Archives mensuelles : février 2010

Le mystère du header, le retour de la vengeance (suite et fin j’espère)

Comme certain d’entre vous ont pu le remarquer (vous êtes sagaces amis lecteurs !), l’intervention miraculeuse du grand webmaster n’a pas tenu plus de quelques jours et l’image du header qui se dédouble est revenue hanter ce blog de nouveau.

Heureusement que j’ai des relations, car dhoko, un fervent lecteur de ce blog, confrère GNU-Linuxien, libriste et padawan informaticien professionnel, m’a éclairé de ses connaissances. J’ai donc pu sortir de mon arrière train le majeur et l’annulaire qui y étaient coincés et de ce fait, mettre les mains dans le camboui du css et du html (façon de parler bien entendu).

Je vous épargne les considérations techniques, normalement maintenant c’est réparé et ce qui posait problème ne devrait plus refaire surface (ou  alors je n’y comprends plus rien).

J’en profite pour vous conseiller d’aller faire un tour chez dhoko qui tient un très bon blog, le colibri-libre (que vous retrouvez d’ailleurs dans la sidebar). Vous adorerez notamment son objet mystère du lundi qui vous fera triturer les méninges. En plus, il vient de refaire le thème entièrement avec ses petites mains et le site a désormais sa propre url, ça mérite un coup de pub.

La tarte au chocolat

Un dessert pas vraiment régime, mais on s’en tamponne, c’est l’hiver. Cela dit, ce sera aussi bon en plein été.
Ingrédients :
  • 1 pâte brisée
  • 150 g de chocolat noir
  • 100 g d’amandes en poudre
  • 100 g de sucre en poudre
  • 2 œufs
  • 100 g de beurre
  • 1 pincée de cannelle
  • 1 c à s de farine
  1. Étaler la pâte et foncer un moule de 27 cm (remplir le moule avec la pâte étalée).
  2. Faire fondre le chocolat dans un saladier et incorporer le beurre petit à petit, jusqu’à ce que le mélange soit lisse.
  3. Hors du feu, ajouter le sucre, la poudre d’amandes, la cannelle et les œufs. Mélanger.
  4. Ajouter la farine et bien remuer.
  5. Verser l’appareil au chocolat sur la pâte dans le moule.
  6. Faire cuire à feu moyen (180 ° non préchauffé) pendant 40 minutes.

Il faut surveiller la fin de la cuisson pour éviter que le chocolat soit trop cuit et donc trop sec. C’est une question d’habitude. C’est meilleur quand le mélange au chocolat est bien fondant.

Un script pour vérifier et extraire les fichiers des newsgroups

Ça fait maintenant quelques mois que j’utilise ce script nautilus sensationnel, newsgroups extractor qui m’a économisé bien des heures de station stupide devant mon écran à regarder GPar2 vérifier les fichiers téléchargés depuis les newsgroups.

Je vous laisse regarder l’article pour les pré-requis (dont le premier est d’être sous Linux !!!) et la procédure d’installation.

Au final, il vous suffira de cliquer droit sur le fichier par2 et de choisir le script pour que la vérification, l’extraction et la suppression des fichiers (une fois que tout est terminé) se lancent en arrière plan. Donc vous n’avez plus rien à faire d’autre, et donc vaquer à vos occupations pendant ce temps.

Je n’ai jamais eu l’occasion de remercier son créateur car je n’arrive jamais à laisser de commentaire sur le blog (foutu message d’erreur). S’il passe par ici, je serai ravi de discuter avec lui car je rencontre périodiquement des erreurs et je voudrais savoir comment les lui remonter.

[Firefox du mercredi] DownThemAll!

Pour reprendre en douceur ces éditions du Firefox du mercredi (et je vous rappelle que tous mes billets traitant de Firefox se trouvent sur cette page), voici une extension qui figure dans mes indispensables depuis plusieurs années. Il s’agit de DownThemAll! (DTA pour les intimes). Comme son nom l’indique, il s’agit d’un addon servant exclusivement à gérer les téléchargements et les faciliter.
Vous autres, les fous du téléchargement (de n’importe quel type de fichier hein, je ne parle pas de téléchargement illégal !!!), vous allez me remercier car cette extension va vous faire aller beaucoup plus vite.

ON LA TROUVE OU ?

Comme d’habitude sur le site des extensions de Firefox. Ou alors sur le site officiel de l’extension.

CA FAIT QUOI EXACTEMENT ?

L’extension présente par défaut des boutons qui vont permettre de choisir de télécharger certains fichiers de la page en cours, selon des filtres que l’on aura défini auparavant (jpg, gif, avi, wmv, mp3, au choix et tout cela pouvant s’additionner bien entendu).
Cette possibilité est aussi donnée via un clic droit dans la page dans le menu contextuel.

ET CA MARCHE COMMENT ?

Faisons un petit tour des préférences :

  • Onglet  »Principales » :

Dans la partie Téléchargements, on va pouvoir régler le nombre simultané de téléchargements. 10 au maximum, en général, je le règle à 3, ma connexion n’étant pas terrible. Rien n’empêche de le mettre au taquet, ça dépend de ce que vous téléchargez, de votre patience et de votre connexion.

On peut choisir de renommer le fichier à l’arrivée si un autre fichier porte le même nom dans le dossier de destination.

On peut également choisir de réessayer quand un fichier échoue, choisir le délai au bout duquel on réessaie et le nombre tentatives pour le retélécharger.

Enfin, on a le comportement de l’extension lorsque tous les téléchargements sont finis (son, notification, fermeture).

  • Onglet « Filtres » :

J’avoue, celui-là est assez indigeste. Il permet de régler les extensions des fichiers qui seront automatiquement mis en file d’attente de téléchargement (voir plus bas dans l’exemple pratique). Je ne me suis jamais penché sur la question puisque les filtres par défaut me vont parfaitement bien.

En cliquant sur ajouter un nouveau filtre, on peut ajouter de nouvelles extensions de fichier et la syntaxe doit permettre de prendre en compte des variations.

  • Onglet « Vie privée » :

Ici on peut régler quelques paramètres qui ne sont pas les plus indispensables, mais qui peuvent s’avérer utiles si l’ordinateur dont vous vous servez n’est pas que le vôtre : actions lors de la fermeture du gestionnaire de téléchargement (éléments à effacer notamment), la présence de logs et les éléments des menus déroulants.

  • Onglet « Interface utilisateur » :

La façon dont l’extension apparait peut être un peu customisée. On peut choisir de n’afficher que les noms des fichiers dans le gestionnaire de téléchargement, et / ou afficher des info bulles, démarrer en mode réduit, réduire vers la zone de notification (un autre module devra être téléchargé dans ce cas), ajouter DTA à la fenêtre d’enregistrement classique de Firefox. On peut également choisir les entrées devant apparaitre dans les menus contextuels et outils.

  • Onglet « Avancées » :

Dans cet onglet, on rentre dans le domaine du pinaillage et des réglages fins. On contrôle la taille des segments de téléchargement (qui détermine en combien de petits morceaux le fichier téléchargé est divisé), le dépassement de délai encas de connexion inactive, et divers autres paramètres, là encore pas essentiels pour un utilisateur de base.

Le dernier qui peut servir est le choix du dossier de stockage des fichiers temporaires. Utile si on n’a pas les droits nécessaires sur tous les répertoires d’un PC.

UN EXEMPLE CONCRET

C’est vrai que passer en revue les options c’est bien, mais un exemple c’est mieux.

Disons que je veux télécharger un bootleg de « The Dead » sur Archive.org. Le problème c’est que chaque chanson est un fichier différent et donc sans utiliser DTA, je devrais enregistrer chaque fichier séparément. La plaie.

Avec DTA, c’est plus simple.

Vous avez désormais normalement 3 icônes dans la barre du haut de Firefox (si ce n’est pas le cas, un clic droit sur la barre, « Personnaliser » et tirez les icônes où vous voulez).

La première est DTA One Click. En fonction des filtres définis dans les options, elle va choisir seule les fichiers à télécharger et les mettre dans le gestionnaire de téléchargement (qui correspond à la 3ème icône). Pratique, mais dans notre cas, ça va faire des doublons puisque nous avons pour chaque chanson 3 types de fichiers.

On choisit donc la deuxième icône, s’intitulant sobrement DownThemAll!!. Et une nouvelle fenêtre s’ouvre. Ça donne ça (cliquez dessus pour la voir en taille réelle) :

On a la liste de tous les liens et fichiers se trouvant sur la page. Ce qui nous intéresse, ce sont les liens pointant vers les fichiers mp3 (ou les FLAC si vous êtes mélomanes, ou ogg si vous êtes libristes). Nous allons donc paramétrer pour ne sélectionner (ce sont les lignes en vert, donc vous voyez que l’on a déjà des liens sélectionnés) que les fichiers mp3. Pour cela, on va désélectionner dans les filtres « Images », « Vidéos » et « Applications ».

Il nous reste encore les flac et ogg dont on ne veut pas. On va dans « Filtrage rapide » et on tape *.mp3. On désélectionne le filtre audio qui est au dessus pour se débarrasser des formats superflus et voilà.

Il ne reste plus qu’à choisir le dossier de destination (un conseil si vous téléchargez beaucoup de musique, un dossier par album, ça évite les prises de tête si les fichiers sont mal taggés !!). On clique ensuite sur « Démarrer » ou « Mettre en attente » selon son envie.

On peut suivre l’avancement dans le gestionnaire de téléchargement qui se lance. Là vous pouvez mettre en pause, reprendre un ou plusieurs téléchargements, en ajouter, faire monter ou descendre dans la file d’attente certains fichiers.

Bien sûr, vous pouvez adapter les types de formats à votre besoin. Je l’utilise avec bonheur pour des images et de la vidéo, mais rien ne lui résiste. Et si vraiment vous ne voyez pas, il reste toujours la solution de sélectionner les fichiers à la main dans la fenêtre en cliquant sur la petit coche tout à gauche.

Risotto aux épinards et lardons

Normalement cette recette se faisait avec des feuilles de tétragone que j’ai eu dans mon panier de légumes. Mais pour être franc, je n’ai pas trop apprécié le gout de ce légume. Donc remplacement immédiat par des épinards frais. Et le résultat s’est avéré délicieux.

Ingrédients :

  • 250 g de riz rond à risotto
  • 350 g d’épinards frais
  • 1 oignon
  • 1 l de bouillon de poule
  • 4 c à s d’huile d’olives
  • 60 g de ricotta
  • 200 g de lardons
  • 4 c à s de mascarpone
  • 50 g de parmesan râpé
  • de la noix de muscade râpée
  • sel et poivre
  1. Éplucher et émincer l’oignon.
  2. Laver les feuilles d’épinard.
  3. Faire revenir dans une cocotte l’oignon et les lardons dans l’huile. Ajouter les feuilles d’épinards et laisser cuire jusqu’à ce que les feuilles se « fanent ». Réserver.
  4. Remettre de l’huile dans la cocotte. Quand elle est chaude faire revenir le riz jusqu’à ce qu’il soit translucide.
  5. Mouiller avec le bouillon petit à petit, une louche à la fois. Remuer sans arrêt. Ne rajouter du liquide qu’une fois que le riz a absorbé la dose précédente.
  6. Lorsque le riz est cuit, retirer la cocotte du feu.
  7. Ajouter alors le mélange lardons épinards, les fromages et la muscade.
  8. Mélanger pour que tout soit bien homogène. Éventuellement remettre sur le feu très doux pour que ce soit plus facile.
  9. Saler, poivrer.
  10. Servir immédiatement.

risotto-epinard-lardon-06

Avec du bon pain c’est encore meilleur.

Test rapide de Eeebuntu 4 beta 1

Comme je l’ai annoncé dans un précédent billet, la nouvelle version d’Eeebuntu ou EB 4 est sorti en beta 1. J’ai donc téléchargé immédiatement via torrent l’image iso et je l’ai transférée sur une clé usb avec Unetbootin pour la tester en live sur mon eeepc 701.

Le démarrage s’est fait sans problème en live USB. Ça ne m’a pas paru plus rapide ni plus lent que d’autres distributions que j’ai testé de cette manière. Donc 1 minute et 52 secondes c’est dans la bonne moyenne.

D’abord, c’est beau. Je le dis à chaque fois que je teste EB, mais ils arrivent à faire quelque chose de plus sexy que la distribution de base (avant Ubuntu désormais Debian unstable qui est tout sauf jolie dans son état de base, il faut dire).

Les icônes sont les mêmes ou alors légèrement modifiées par rapport à la version 3.
Le logo représentant la distribution (qui sert de menu et qui s’affiche durant le démarrage) a changé lui et je le trouve plus pro et plus original que l’ancien.

Il y a un faux dock d’installé en bas du bureau. Lui par contre n’est pas super joli, forcément, ce n’est qu’un panel de Gnome escamotable. De toute façon, je ne suis pas super fan des docks.

Seule une icône importante change, c’est celle qui permet de modifier les options de l’ordinateur. Il s’agit désormais d’un éclair alors qu’avant c’était un petit PC. La raison est simple, ce n’est plus le même logiciel qui gère ce boulot. C’est désormais Jupiter (d’où l’éclair) qui se charge de cette tâche (mise en marche / arrêt de la webcam, wifi bluetooth s’il y a, résolution de l’écran, son orientation et la sortie vidéo).

La connexion au réseau s’est faite sans aucune anicroche. Via Jupiter, d’un clic on met la carte wifi en fonction, le network-manager détecte mes réseaux sans fil, je clique sur mon wifi FON perso et je rentre ma clé. Ça connecte, j’ai juste à ajouter la clé du trousseau puisque c’était la première fois (ce truc m’énerve, c’est un des premiers machins que je vire quand j’installe en dur). Enfin on lance Firefox (version 3.6) et c’est parti.

Flash est installé par défaut, c’est le luxe !! Pratique pour le web quand même (Deezer, Youtube, etc).

Mauvaise surprise, mais ce n’est que rarement pas le cas en live, le clavier est en qwerty, donc la saisie des mots de passe peut générer des surprises. Pour mettre le clavier français, il suffit d’aller modifier le clavier dans les préférences système.

Il y a beaucoup d’applications installées par défaut (Ooo, Gimp, Firefox, Thunderbird, Banshee, Brasero, VLC, Xsane). Beaucoup dont je ne me sers pas en tous les cas et surtout sur mon netbook. Par contre, et contre toute attente, pas de messagerie instantanée …

La version de Nautilus est intéressante, avec quelques nouveautés par rapport à ce que j’ai l’habitude de manipuler sur ma 9.04. Un curseur pour grossir réduire les icônes, une place plus grande pour les données, plus de séparation entre les disques et les favoris. Pas mal je dois dire.

Et je n’ai pas trouvé de software manager autre que Synaptic, une version pas très user friendly qui plus est. Celle que l’on trouvait sur Ubuntu 8.10 on dirait.

Les touches de fonction volume, luminosité fonctionnent avec l’OSD (dont l’affichage n’est pas très réactif). Je n’ai pas pensé à tester le wifi, mais comme ça fonctionne avec Jupiter, ce n’est pas très grave.

La mise en veille quand l’écran du portable est rabattu et le réveil quand on le rouvre fonctionnent et sont réactifs, le seul problème c’est que le wifi reste coupé. Donc obligé de le remettre en fonction pour que ça reconnecte le réseau. J’avais déjà ce genre de problème avec la version précédente, donc une légère amélioration de ce côté là, mais ça reste perfectible. Il faudra voir le point quand ce sera en version finale et avec une installation en dur.

Un bug que j’ai rencontré est une disparition du pointeur lorsque j’ai tenté de changer la résolution de l’écran en passant du classique 800*480 à 800*600 via Jupiter.
Le changement s’est fait (d’ailleurs c’est assez dégueulasse pour lire quoi que ce soit !!), mais dans la bataille mon pointeur de souris a carrément disparu. Gênant ensuite pour remettre tout en place. En tâtonnant, j’y suis arrivé mais le pointeur n’est pas réapparu.

J’ai essayé d’installer des applications, enfin une, gnome-do pour être précis et ça a plus ou moins bien marché. L’appli s’est installée, mais après le premier lancement, plus moyen de la relancer. En plus, ça m’a bizarrement désinstallé Firefox et l’a remplacé par Iceweasel (la version libre de FF). Bizarre …

Enfin autre point dur, j’ai l’impression que la batterie s’est très vite déchargée. En plus, il me met au démarrage un joli message comme quoi ma « battery is broken ». Pas agréable, mais il me semble que c’est un problème qui arrivait aussi avec Ubuntu 9.10 de mémoire.

Au final, pour une utilisation en live d’une distribution en version beta, je suis ravi. Tout ça va ronronner en version finale, c’est certain. C’est beau et rapide, ce sera stable car basé sur Debian et plus de réinstallation à faire car la team EB a choisi le principe de la rolling release. C’est à dire grosso modo que la distribution sera mise à niveau sans avoir besoin de tout changer tous les X mois. Ça se fera au fur et à mesure des avancées des noyaux, programmes, … C’est un confort pour l’utilisateur. Et on est sûr d’avoir les dernières versions rapidement disponibles.
Je vous la conseille.

Bref, d’ici quelques semaines vous allez faire plaisir à votre eeepc, netbook ou même ordinateur ou portable traditionnel pourquoi pas. Même les processeurs 64 bits seront supportés. A essayer.

Le retour des billets Firefox du mercredi

Ça faisait un moment que je n’avais pas trouvé le temps de faire quelques billets sur mes extensions et moteurs de recherche Firefox préférés. La bonne nouvelle, c’est que j’ai décidé de m’y remettre, la mauvaise, c’est que je n’ai pas beaucoup plus de temps.

Donc je passerai dans un premier temps à une publication plus espacée, toutes les 2 ou 3 semaines. Si ça va mieux, j’essaierai de revenir à un billet hebdomadaire. En même temps, le sujet n’est pas inépuisable, la liste de ce que j’utilise à ses limites.

1000 Merci !!!

Aujourd’hui, bonne surprise, mon compteur feedburner est à 1000 !!!!

Alors un grand merci à tous de me lire.

Mais le rss ce n’est pas tout, n’oubliez pas de venir laisser des commentaires et profiter du site.

N’oubliez pas non plus que la notification par mail des nouveaux billets est de retour depuis quelques semaines, si vous n’utilisez pas les flux RSS.

Eeebuntu 4 beta 1 est sortie : mon eeepc est ravi

Je viens d’apprendre sur Blogeee que la première version beta d’Eeebuntu 4 est sortie depuis le début de la semaine.

Cette nouvelle version est désormais basée sur Debian et non plus sur Ubuntu, ce qui sur la forme ne devrait pas trop nous dépayser (et sur le fond pas des masse non plus pour les utilisateurs lambda du reste).

Apparemment le direct download est vraiment aléatoire, il vaut mieux passer par les torrents, ça doit certainement être beaucoup plus rapide.

Au niveau de l’installation, c’est une beta donc il y a des instructions à suivre pour que tout se passe au mieux et sans erreur. Si vous voulez tenter un test en live USB, le wiki donne toutes les instructions de la création de la clé à l’utilisation du live USB.

J’essaie de télécharger et tester ça rapidement sur mon 701.
Au passage le site a subi un très beau lifting, c’est beaucoup plus pro et agréable à regarder.

Test de la Framakey Ubuntu-FR Remix de Framasoft – La partie Windows

Comme je vous le disais il y a quelques semaines, je me suis fait plaisir en me payant (et en faisant un don) une Framakey Ubuntu-FR Remix. Voici le moment de faire un petit bilan de cette clé.

J’adore le look de cette clé, le côté black & white et surtout son look de pilule. Un bonne dose de vaccination par les logiciels libres. En plus, elle est beaucoup plus compacte que ce à quoi je m’attendais après avoir vu les photos sur le Net. Elle mesure 5 cm de long et 18 mm de large. C’est plus épais qu’une clé USB classique, mais ça reste tout à fait transportable dans une poche. Et pour l’instant pas de problème de branchement sur les ports usb ou les hubs utilisés.

D’abord, je vais aborder le côté Windows / Applications portables. La partie live USB Ubuntu fera l’objet d’un autre billet.

J’ai testé la clé avec 3 PC différents. Mon portable de boulot qui possède un CPU dual core à 1.6 Ghz et 1 Go et demi de RAM et tourne sous XP pro SP3, mon portable perso qui est un vieux coucou sous Windows XP SP3 avec 512 Mo de RAM et ma tour récente avec un Core 2 Duo 2.6 Ghz et 2 Go de RAM sous XP SP3 aussi.

Une fois la clé installée par Windows, le lancement de l’interface Framakey met environ 1 minute. Plus si vous avez un pare feu très tatillon comme le mien.

L’interface est jolie, à base d’onglets  qui représentent les « univers » des programmes installés : internet, travailler, jouer, multimédia, outils et contenu.

Le lancement des applications légères (notepad+++, windirstat) se fait en 2 ou 3 secondes.
Pour certaines ça peut être plus long (VLC 30 secondes, Ooo Writer une fois enregistré et lancé 2 fois 15 secondes, Sunbird 30 secondes), mais dans l’ensemble ça va.
En plus, il faut se dire que ça va varier d’un PC à l’autre en fonction de son CPU, sa mémoire, …

Il y a certaines choses vraiment bien pensées comme les boutons en bas à droite qui permettent de revenir au bureau Windows, d’ouvrir le poste de travail. Sur la gauche, on a accès aux dossiers personnels de la clé. C’est dommage que leur ouverture se fasse avec l’explorateur Windows. Ça aurait été bien d’avoir un explorateur intégré à la clé. En plus, l’explorateur Windows, c’est vraiment le pire du pire, on ne peut rien faire avec ce truc …

Sympa également, les effets visuels lors d’un changement d’onglet.

Le changement ou l’ajout d’une application doit se faire via une application Synapps qui n’a pas fonctionné sur mon portable au boulot. Le proxy est en cause, car une connexion à internet est apparemment obligatoire dès le lancement. Je n’ai pas su comment paramétrer ce comportement et résoudre le problème.
Une fois lancée sur un ordinateur qui n’a pas ce genre de limitation, on se rend compte que Synapps est un menu d’installation / désinstallation d’applications sur la clé, à la synaptic ou plutôt comme le menu ajouter / supprimer des programmes d’Ubuntu. On coche et on décoche les appli que l’on veut sur sa clé et on appuie sur le bouton Appliquer et le reste se fait tout seul. Super pratique !!!

Par contre, l’interface de la Framakey ne se met pas à jour seule, il faut lancer un deuxième outil, appelé « Interface Framakey », et qui est en fait Framakiosktune. Ce logiciel permet de changer les chemins vers les exécutables, les onglets, les icônes … afin de rajouter ou modifier les logiciels dans l’interface Framakey. Ça me rappelle un peu le menu de configuration d’Openbox pour ceux qui connaissent.
Bon c’est un de mes gros regrets, c’est qu’on ne peut pas customiser facilement l’interface. Il faut faire ça à la mimine. Pas que ça me dérange personnellement, mais pour un utilisateur plus classique, c’est pas très user friendly.

En plus, mon premier essai n’a pas été une réussite puisque j’ai du péter quelque chose en essayant de changer les icônes des onglets car le logiciel ne se lance plus …

Enfin, ça manque d’une documentation présentant les logiciels et surtout comment faire vivre sa clé : ajouter des logiciels, les insérer dans le lanceur, modifier des paramètres lors de l’insertion de la clé, …

Au final, je suis content de la clé mais l’interface, si elle est jolie, n’est pas assez pratique et rapide à mon gout. Je trouve plus facile et rapide de se servir du lanceur classique Asuite qui est fourni également. On perd des fonctionnalités et c’est moins beau, mais on gagne en praticité et en vitesse.

Les pommes de terre forestières

En ce moment, on a bien besoin de comfort food comme disent les américains. Alors quoi de mieux qu’un bon plat de pommes de terres avec des lardons et des champignons ?

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Ingrédients :

  • 1 kg de pommes de terre
  • 150 g de lardons fumés et demi sel mélangés
  • 2 oignons
  • 200 g de champignons de Paris
  • 50 g de beurre
  • 2 c à s d’huile neutre
  • 20 cl de bouillon
  • 1 branche de thym
  • sel et poivre
  • du persil (facultatif)
  1. Éplucher les pommes de terre et les couper en gros quartier de 2 ou 3 cm.
  2. Éplucher les oignons et les couper en lamelles.
  3. Nettoyer les champignons et les couper en gros morceaux (en huit par exemple).
  4. Faire revenir les oignons et les lardons dans une cocotte à fond épais, jusqu’à ce que le mélange soit doré. Réserver.
  5. Mettre la moitié du beurre et l’huile à chauffer dans la même cocotte. Y faire dorer les pommes de terre.
  6. Dans le même temps, faire revenir les champignons  dans le reste de beurre et laisser cuire jusqu’à ce qu’ils dorent à leur tour. Réserver.
  7. Après 12 minutes de cuisson des pommes de terre, ajouter lardons, oignons, champignons et le thym.
  8. Arroser à hauteur avec le bouillon et rectifier l’assaisonnement.
  9. Couvrir et laisser cuire à feu doux jusqu’à ce que les pommes de terre soient fondantes. Normalement, le bouillon doit être presque totalement réduit.
  10. Servir en parsemant de persil haché (facultatif)

Mouclade à la crème et aux épices

Les recettes à base de moules sont en général assez simples et celle-ci ne déroge pas à la règle. Par contre elle est très gouteuse en raison des épices qui sont présentes dans la recette.

C’est adapté d’une recette que nous avons eu avec les épices qui servent à confectionner la recette. Ce sont des mélanges tout prêts, ce qui explique que je sois assez vague sur leur composition (surtout le mélange à mouclade …).

epices mouclade 1

epices mouclade 2

Ingrédients :

  • 2 kg de moules de bouchot
  • 50 cl de vin blanc sec
  • 1 oignon
  • 20 cl de crème liquide
  • 30 g de beurre
  • 1 c à s de farine
  • 1 c à c de mélange court bouillon (mélange de graines et épices : clous de girofle, bois d’inde, baies roses, graine de fenouil, graine de coriandre)
  • 1/2 c à c de mélange pour mouclade  (mélange d’épices en poudre : à coup sûr curry et coriandre, pour le reste …).
  1. Nettoyer les moules.
  2. Faire chauffer un faitout sur feu vif, dans lequel vous aurez mis le vin blanc, l’oignon haché et les épices à court bouillon (dans une mousseline).
  3. Quand ce mélange bout, ajouter les moules et cuire jusqu’à ce qu’elles s’ouvrent.
  4. Retirer du feu. Réserver les moules.
  5. Filtrer le jus de cuisson et le réserver également.
  6. Dans une casserole, faire fondre le beurre et ajouter la farine. Remuer sans arrêt, jusqu’à ce que le mélange soit mousseux.
  7. Ajouter alors le jus de cuisson des moules. Remuer jusqu’à épaississement.

    mouclade

  8. Ajouter la crème et les épices à mouclade. Laisser chauffer quelques minutes.
  9. Verser sur les moules que vous aurez dressées dans le plat de service.

    mouclade

  10. Servir aussitôt.

mouclade

Et faites-moi le plaisir de manger ça avec les doigts, c’est meilleur.