Alors voilà une recette hyper simple, rapide et super goûteuse avec une influence britanico-indienne vraiment agréable.
Normalement, ce ne sont que des ingrédients qu’on peut avoir dans sa réserve (sauf les herbes), donc c’est encore plus facile de le faire sur le pouce.
Ingrédients :
10 grandes tartines de pain de mie
100 g de farine de pois chiche
1 petit oignon, haché finement
3 ciboules
Une poignée de feuilles de coriandre hachées
1 càc de sel
1/2 càc de garam masala
de l’eau
huile et beurre pour la cuisson
Dans un plat à bords hauts, mettre la farine de pois chiches et tous les autres ingrédients sauf l’eau et mélanger.
Ajouter l’eau petit à petit jusqu’à obtention d’une consistance de pâte à crêpe épaisse (regardez la vidéo pour avoir une idée de ce que ça donne).
Recouvrir une seule face d’une tartine, avec environ une cuillère à soupe de mélange.
Mettre à cuire sur la face tartinée de la mixture dans une poêle où vous aurez préalablement fait fondre le beurre dans l’huile. A vous de voir combien vous voulez en mettre en fonction de votre envie mais une cuillère à soupe d’huile et une noisette de beurre me paraissent un bon point de départ.
Laisser dorer à feu doux pendant 3 ou 4 minutes, jusqu’à ce que cette face soit dorée et croustillante. Retourner et faire dorer à feu plus vif la face « normale ».
Encore une recette extrêmement simple et rapide à préparer, idéal pour un soir de semaine ou un dîner où l’on manque de temps. Je n’avais jamais tenté le curry de patate, et c’est très bon. On ne manque absolument pas de viande, c’est très complet.
Attention au piment, nous nous sommes fait avoir la première fois tellement les piments oiseaux étaient forts (et contrairement à Chetna, nous n’en avions mis qu’un seul !!).
Ingrédients :
2 càs d’huile
1 càc de graines de moutarde noire
10 à 12 feuilles de curry
1 piment oiseau vert (optionnel)
5 cm de gingembre ou râpé
2 oignons
3 tomates
10 pommes de terre de taille moyenne déjà cuites et épluchées
1 càc de sel
1 càc de curcuma
1 càc de garam massala
1 càc de poudre de mangue
10 cl d’eau
Coriandre fraîche pour la garniture
Faire chauffer l’huile dans une sauteuse à feu moyen.
Y mettre les graines de moutarde, les feuilles de curry, le gingembre et le (ou les) piment coupé dans la longueur (et débarrassé de ses graines dans mon cas). Laisser revenir pendant 1 ou deux minutes.
Ajouter les oignons et laisser cuire pendant 7 à 8 minutes jusqu’à ce qu’ils soient bien colorés.
Ajouter les tomates coupées en petits morceaux et laisser encore cuire pendant 8 minutes sur feu doux jusqu’à ce que le mélange réduise.
Incorporer les épices et le sel et bien mélanger.
Enfin, mettre les pommes de terre découpées en cubes et l’eau dans la sauteuse et entourer les pommes de terre de la sauce. Laisser cuire encore 5 ou 10 minutes à feu doux pour qu’elles s’imprègnent du curry. Rectifier l’assaisonnement si nécessaire.
Terminer le plat en ajoutant la coriandre fraîche hachée.
Depuis maintenant 3 ans je fais du pilates une fois par semaine et je dois dire que mon physique s’est largement amélioré. Cette séance hebdomadaire me fait le plus grand bien. On en sort en forme et détendu sans parler des muscles qui se sont bien amusés aussi.
Mais en ces temps de confinement, je dois faire mes séances seul (ou avec ma chérie qui en fait également) et je sèche parfois sur les les enchaînements. Mais avec la fiche ci-dessous, on a la plupart des mouvements que l’on peut effectuer.
Par contre, la petite image ne donne pas forcément une bonne idée du mouvement et de comment le faire.
J’ai donc compilé dans une playlist Youtube ci-dessous la présentation de chaque mouvement par des pro. C’est en anglais principalement, mais il suffit de regarder si vous ne parlez pas la langue de Shakespeare et vous pouvez activer les sous titre automatiques en français si besoin.
J’aime beaucoup le Comidista pour plusieurs raisons. D’abord il me fait pratiquer mon espagnol, ensuite ses vidéos sont souvent instructives et décalées. J’avoue que j’aime bien son humour potache 🙂
Enfin et surtout, les recettes sont bonnes et dans la plupart des cas pas très compliquées. Ici, c’est moins le cas, car des gnocchis, ce n’est pas le truc le plus simple de la terre. Malgré tout ce n’est pas très complexe et ça fait une bonne introduction à ce type de préparation pochée.
Ingrédients : Pour 14 malfatti
½ oignon
30 g de beurre
300 g d’épinards surgelés
250 g de ricotta
60 g de parmesan râpé
1 oeuf
3 càs de farine de maïs fine
Noix de muscade
Sel
Peler et hacher l’oignon. Faire revenir dans une poêle à feu doux avec le beurre.
Quand l’oignon est translucide, ajouter les épinards. Laisser cuire jusqu’à ce que l’eau se soit évaporée.
Retirer de la poêle et hacher finement au couteau. Laisser refroidir. Une fois refroidi, s’assurer qu’il ne reste pas d’eau de végétation.
Mélanger les épinards avec la ricotta, le parmesan râpé, l’œuf et la farine de maïs. Ajuster l’assaisonnement à votre goût avec sel, poivre et noix de muscade. La pâte produite doit être suffisamment consistante pour former les gnocchis mais pas trop sèche.
Porter de l’eau à ébullition dans une cocotte et la saler copieusement (comme pour des pâtes).
Former des boules de la taille d’une noix à l’aide de 2 cuillères à café. Les rouler dans la farine de maïs fine.
Mettre à cuire les malfatti dans l’eau bouillante. Ils sont cuits lorsqu’ils remontent à la surface. Les retirer à l’aide d’une écumoire et les servir par exemple avec une sauce tomate et saupoudrées de parmesan.
J’avais déjà fait un billet pour transformer des images en pdf. Maintenant, je voudrais faire le contraire, c’est à dire extraire les images qui composent un pdf.
Ici, c’est plutôt la partie « briochée » qui m’intéresse. Cette recette donne une bonne saveur grâce à une fermentation démarrant la veille et le mélange de farine de riz et de farine de riz gluant donne une bonne texture.
Ingrédients (pour 4 brioches de bonne taille) :
180 g de farine de riz
80 g de farine de riz gluant
1/2 càc de sel
30 g de sucre blond
1 paquet de levure type Briochin
17 cl de lait environ (à adapter pour obtenir la bonne consistance)
1 càs de vinaigre de riz
Délayer la levure dans le lait tiédi.
Mettre les ingrédients sec dans un saladier et mélanger.
Ajouter le lait et la levure ainsi que le vinaigre de riz et pétrir jusqu’à obtenir une boule.
Laisser lever à température ambiante 2 à 4 heures. En fait, je l’ai fait la veille et la pâte a levé au frigo pendant la nuit.
Diviser la pâte en 4 ronds aplatis (farinez-vous bien les mains) que vous déposez sur un plaque farinée. Laisser lever encore 30 minutes à 1 heure.
Au moment du façonnage, prélever une boule et l’aplatir à la main jusqu’à avoir un disque d’environ 12 cm (soit la longueur de ma main).
Vous pouvez alors fourrer avec la garniture désirée.
Josh Smith est à mes yeux l’un des meilleurs bluesmen actuellement sur le circuit. Il est virtuose mais surtout plein de feeling et la vidéo ci-dessous va vous montrer pourquoi.
Ce monsieur a passé des milliers d’heures à décortiquer non seulement les soli de nos héros, mais surtout leurs rythmiques, ce qui fait de lui un accompagnateur hors pair et une encyclopédie sur patte du sujet.
J’aime autant vous dire que cette vidéo va être utilisée à bon escient dans ma pratique, car il y a PLEIN de choses à y repiquer.
Deuxième partie de la série brésilienne, ce plat de poisson et crevettes me fait penser à un laksa version brésilienne. C’est tout aussi délicieux et très facile à réussir. Pas d’ingrédient vraiment exotique et on met à contribution la moulinette pour la découpe donc pas de grosse difficulté.
Ingrédients :
500 g de poisson blanc assez épais
500 g de crevettes
3 gousses d’ail
sel et poivre
1 oignon
2 poignées de coriandre hachée
1 grosse boite de tomates en boite
1 poivron rouge
1 poivron vert
2 càs d’huile d’olive
400 ml de lait de coco
Le jus d’un demi citron vert
Couper le poisson en morceaux de 4 ou 5 cm et peler et déveiner les crevettes.
Les mettre à mariner dans un saladier avec l’ail passé au presse-ail, une cuillère à café et demi de sel et du poivre (à votre goût).
Mettre dans une moulinette ou un blender un oignon, la coriandre et la boite de tomate. Pulser jusqu’à obtenir une consistance de salsa avec des morceaux.
Dans une cocotte, mettre l’huile d’olive à chauffer à feu vif. Y faire revenir les poivrons coupés en morceaux d’environ 1 cm de côté pendant 10 minutes. Saler.
Ajouter la sauce à la tomate et faire épaissir à feu moyen pendant 8 minutes.
Augmenter le feu et mélanger le lait de coco. Porter à ébullition.
Mettre le poisson et les crevettes ainsi que le jus de citron. Mélanger et rectifier l’assaisonnement.
Retirer du feu et laisser reposer 15 minutes.
Au moment de servir, mettre la deuxième poignée de coriandre et rectifier encore le sel si besoin.
Délicieux servi avec un riz blanc et un pao de queijo.
Voilà longtemps que je cherchais un utilitaire qui pouvait télécharger en masse des pochettes de disque pour ma collection de mp3. Je m’étais résolu à le faire à la main sur discogs et voilà qu’au détour d’une nouvelle recherche j’ai trouvé sacad (pour Smart Automatic Cover Art Downloader.
sacad s’installe via pip et a une syntaxe relativement simple. Bien entendu, il s’agit d’un outil en ligne de commande, mais rien de méchant. Ceci dit je n’ai pas regardé s’il existait une interface graphique.
Voilà comment procéder :
pip3 install sacad
pour l’utiliser, rien de plus simple, on lui indique le répertoire à scanner, la qualité du fichier et son nom. Et voilà.
Vous avez même le relevé des soli et la grille dans les notes du disque.
Au delà de ces BT, je vous enjoins en ces temps de confinement à vous pencher sur les disques numérisés et mis à disposition sur ce site, il y en a vraiment pour tous les goûts.
Tapez guitar dans le moteur de recherche et vous verrez qu’il y a des pépites 😉
Je crois que je n’avais jamais essayé de recette brésilienne. C’est chose faite avec ces petits pains au fromage sans gluten à base de fécule de tapioca. Ils sont délicieux mais très nourrissants.
Je vous conseille d’en faire 12 ou 16 avec ces proportions car la moitié des convives n’a pas réussi à finir un pain entier avec le plat.
Ingrédients :
190 ml de lait entier
125 ml d’huile végétale
25 g de beurre
340 g de fécule de tapioca
2 càc de sel
1/2 de càc de levure chimique
2 gros œufs
100 g de parmesan râpé
50 g de pecorino râpé
Faire fondre dans un casserole le beurre dans le mélange de lait et d’huile.
Lorsque le liquide est à ébullition, l’ajouter dans un robot avec le tapioca, le sel et la levure. Faire tourner le robot pendant quelques minutes.
Ajouter ensuite les deux œufs et faire tourner le robot pendant 7 à 8 minutes. Au final la pâte doit être très lisse et ressembler à un glaçage.
Mettre l’appareil au frigo pendant 2 heures pour qu’il prenne une consistance plus facile à travailler.
Faire chauffer le four à 230 °.
Façonner 8 boules pour de gros pains qui pourront accompagner un repas par exemple. Je vous conseille malgré tout de les faire plus petits car c’est très nourrissant. Mouillez-vous les mains pour le façonnage, ça facilite grandement les choses.
Dorer avec un oeuf dilué avec un peu d’eau.
Mettre au four pour 20 minutes environ et baisser la température à 190°. Les pains doivent avoir une belle couleur dorée et être craquelés.
En remplacement ou en parallèle des noisettes, cajous et cacahuètes de l’apéro, cette recette de noix grillée est une tuerie. On a à la fois le croquant, le salé et le sucré.
Et en plus, à nous de choisir les épices que l’on veut dans son propre mélange. C’est devenu un classique instantanément.
Ingrédients :
1 blanc d’oeuf
1 càs d’eau
1,5 càc de sel
1 càs de sucre
4 càc d’épices à votre goût. (Dans mon cas, 1 càc de paprika, 2 càc de cumin, 1 càc de gingembre + un peu de piment de cayenne ou autre essai : 1 càc de cumin, 1 càc d’oignons en poudre, 1 càc de paprika, 1/2 càc de cannelle, 1 peu de chipotle)
500 ou 600 g de noix variées et non salées (cajou, amandes, cacahuètes, noisettes émondées, noix, …)
Préchauffer le four à 150° C.
Mélanger dans un saladier le blanc d’oeuf et l’eau. Le tout doit être homogène mais on ne cherche pas à battre le blanc en neige !!
Ajouter le sucre, le sel et les épices. Mélanger.
Insérer les noix et les recouvrir du mélange.
Étaler les noix sur une plaque recouverte d’un papier sulfurisé légèrement huilé ou sur un film Silpat. Afin de faciliter la cuisson, bien les mettre sur une épaisseur sans qu’elles se chevauchent trop.
Laisser cuire 40 minutes en retournant la plaque à mi cuisson.
Laisser refroidir et stocker dans un bocal fermant hermétiquement.
Voici le plat que je prends toujours au moins deux ou trois fois lors de mes déplacements au Maroc. Cette soupe est à la fois, réconfortante et nourrissante.
Elle est traditionnellement servie avec un œuf dur, des dattes et un gâteau appelé chebakia (frit et trempé dans le sirop ou le miel). La soupe étant acide, le côté sucré de ces deux derniers accompagnements s’accorde parfaitement avec elle.
Ingrédients :
1 gros oignon
1 gousse d’ail
200 g de veau (tendron ou sauté)
1 petit bouquet de persil
1 petit bouquet de coriandre
2 càs d’huile d’olive
50 cl de passata de tomate
1 grosse carotte
1 càc de gingembre en poudre
1 càc de curcuma
1/2 càc de cannelle
sel, poivre
2 litres d’eau
Un bouillon de volaille en cube (ou 2 litres de bouillon maison)
3 poignées de lentilles
3 poignées pâtes
1/2 bocal de pois chiche
2 càc de maizena
Un peu d’eau
Hacher ensemble, l’oignon, l’ail, la coriandre et le persil.
Nettoyer la viande et la couper en dés d’un centimètre.
Faire chauffer une cocotte à feu vif. Y verser l’huile d’olive et faire revenir le veau jusqu’à ce qu’il soit doré.
Ajouter le mélange d’herbes, d’oignon et d’ail et faire suer pendant quelques minutes.
Ajouter la carotte découpée en petits cubes, les épices et la tomate. Bien mélanger.
Mouiller avec l’eau et diluer le bouillon.
Rectifier l’assaisonnement de sel et poivre et laisser cuire pendant 30 minutes.
Ajouter les lentilles et laisser mijoter jusqu’à ce qu’elles soient tendres.
Avant de servir, faire cuire à part les pâtes.
Diluer la maïzena dans un peu d’eau et ajouter à la soupe pour l’épaissir en laisser bouillonner à petit feu pendant quelques minutes.
Ajouter les pois chiches et les pâtes pour que l’ensemble soit chaud.
Ma fille étant intolérante au gluten, je suis toujours en recherche de recettes goûteuses et exotiques nous permettant de découvrir de nouveaux goût tout en lui permettant de manger comme les autres.
Cette recette vénézuélienne coche toutes les cases : le petit pain (l’arepa) est à base de farine de mais et d’eau, le fourrage au poulet et délicieux et très simple à cuisiner et la sauce est vraiment délicieuse et pourra être réutilisée sur des tacos par exemple.
Bref, je vous invite à essayer, vous ne le regretterez pas. Il y a d’ailleurs dans la vidéo un deuxième accompagnement au bœuf si vous voulez quelque chose de différent du poulet.
un piment (idéalement un jalapeno, pour moi un piment marocain)
un citron vert
une poignée de coriandre
une gousse d’ail
Pour la sauce d’accompagnement
1/2 avocat
1 poignée de coriandre
1 poignée de persil
1 demi petit oignon
1/2 piment (à adapter en fonction de votre tolérance)
1/2 poivron rouge
1/2 poivron vert
1 petite gousse d’ail
le jus d’un citron vert
1 càs de vinaigre blanc
1 càc de sucre
sel et poivre
Dans une casserole, mettre le poulet, l’ail, l’oignon entier, le thym, le laurier et de l’eau froide pour recouvrir. Saler et poivrer.
Porter à ébullition et laisser mijoter 5 mn. Vous pouvez retirer l’écume qui se forme si vous voulez garder le bouillon (pour une soupe par exemple). Arrêter le feu et laisser tiédir à couvert.
Une fois les blancs manipulables, en faire une chiquetaille grossière et réserver.
Pendant ce temps, préparer la sauce. Mettre tous les ingrédients dans un blender ou une moulinette et blitzez jusqu’à obtenir la consistance désirée. Rectifier l’assaisonnement et réserver.
Pour les arepas, mélanger l’eau, l’huile et la farine de mais petit à petit jusqu’à obtenir une consistance de pâte à modeler qui ne colle plus aux mains.
Former des pains de la taille d’un muffin anglais (environ 10 cm de diamètre et un à deux cm d’épaisseur).
Faire chauffer une poêle à fond épais à feu vif avec une cuillère à soupe d’huile. Mettre aussi le four à chauffer à 160°.
Faire frire les arepas 5 à 6 mn de chaque côté pour développer une croûte. Réserver jusqu’à ce que tous les arepas soient cuits.
Les mettre ensuite au four pour 10 ou 15 mn pour terminer la cuisson. Ils doivent sonner creux quand on les tapote (comme pour un vrai pain).
Pendant la cuisson au four des pains, préparer la reina pepiada. Mélanger l’avocat en purée avec le jus du citron vert, le poivron rouge, l’oignon et le piment en petits cubes ainsi que l’ail râpé et la coriandre. Rectifier l’assaisonnement et ajouter le poulet et mélanger intimement. Vous pouvez ajouter un peu de citron si l’ensemble reste un peu sec. Dans la recette « traditionnelle », il y a aussi de la mayonnaise, j’ai testé, c’est très bon également pour allonger la sauce si vous n’avez pas assez d’avocat.
Tous les éléments sont prêts, il ne reste plus qu’à fendre un arepa pour le fourrer avec la garniture et l’arroser de sauce avant de l’avaler goulûment. Enjoy.
Je viens de me rendre compte qu’il est très simple de créer un fichier cbz, qui sera lisible dans une liseuse de BD (type Comics, Comic screen ou autre).
En fait, le fichier cbz n’est rien d’autre qu’une archive. Il suffit donc de renommer le fichier zip ou de zipper un répertoire puis de le renommer pour se retrouver avec un fichier lisible immédiatement.
Je n’ai pas testé, mais j’imagine qu’il est possible de faire la même chose avec un cbr et un fichier rar.
Je ne me lasse pas des cookies et les enfants non plus. Ni mes collègues. Ni ma femme. Enfin, qui n’aime pas les cookies ????
Cookie + beurre de cacahuètes, c’est un combo gagnant, donc cette recette sur le Pétrin m’a fait de l’œil immédiatement. Ça tombait bien j’en avait un pot qui traînait 🙂
Ingrédients :
115 g de beurre mou
130 g de beurre de cacahuète lisse ou chunky
80 g de sucre en poudre
75 g de vergeoise
1 càc d’extrait de vanille
1 œuf
200 g de farine
½ càc de bicarbonate de sodium
½ càc de levure chimique
50 g de cacahuètes torréfiées
150 g de pépites de chocolat
1 càc de sel
Dans un saladier, mélanger le beurre avec le beurre de cacahuète jusqu’à obtenir un appareil homogène.
Verser ensuite les 2 sucres et mélanger pour avoir au final une crème lisse et sans grumeaux.
Incorporer l’oeuf et la vanille.
Tamiser la farine, le bicarbonate, le sel et la levure dans un bol puis l’ajouter à l’appareil. Mélanger juste assez pour que la farine disparaisse. Il ne faut pas trop travailler la pâte.
Ajouter ensuite les cacahuètes concassées et les pépites. Encore une fois mélanger juste assez pour que la répartition soit homogène.
Personnellement, je mets toujours ma pâte au froid pour faciliter le façonnage des cookies, mais si vous voulez vous pouvez cette étape et préparer vos plaques directement.
Sur des plaques de cuisson recouvertes de papier sulfurisé, mettre des boules de pâte de 4 cm de diamètre (ce qui donne des cookies de 7 cm environ).
Enfourner dans un four préchauffé à 180°C et laisser cuire 11 minutes.
Mettre sur grille le temps de les tiédir (je n’ose dire refroidir) avant de les dévorer.
Depuis que je travaille en région parisienne, il ne se passe pas une semaine sans que je vois des salades César apparaître dans les menus, et ce quel que soit le type de restaurant (sauf peut être les asiatiques quand même). C’est tendance, pas cher à produire et donc il est normal que ça apparaisse chez les professionnels.
En revanche, c’est hyper facile à faire à la maison (il n’y a que quelques ingrédient dans une salade césar). Mais ce qui va faire toute la différence, c’est la sauce.
Je me suis trouvé une bonne recette chez nos amis américains (même si elle a été inventée au Mexique), depuis je la suis religieusement car elle est délicieuse.
Ingrédients :
4 filets d’anchois à l’huile
1 petite gousse d’ail
2 jaunes d’oeufs
2 càs de jus de citron
¾ càc de moutarde de Dijon
2 càs d’huile d’olive
12 cl d’huile végétale
3 càs de parmesan râpé
Du poivre du moulin
Hacher ensemble les anchois, l’ail et une pincée de sel. En faire une pâte, en vous aidant du côté du couteau pour écraser tout ça. Le sel va servir d’abrasif pour arriver à ce résultat. Mettre dans un saladier.
Ajouter à ce mélange les jaunes d’oeufs, le jus de citron et la moutarde. Fouetter pour homogénéiser le tout.
Petit à petit verser l’huile d’olive tout en fouettant (comme pour une mayonnaise) et l’huile végétale ensuite. La sauce doit être lisse et épaisse.
Finir en ajoutant le parmesan, le poivre et le sel (si besoin car anchois et parmesan en contiennent déjà pas mal)
La sauce est prête, il n’y plus qu’à la verser sur votre salade César.