faire la cuisson des pains à la poêle. Les proportions sont pour une dizaine de petits pita.

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Ingrédients :

  • 450 g farine T55
  • 2 càc de levure sèche instantanée
  • 2 càc sel
  • 27 g d’huile d’olive
  • 300 ml d’eau
  1. Dans un saladier, mélanger 425 g de farine avec le sel et la levure.
  2. Verser ensuite l’huile d’olive et l’eau. Former une pâte et la travailler jusqu’à ce qu’elle forme une boule molle.
  3. Transvaser la pâte sur le plan de travail fariné avec un peu des 25 g de farine restante. Pétrir pendant 5 minutes. Si la pâte est vraiment trop collante, vous pouvez rajouter le reste de farine petit à petit (ce qui fut le cas pour moi).
  4. Laisser ensuite la pâte reposer en posant le saladier à l’envers sur la boule pendant 20 minutes.
  5. Découvrir la pâte et recommencer à pétrir pendant 5 à 10 minutes, jusqu’à ce qu’elle devienne souple et lisse et à peine collante au toucher (le doigt adhère à la pâte sans l’arracher).
  6. Mettre la pâte dans un saladier légèrement enduit d’huile d’olive et en badigeonner sa surface également. Couvrir avec du film alimentaire et laisser reposer pendant minimum 1h30.
  7. Transvaser la pâte sur le plan de travail légèrement fariné. La diviser en 10 morceaux de même poids. Façonner ensuite chaque pâton en boule puis l’écraser en un disque épais. Laisser détendre 20 minutes couverts avec un linge (dans mon cas, je n’ai pas laissé détendre, j’ai attaqué tout de suite l’étape suivante car je manquais de temps).
  8. Préchauffer une poêle à fond épais sur feu vif (sur une plaque vitro céramique. Sur du gaz, il sera peut être bon de mettre moins fort).
  9. Pendant ce temps, étaler au rouleau un ou deux pâtons (en fonction de la taille de votre poêle) de manière à former un disque ovoïde d’environ 0,8 cm d’épaisseur (correspond à un ovale d’environ 15 cm x 12 cm). N’hésitez pas à fariner la surface de la pâte et de la retourner 2 ou 3 fois pendant l’étalement.
  10. Dès que la poêle est très chaude, la huiler légèrement (ou pas si c’est de l’anti adhésif) et y déposer rapidement une (ou deux) pita (en évitant de mettre de la farine). Laisser cuire 30 secondes, le temps de voir apparaître quelques bulles et retourner  avec une large spatule. La pita au bout d’une petite minute doit buller, gonfler et se transformer en mignon petit ballon (ça c’est la théorie, chez moi elle n’a jamais fait le ballon. Elle a gonflé, mais point de baballe). La retourner encore et laisser dorer quelques secondes. L’opération de cuisson de la pita à la poêle ne devrait pas excéder 3 min par pita.

Même si elles n’ont pas autant gonflé que prévu (peut être dû à un manque de repos de la pâte), le pain était délicieux pour aller avec le hoummous.

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Le hoummous

Voici une recette que l’on retrouve sur tout le pourtour du bassin méditerranéen, le houmous. Encore une recette ultra facile, on met tout dans une moulinette ou un blender et on mixe. Et voilà c’est fini.

L’original se fait avec du tahiné, mais je n’en avais pas donc je l’ai remplacé par de l’huile de sésame. On peut adapter les proportions en fonction de ses goûts, plus d’huile d’olive, de citron ou d’huile de sésame, c’est selon vos envies. Personnellement, je l’aime pas trop mou, donc je ne rajoute pas plus de liquide, mais si on veut on peut le détendre avec un peu de jus de cuisson des poix chiche.

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Ingrédients :

  • 400 g de pois chiche en boîte ou en bocal (égouttés)
  • le jus d’un demi citron
  • 1 gousse d’ail
  • 2 càs d’huile d’olive
  • 1 càs d’huile de sésame
  • sel et poivre
  1. Mettre tous les ingrédients dans le bol d’un mixer et mouliner jusqu’à formation d’une belle pâte homogène.
  2. Rectifier l’assaisonnement et ajouter un peu de zeste de citron si vous voulez.
  3. Mettre au frais et déguster avec des pains pita.

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Des guitares en skate, ça roule

Il y a pas mal de cross feeding entre les skaters / surfeurs et la guitare. Surtout dans le domaine du rock ou punk rock. Mais le luthier Ezequiel Galasso est allé plus loin dans le mélange des genres en faisant carrément des guitare à partir de planches de skate (2 pour un corps pour être précis) !!! Original et carrément intéressant. En plus elles ont de la gueule.

Et quand on voit la vidéo, on se dit que finalement ça ne sonne pas si mal non plus. Par contre, l’ampli ressemble carrément à une machine à laver 🙂

Via Audiofanzine

Le poisson à la bordelaise

Le poisson à la bordelaise, c’est un plat de chez Findus (pré lasagne au cheval) que nous mangions quand ma femme et moi étions seuls dans notre premier petit appartement. Ça fait longtemps avec les enfants que nous n’en avions pas fait et j’avais aussi envie de le cuisiner moi-même. Bizarrement, je pensais que ça allait être compliqué, mais c’est tout l’inverse.
C’est facile (30 minutes avec un peu d’organisation, cuisson comprise), pas trop cher (en fonction du poisson choisi, de préférence un peu épais) et avec des ingrédients que l’on a souvent sous la main. C’est donc un bon candidat pour un repas du soir ou de week end.

Poisson à la bordelaise

Ingrédients :

  • 2 dos de cabillaud
  • 10 cl de vin blanc
  • 1 demi bouquet de persil
  • le jus d’un demi citron
  • 2 gousses d’ail
  • 5 échalotes (à adapter en fonction de leur taille)
  • 6 càs de chapelure
  • 6 càs d’huile d’olive
  • Sel et poivre
  1. Dans une casserole, faire revenir à feu doux dans 2 cuillères à soupe d’huile d’olive l’ail et les échalotes hachés. Assaisonner.
  2. Ajouter le vin blanc et poursuivre la cuisson à feu vif jusqu’à évaporation du liquide.
  3. Hacher le persil finement avec un peu de sel.
  4. Mélanger la chapelure, le persil, le jus de citron avec le hachis d’échalotes et d’ail. Rectifier l’assaisonnement.
  5. Déposer une cuillère à soupe d’huile d’olive au fond d’un plat passant au four.
  6. Saler et poivrer les dos de chaque côté puis les napper de pâte. Arroser avec le reste d’huile.
    Poisson à la bordelaise
  7. Enfourner 15 minutes à 180 °C puis 5 minutes sous le grill.

Servir avec un riz blanc et profiter de la bonne sauce.

Poisson à la bordelaise